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- PRDH: 53027
http://www.fichierorigine.com/recherche?numero=242667 :
MIGNERON / MAGNERON / LAJEUNESSE, Abraham 242667
Statut Marié
Date de naissance Vers 1663
Lieu d'origine St-Maixent, auj. St-Maixent-l'École (Deux-Sèvres) 79270
Parents Abraham MAGNERON et Suzanne Assailly
Date de mariage des parents 18-02-1663
Lieu de mariage des parents Mougon (Temple protestant) (Deux-Sèvres) (79185)
Première mention au pays 1684
Occupation à l'arrivée Soldat des troupes de la Marine, cie de Villiers
Date de mariage 00-10-1688
Lieu du mariage Repentigny (cm Jean-Baptiste Fleuricourt)
Conjoint Catherine Delpêche
Décès ou inhumation Repentigny, 08-05-1743
Remarques En 1688, Abraham Migneron dit Lajeunesse (Abraham Migneron et Jeanne Aselly), de St-Maixent (79270); son cm est daté du 00-10-1688, classé entre 02-09-1688 et 29-12-1688. En 1743, il est inhumé sous Jean Magneron. Son père Abraham Magneron se marie 2 fois: m-1 avec Suzanne Assailly, acte non filiatif, (dont Marie Magneron (f. père), cm du 28-04-1688 greffe Charles Proustière à Chauray (79081), avec Jean Bourdin (f. Pierre et Jeanne Arnault), laboureur); puis résident à Romans (79231) m-2 St-Maixent (protestants), le 09-03-1664 avec Élisabeth Granier, rés. à Souvigné (79319), acte non filiatif. Sa mère Suzanne Assailly, m-1 Mougon (Temple protestant), le 19-04-1654 avec François Texier; acte non filiatif, dont 2 enfants sont témoins en 1688-m de Marie Magneron (citée demi-soeur): Pierre et Jeanne.
Identification* DGFQ, p. 751 ; DGFC, vol. 1, p. 431
Chercheur(s) Marguerite Morisson ; Lise Dandonneau
Date de modification 2016-11-09
https://www.bac-lac.gc.ca/fra/decouvrez/exploration-colonisation/nouvelle-france-horizons-nouveaux/Pages/combattre.aspx#4 :
Les troupes de la Marine
Le premier contingent de troupes de la Marine débarque à Québec en 1683 avec 150 soldats embarqués à La Rochelle. Ils sont équipés par les administrateurs de la Marine chez des fournisseurs civils. Tous les vêtements et objets nécessaires (justaucorps, culottes, chapeaux, camisoles, souliers, cravates, bas, bonnets, ainsi que peignes, branles ou hamacs) sont ainsi achetés et chargés sur des navires en partance vers la Nouvelle-France. Avec ces recrues qui arrivent jusqu'en 1688, la colonie compte alors près de 1 500 militaires en service. Par un règlement de 1695, le roi autorise un recrutement local des hommes de troupes, tout en se réservant la nomination des officiers qui doivent les encadrer. Il favorise le maintien dans leurs fonctions des officiers méritants déjà en service au Canada, dont certains sont arrivés trente ans auparavant avec le régiment de Carignan-Salières.
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