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- PRDH: 7116
http://naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/autrespassagers/autrespassagersBaBars.html#bannegillette :
BANNE, Gillette
(Marin et Isabelle BOIRE), du bourg d’Argences, ar. Caen, év. Bayeux, Normandie (Calvados); d 09-06-1672 Québec (exécutée avec son mari pour avoir empoisonné leur gendre LATOUCHE); selon Trudel, 18 ans de Normandie, arrivée en 1649; confirmée à Trois-Rivières en 1664; 30 ans au rec. 66; ne sait pas signer; 1er m vers 1649 Trois-Rivières avec Marin CHAUVIN; famille établie à Trois-Rivières; 1 enfant; 2e m ct 27-07-1653 Ameau (Trois-Rivières) avec Jacques BERTAULT; famille établie à Trois-Rivières; 6 enfants. (CI : 209; DGFQ : 92, 241)
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1649
Québec
Voir http://www.perche-quebec.com/files/perche/individus/chauvin-marin.htm .
Elle a été pendue pour avoir tué son gendre qui battait sa femme (fille du 2e mariage de Gillette Baune avec Jacques Bertault - le 27 juillet 1653).
https://robertberubeblog.wordpress.com/2017/02/09/nouvelle-france-1672-gillette-banne-une-belle-mere-meurtriere-1672-gillette-banne-a-murderous-mother-in-law/ :
NOUVELLE-FRANCE 1672 : Gillette Banne une belle-mère meurtrière… 1672: Gillette Banne a Murderous Mother-in-Law!
Gillette Banne (1636-1672) fille de Marin Banne et d’Isabeau Boire est née vers 1636 dans le bourg Argences, évêché de Bayeux en Normandie, France. Vers 1649, cette fille de 13 ans quitte la France comme devancière ou fille à marier pour s’établir en Nouvelle-France. En 1649, elle épousa Marin Chauvin originaire de la paroisse Saint-Médard de Réno près de Mortagne au Perche, France. Gillette a 13 ans et Marin 24 ans lors de leur mariage. Marin décède le 7 juin 1651 à Trois-Rivières. Gillette est veuve à 15 ans.
Leur seule enfant nommée Marie Chauvin est née le 8 septembre 1650, à Trois-Rivières. Nous sommes les descendants de Gillette Banne et de Marin Chauvin par cette fille Marie qui épouse Rollin Langlois en première noces et notre ancêtre Jean Baptiste Denoyon en deuxième noces.
Une carte de Trois-Rivières datée de juin 1663, nous révèle que Gillette est propriétaire d’un terrain à Trois-Rivières. On l’appelle Gillette Baume veuve de Chauvin. Le terrain de Gillette se trouve en haut à droite sur les cartes!
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Le 27 juillet 1653, Gillette épousa en deuxième noces, Jacques Bertault fils de Thomas Bertault et de Catherine Coulonne à Trois-Rivières. Jacques Bertault et Gillette Banne possèdent leur propre ferme.
Gillette et Jacques deviennent parents de six enfants: Jacques, Marguerite, Suzanne, Élisabeth, Marie Jeanne et Nicolas. Bien entendu, Marie Chauvin fait partie de la famille.
À 14 ans, Marie Chauvin épousa Rollin Langlois, le 25 novembre 1664.
À 13 ans, Marguerite Bertault épousa Denis Veronneau, le 6 janvier 1668.
À 12 ans, Élisabeth Bertault, épousa Julien Latouche, le 12 août 1671.
À 14 ans, Suzanne Bertault épousa Jean Hiesse le 24 septembre 1671.
Les plus jeunes, Jeanne et Nicolas sont encore à la maison lors des mariages de 1671. Le fils Jacques est décédé enfant, avant le recensement de 1666.
Il semblerait que tout allait bien pour cette famille jusqu’au jour où Élisabeth Bertault épousa le soldat Julien Latouche.
Julien Latouche originaire de La Rochelle est arrivé avec le régiment Carignan Salières en 1665. Après le licenciement des troupes en 1668, Latouche décida de s’établir et il épousa Élisabeth Bertault. Aux yeux du beau-père Jacques Bertault, Latouche semblait être un très bon parti pour sa fille. La belle-mère Gillette Banne était contre ce mariage, mais Bertault fit les arrangements de mariage avec Latouche lorsque Gillette était absente, en train d’aider une voisine qui avait accouché d’un enfant. De son côté, la jeune Élisabeth ne désirait pas Bertault mais elle ne voulait pas contrarier son père donc, elle accepta d’épouser Latouche.
Latouche un homme d’une trentaine d’années est un paresseux, un alcoolique, un jaloux, et surtout un homme très violent! Selon son épouse, Latouche s’était crevé de boisson ce qui expliquait son incapacité corporelle au travail. La jeune Élisabeth est victime de ses abus. De plus, elle doit quémander de la nourriture de ses parents sans doute, à cause de la paresse ou de l’ivresse de Latouche. Élisabeth est désespérée et souhaite le voir mort surtout lorsqu’il la bat! Jacques Bertault âgé de 46 ans et Gillette Banne âgée de trente-six ans tentent d’aider leur fille et cherchent même à sortir leur fille de cette situation. Leurs initiatives mènent toutes à l’échec. Aux yeux de Gillette, sa fille n’aime pas Latouche et il est un homme des plus violent.
Le 15 mai 1672
Jacques Bertault, Gillette Banne et leur fille Élisabeth, traversèrent la rivière en canot pour aller travailler sur la ferme des Bertault. Au même moment, Julien Latouche est en train de traverser des bœufs avec un voisin Jean Gauthier au même endroit. Latouche leur annonce qu’il irait les rejoindre le lendemain.
Le 16 mai 1672
Ce n’est pas déterminé quand les trois décidèrent de tuer Latouche. Sachant que Latouche visiterait, Gillette Banne décida de préparer une soupe en y ajoutant quelques feuilles d’une plante toxique qui tuait les cochons. Lors du dîner, la soupe fut servie à Latouche qui consomma son repas. Hélas, Latouche n’éprouve aucun malaise. Ce fut un échec! Il faut s’imaginer l’angoisse qu’ont vécue les membres de la famille Banne-Bertault lors de ce repas! Et aussi, le désespoir de l’échec!
Le 17 mai 1672
Le mardi, une heure après le coucher du soleil, Gillette rend visite à son gendre dans la grange et lui dit: “Maintenant, tu es un gentil gendre!” Latouche est surpris par le commentaire et il réagit de façon négative et la chicane débute! Les insultes se suivent de coups et Gillette et son gendre s’en donnent mutuellement. Gillette crie à sa fille de l’aider mais Élisabeth ne peut bouger. Jacques Bertaut entend les cris et il entre dans la grange. Il tente de séparer son gendre et sa femme mais il ne réussit pas. Latouche mord sa belle-mère. Il lui donne des coups de pied. Elle se défend bien. Il lui tire les cheveux. Bertaut fait maintenant partie de la bataille. Tout d’un coup, Gillette saisit la houe et frappe Latouche à la tête. Elle le frappe une seconde fois. Ébranlé, Latouche criait à tue tête qu’ils étaient en train de le tuer. Pour le faire taire, Jacques Bertaut lui porta plusieurs autres coups. À chaque coup, il y avait de plus en plus de sang. Julien Latouche est mort dans la grange.
Lors de cette bagarre devenue une tuerie, un voisin Jean Gauthier, son gendre Louis Petit et un dénommé Bourgainville entendirent les cris. Lors de son témoignage Gauthier raconta que Latouche criait : ± Ah! Mon Dieu, je suis mort, tu me tues, tu seras pendu! Gauthier ajoute qu’il a entendu les cris pendant plus d’une heure et demie. Il entendait aussi les coups de celui qui frappait la victime. Aussi, Gauthier a pu discerner la voix de Gillette Banne qui a crié à plusieurs reprises : ± Tue-le!
Pour éviter que l’on trouve le lieu du crime, les trois meurtriers décidèrent de jeter le corps dans le fleuve.
Le 18 mai 1672
Les amis de Latouche, Gauthier et Petit accompagnés de Pierre Pépin décident d’aller à sa recherche afin de confirmer leurs soupçons. Ils traversent la rivière dans le but de trouver son corps. Le même jour Gillette Banne et sa fille Élisabeth se sont enfuies dans les bois.
Le 19 mai 1672
Les amis de Latouche entrent dans la grange des Bertault. Lorsque les témoins voient le lieu du crime, ils sont ébranlés à cause du sang répandu partout. Ils trouvent la houe, des bas et autres objets couverts de sang et aussi, ils retrouvent des dents d’homme. S’ils avaient eu des doutes dans leur esprit au sujet de ce qu’ils avaient entendu la veille au soir, la vue de ce qui était devant eux les a éliminés. Ils informent les autorités et Jacques Bertault est arrêté! Les biens des Bertault sont saisis et un inventaire est dressé.
Le 20 mai 1672
Une requête préliminaire a lieu devant Louis de Godefroy, procureur fiscal à Trois-Rivières. Le premier témoin entendu fut Nicolas Bertault, enfant de dix ans, qui raconte le départ de ses parents le dimanche précédent, pour aller à leur habitation, le retour de sa mère et de sa sœur qui s’étaient ensuite enfuies dans les bois le mercredi, l’arrestation de son père par deux soldats qui l’avaient conduit et lui avaient mis les fers aux pieds. Nicolas révèle qu’à plusieurs reprises il avait entendu sa mère répéter qu’elle tuerait Bertault et aussi dire à son père qu’il fallait le tuer sur la rivière. Nicolas avait ouï-dire que sa sœur Élisabeth voulait que son mari fut décédé.
Lors de son premier interrogatoire Jacques Bertault a proclamé son innocence et a affirmé ne pas savoir où se trouvait Latouche. Interrogé sur le sang partout dans la grange, il a répondu que c’était le sang d’esturgeons qu’il avait pris sur la ligne du sieur de la Vallière. Quand on lui a demandé s’il avait menacé de tuer Latouche, il a répondu dans la négation et n’a pas voulu commenter davantage. Après l’interrogation Bertault a été confronté à chaque personne qui avait témoignée contre lui, un à la fois. Dans chaque cas, à l’exception de son fils, Bertault a répondu que chacun des témoins lui voulait du mal.
Le 21 mai 1672
Gillette Banne et Élisabeth Bertaut sont trouvées dans les bois près des Trois-Rivières et arrêtées! Lors de son interrogation Gillette révèle d’autres renseignements au sujet du meurtre brutal.
Gillette Banne dit que Latouche avait battu sa fille (Élisabeth) jusqu’au sang, qu’elle et son mari étaient venus à l’aide de leur fille, et qu’une querelle avait suivi, résultant en une bagarre. Latouche avait frappé Gillette et l’avait saisi au collet et lui avait arraché des cheveux. Elle avait frappé Latouche avec une bêche afin d’aider son mari et avec l’intention de mettre un terme à la lutte. Elle dit que Latouche est tombé sur place. Elle a ajouté qu’au cours de la mêlée, elle et son mari ont été mordus par Latouche et elle a montré ses doigts comme preuve. Elle croyait que Latouche était seulement ébranlé, donc les trois sont retournés à leur domicile. Une demi-heure plus tard, ils sont revenus à la grange et l’ont trouvé mort et ont traîné son corps à la rivière.
Dans son témoignage, Élisabeth corrobore celui de sa mère. Le seul écart, elle maintient que Latouche est décédé à l’extérieur de la grange.
Plus tard dans la journée, Bertault et son épouse ont été confrontés et la déposition de Gillette a été lue devant les deux. On demande à Bertault d’expliquer la différence dans les témoignages. Il a répondu qu’il n’avait pas voulu dire quoi que ce soit jusqu’à ce que sa femme ait été questionnée, et pour cette raison, il avait refusé tous les témoignages présentés par les témoins. Il a en outre admis que le témoignage de Gillette était vrai.
Après cette enquête, les trois accusés furent conduits à Québec, où cette enquête a été confiée à l’intendant Talon. Le procureur Penseret fait une demande d’assermenter et d’interroger les prisonniers une fois de plus. Ensuite, il remet l’affaire au sieur Chartier, lieutenant général, civil et criminel.
Le 1 juin 1672
Monsieur Chartier procède à l’interrogatoire des accusés en commençant par Élisabeth Bertault. Après lui avoir fait raconter comment la scène du meurtre avait eu lieu, il lui pose plusieurs questions. Elle confirme ne pas aimer Bertault. Elle révèle que maintenant elle préférerait être morte à sa place. Elle dit qu’elle n’a pas participé à la tuerie. Élisabeth soutient l’innocence de ses parents et assure que ses parents se défendaient dans une bataille contre Bertault.
Le 3 juin 1672
On questionne Jacques Bertault à nouveau. Par ce temps, il a de sérieux doutes quant à savoir si son histoire d’autodéfense serait valide et il était aussi très conscient de ce que la punition était pour un meurtre. Se voyant dénoncé par son épouse, il voulut rejeter sur elle la responsabilité entière du meurtre de leur gendre. De plus, il l’accusa d’avoir tenté d’empoisonner Latouche. Il dit qu’il a donné moins de dix coups et qu’il obéissait à son épouse. Il est évident que Bertault est un faible et un lâche.
Le même jour Gillette Banne fut aussi interrogée après son conjoint. Elle confirme le fait qu’elle avait tenté de d’empoisonner Latouche. Elle dit que son mari était venu aider sa fille et qu’ensuite elle était venue aider. Elle admet avoir donné le premier coup, mais que le coup n’avait pas prélevé du sang. “Puis j’ai frappé à nouveau sur la tête et il tomba au sol. Je ne sais pas combien de fois il (Bertault) l’a frappé mais après de nombreux coups, il est mort.”
Vers la fin de son interrogatoire, Gillette Banne admet qu’ils ont tué malicieusement Julien Latouche et sachant qu’il était mort, les trois d’entre eux l’ont jeté dans la rivière. Elle a ajouté qu’ils avaient discuté de se débarrasser de lui parce qu’il maltraitait leur fille et était un sans valeur.
Malgré les contradictions dans quelques détails, le point brutal était là, Latouche avait été tué par son beau-père et sa belle-mère, la jeune épouse avait assisté au meurtre de son mari, et elle n’en était pas très affectée puisqu’elle leur aida à traîner son corps à la rivière.
Le 8 juin 1672
Le procureur fiscal rend son verdict. Il demanda que les trois prisonniers soient exécutés et qu’aucune indemnité soit faite pour Élisabeth en raison de son âge, car elle avait également été impliquée dans le meurtre.
Les membres de la cour MM. Juchereau, de la Ferté, Ruette Dauteuil, de Bermen, Duquet, de Rochebelle et Simon Denis n’ont montré aucune pitié pour Jacques Bertault et Gillette Banne, mais en dépit de la pétition du procureur, ils ont été miséricordieux envers Élisabeth à cause de son âge. (13 ans)
La cour a donc déclaré Jacques Bertault, Gillette Banne et Élisabeth Bertault atteints et convaincus desdits crimes d’emprisonnement et assassinat commis en la personne dit Julien Latouche, pour réparation et les dits:
±Bertault, Banne et Élisabeth d’être pris et enlevés des prisons de cette juridiction par l’exécuteur de la haute justice, conduits la corde au col, la torche au poing, au-devant la porte de l’église paroissiale de cette ville, et là ledit Bertault, tête nue et en chemise, et lesdites femmes nues en chemise jusqu’à la ceinture, demander à genoux pardon à Dieu, au roy et à justice desdits crimes par eux commis, ensuite par ledit exécuteur conduits à l’échafaud qui sera pour cet effet dressé en la place publique de la haute ville, avec une croix de Saint-André sur laquelle sera ledit Jacques Bertault étendu pour y recevoir un coup vif (de barre de fer) sur le bras droit ensuite étranglé et après sa mort un autre coup sur le bras gauche et un coup sur chaque cuisse, ladite Gillette Banne a être pendue et étranglée à une potence qui sera dressée pour cet effet en ladite place, et ladite Élisabeth Bertault à assister aux dites exécutions, la corde au cou comme dit est, après lesquelles exécutions sera, le corps du dit Jacques Bertault, mis sur une roue sur le Cap aux Diamants au lieu ordinaire pour y demeurer et servir d’exemple. En outre condamnons lesdits Bertault sa femme et sa fille en cent livres d’amende envers les seigneurs de ce pays et aux dépens, le surplus de leurs biens demeurant acquis et confisqués à qui il appartiendra
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Le 9 juin 1672
Sur appel interjeté par Bertault et son épouse de la sentence ci-dessus au Conseil Souverain, la cour modifia la sentence à ce que Bertault et son épouse furent condamnés à soixante livres d’amende : ± une moitié aux Pères Récollets pour prier Dieu pour le repos de l’âme dudit Julien Latouche, et aux dépens, le surplus de leurs biens acquis et confisqués au Roy, faisant le dit conseil remise à Nicolas et Jeanne Bertault enfants mineurs desdits Jacques Bertault et Gillette Banne du surplus de ladite amende, ensemble de ladite confiscation.
Cette sentence rendue le matin fut prononcée par la suite aux accusés, et le même jour, le 9 juin, à quatre heures de l’après-midi, Jacques Bertault et Gillette Banne furent exécutés sur la place de la haute ville, Élisabeth assistant au supplice de son père et de sa mère, la corde au cou, conformément à la sentence.
Je ne sais pas si notre ancêtre Marie Chauvin et ses demi-soeurs (sauf Élisabeth) et demi-frère étaient présents au décès de sa mère et de son beau-père à Québec. Marie vivait à Boucherville avec son époux Jean Baptiste Denoyon et deux enfants.
http://www.migrations.fr/FILLE_A_MARIER/FILLEAMARIER.htm#B :
arents :
Marin et Isabeau BOIRE
Naissance :
ca 1626 Argences 14 France
Décès:
09.06.1672 Québec à 36 ans
Exécutée avec son mari Jacques Bertault, pour avoir empoisonné son gendre Julien Latouche, époux de sa fille Elisabeth Bertault.
M1-CHAUVIN Marin
N: ca 1625
Fils de
D: 16.06.1651 Trois-Rivières 26 ans
1649 Trois-Rivières
M-2 BERTAULT Jacques
N: ca 1626
D: 09.06.1672 Qc 46 ans
Fils de Thomas BERTAUT et
Catherine COULONNE
27/07/1653 Trois-Rivières
ENFANTS :
Mariage 1:
Marie CHAUVIN :
B: 08.09.1650 Trois-Rivières D: 31.03.1723 Boucherville
M: 25.11.1664 Trois-Rivières avec Rollin LANGLOIS
Rollin LANGLOIS Décédé 23 janvier 1665 - âge: 28
CM : Jean DENOYON
Mariage 2 avec BERTAULT Jacques
1) Jacques, B : 25.11.1654 Trois-Rivières
2) Marguerite, B: 21.12.1655 Trois-Rivières
D : 21.11.1687 S: 22.11.1687Boucherville
CM06.01.1668 1668-01-06 not. Sévérin Ameau avec Denis VÉRONNEAU
3) Suzanne, B: 18.12.1657 Trois-Rivières D: 01.05.1739 S: 02.05.1739 Chambly
M: 24.09.1671 Trois-Rivières Jean LIESSE
M: 24.11.1677 Boucherville Jacques BRUNEL
4) Élisabeth Thérèse ou Isabelle
N: 22.01.1659 B: 23.01.1659 Trois-Rivières
CM (annulé ensuite) : 14.02.1669 not. Sévérin AmeauCharles DENAR dit La
Plume
M : 12.08.1671Trois-Rivières Julien LATOUCHE
M: 06.11.1673 Boucherville Noël LAURENCE
M: 01.03.1688 Repentigny Jean-Baptiste PILON dit Lafortune
5) Jeanne, 26.03.1660 B: 29.03.1660 Trois-Rivières,
D :20.12.1698 S: 21.12.1698 Boucherville,
M: 01.09.1680 Cap-de-la-Madeleine Vincent VERDON
M: 05.12.1688 Boucherville Mathurin RICHARD dit Dusablon,
M: 18.08.1698 Boucherville Nicolas VINET dit Laliberté
6) Nicolas, N: 26.02.1662 B: 26.02.1662 Trois-Rivières
Tanguay- Volume 1, p. 123, 182, 345
http://ourorigins.org/
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