Résultats 201 à 300 de 2,901
# | Notes | Lié à |
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201 | Parrain: Paul de Chomedey Marraine: Jeanne-Mance | Tessier, Paul (I1230)
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202 | Parrain: Paul DeChomeday Marraine: Marguerite Bourgeois | Gervaise, Marguerite (I299)
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203 | Parrain: Pierre Leroy Marraine: Anne Caille | Gervais, Marie-Anne (I357)
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204 | Parrain: Pierre Valiquet Marraine: Marguerite Zoé Lefebvre (soeur) | Lefebvre, Pierre Zéphirin (I124)
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205 | Parrain: Simon Valois Marraine: Louise Dandurand | Lefebvre, Marie-Éléonore (I122)
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206 | Pas de PRDH https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Dugas_Marguerite&pid=1060256: ID No: 1060256 Prénom: Marguerite Nom: Dugas Sexe: F Occupation: Naissance: 1657 vers Paroisse/ville: Pays: Décès: Paroisse/ville: Pays: Inh./Source: décès avant recensement 1686 (S. White) Information, autres enfants, notes, etc. | Arsenault, 1er arrivant Pierre (I1302)
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207 | Pas de PRDH. https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/: RACINES ACADIENNES – JEAN BLANCHARD ET RADEGONDE LAMBERT DENIS SAVARD / GENS D'ICI La famille Blanchard a été l’objet de plusieurs spéculations qui se sont révélées fausses. D’abord, une première erreur a été introduite en 1767 lors des Déclarations de Belle-Isle-en-mer (témoignages d’Acadiens réfugiés en France), près d’un siècle et demi après les faits. Des aïeux ctifs La déclaration de Jean LeBlanc dit Dérico a induit l’historien Edmé Rameau de Saint-Père en erreur. Ce dernier a ajouté une génération qui n’existait pas à la généalogie des Blanchard. Dérico, en nommant les arrières-grands-parents de son épouse, aurait confondu les noms du frère (Guillaume) et de la belle-soeur (Huguette) de Martin Blanchard, grand-père de son épouse. Aucun document connu ne nomme les parents de Jean ou de Radegonde. Sans autre preuve, il faut conclure que le couple ±Guillaume Blanchard & Huguette Poirier n’a jamais existé. Du sang amérindien? L’autre mythe assez répandu concerne les prétendues origines métisses de Radegonde Lambert. D’abord, on ne connaît pas à ce jour de pionniers arrivés avant 1636. Comme Radegonde Lambert est née vers 1621, elle est sans doute née en France. On ne connaît d’ailleurs pas de famille Lambert installée en Acadie avant le 18e siècle. Il est donc très improbable que Radegonde soit issue d’un Français et d’une Amérindienne comme plusieurs l’ont avancé. Et nous avons maintenant la preuve que ce n’est pas le cas. Les tests d’ADN mitochondrial passés chez plusieurs descendants matrilinéaires (de mère en lle) de Radegonde démontrent qu’elle appartient au haplogroupe X2b, une signature typiquement européenne. Il ne faut pas confondre cette signature avec sa cousine X2a présente chez les Amérindiens. La racine X2 proviendrait de du sud de la Sibérie, avant les grandes migrations des peuples autochtones par le détroit de Béring. Selon les dernières études sur le sujet, X2a serait parti vers l’est pour atteindre l’Amérique et X2b vers l’ouest pour atteindre l’Europe. Origines inconnues ? (https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/?share=facebook&nb=1) 4 ? (https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/?share=twitter&nb=1) ? (https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/?share=linkedin&nb=1) Dans les faits, on ne connaît presque rien des origines de la famille, autre qu’elles sont sans doute françaises. Aucune trace de la famille n’a été trouvée dans la région de La Chaussé, comme certains ont spéculé dans la vague du mythe du berceau de l’Acadie. À leur première mention dans les documents, au recensement de 1671, le couple est déjà âgé (environ 60 et 50 ans respectivement). Jean Blanchard est probablement d’origine modeste; il y est simplement qualié de laboureur. Mais il est possible qu’il ait pratiqué un autre métier dans sa jeunesse. Jean Blanchard a épousé Radegonde Lambert vers 1642, vraisemblablement en France. Il est possible que les premiers enfants y soient également nés. Comme les Blanchard cultivent au total 20 arpents en 1671 (le ls aîné Martin nouvellement marié cultivait 15 arpents), la famille y est probablement installée depuis un bon moment. Sans doute avant que l’Acadie ne passe aux Anglais en 1654. Le cadet, Guillaume Blanchard, qui a aussi passé sa vie à Port-Royal, a été un chef de le pour la fondation de Chipoudy, sur les côtes actuelles du Nouveau-Brunswick, où il a reçu des concessions, en 1699. La même année, il affrétait un navire pour ravitailler la nouvelle colonie. En 1702, il obtient des concessions le long de la Petitcoudiac. Le rapport de Mathieu de Goutin explique que ±le nommé Blanchard a un bâtiment (navire), et aussi de grands garçons, des gendres et des neveux, qui mettront Pécoudiak en valeur et y placeront autant d’habitants, et dans trois ans la colonie en tirera du secours…. http://www.acadian-cajun.com/1671a.htm https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/ : RACINES ACADIENNES – JEAN BLANCHARD ET RADEGONDE LAMBERT DENIS SAVARD / GENS D'ICI DIMANCHE 19 JUIN 2016 Partager: La famille Blanchard a été l’objet de plusieurs spéculations qui se sont révélées fausses. D’abord, une première erreur a été introduite en 1767 lors des Déclarations de Belle-Isle-en-mer (témoignages d’Acadiens réfugiés en France), près d’un siècle et demi après les faits. Des aïeux ctifs La déclaration de Jean LeBlanc dit Dérico a induit l’historien Edmé Rameau de Saint-Père en erreur. Ce dernier a ajouté une génération qui n’existait pas à la généalogie des Blanchard. Dérico, en nommant les arrières-grands-parents de son épouse, aurait confondu les noms du frère (Guillaume) et de la belle-soeur (Huguette) de Martin Blanchard, grand-père de son épouse. Aucun document connu ne nomme les parents de Jean ou de Radegonde. Sans autre preuve, il faut conclure que le couple ±Guillaume Blanchard & Huguette Poirier n’a jamais existé. Du sang amérindien? L’autre mythe assez répandu concerne les prétendues origines métisses de Radegonde Lambert. D’abord, on ne connaît pas à ce jour de pionniers arrivés avant 1636. Comme Radegonde Lambert est née vers 1621, elle est sans doute née en France. On ne connaît d’ailleurs pas de famille Lambert installée en Acadie avant le 18e siècle. Il est donc très improbable que Radegonde soit issue d’un Français et d’une Amérindienne comme plusieurs l’ont avancé. Et nous avons maintenant la preuve que ce n’est pas le cas. Les tests d’ADN mitochondrial passés chez plusieurs descendants matrilinéaires (de mère en lle) de Radegonde démontrent qu’elle appartient au haplogroupe X2b, une signature typiquement européenne. Il ne faut pas confondre cette signature avec sa cousine X2a présente chez les Amérindiens. La racine X2 proviendrait de du sud de la Sibérie, avant les grandes migrations des peuples autochtones par le détroit de Béring. Selon les dernières études sur le sujet, X2a serait parti vers l’est pour atteindre l’Amérique et X2b vers l’ouest pour atteindre l’Europe. ? (https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/?share=facebook&nb=1) 4 ? (https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/?share=twitter&nb=1) ? (https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/?share=linkedin&nb=1) S'abonner (https://moncompte.acadienouvelle.com) ENCORE 3 ARTICLES GRATUITS À LIRE Origines inconnues Dans les faits, on ne connaît presque rien des origines de la famille, autre qu’elles sont sans doute françaises. Aucune trace de la famille n’a été trouvée dans la région de La Chaussé, comme certains ont spéculé dans la vague du mythe du berceau de l’Acadie. À leur première mention dans les documents, au recensement de 1671, le couple est déjà âgé (environ 60 et 50 ans respectivement). Jean Blanchard est probablement d’origine modeste; il y est simplement qualié de laboureur. Mais il est possible qu’il ait pratiqué un autre métier dans sa jeunesse. Jean Blanchard a épousé Radegonde Lambert vers 1642, vraisemblablement en France. Il est possible que les premiers enfants y soient également nés. Comme les Blanchard cultivent au total 20 arpents en 1671 (le ls aîné Martin nouvellement marié cultivait 15 arpents), la famille y est probablement installée depuis un bon moment. Sans doute avant que l’Acadie ne passe aux Anglais en 1654. Le cadet, Guillaume Blanchard, qui a aussi passé sa vie à Port-Royal, a été un chef de le pour la fondation de Chipoudy, sur les côtes actuelles du Nouveau-Brunswick, où il a reçu des concessions, en 1699. La même année, il affrétait un navire pour ravitailler la nouvelle colonie. En 1702, il obtient des concessions le long de la Petitcoudiac. Le rapport de Mathieu de Goutin explique que ±le nommé Blanchard a un bâtiment (navire), et aussi de grands garçons, des gendres et des neveux, qui mettront Pécoudiak en valeur et y placeront autant d’habitants, et dans trois ans la colonie en tirera du secours…. Olivier Blanchard, pionnier de Caraquet C’est l’un de ces Blanchard de la Petitcoudiac qui gure parmi les premiers habitants de la vieille Acadie à s’établir à Caraquet. Olivier (à René à René à Martin à Jean) Blanchard était installé au Coude avant la Déportation, sur une terre de la rive sud de la rivière (à Riverview), en face de Terre Rouge (Moncton). Emprisonné pendant la Déportation, il est engagé comme pilote sur le Seaower de Charles Robin en 1766, avant de s’installer dénitivement à Caraquet entre 1776 et 1780. La plupart des Blanchard de la Péninsule acadienne descendent de cette branche. http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : BLANCHARD, Jean, came from France with his wife, according to Jean LeBlanc, husband of his great-granddaughter Fran?oise Blanchard (Doc. ind., Vol. III, p. 43). The deposition of Françoise's nephews Joseph and Simon-Pierre Trahan is to the same effect (ibid., p. 123). Both depositions mistakenly give Guillaume as the ancestor's given name. Jean LeBlanc's makes an additional error regarding the name of Jean Blanchard's wife, calling her Huguette Poirier. The censuses of 1671 and 1686 meanwhile clearly show that she was named Radegonde Lambert (see DGFA-1, pp. 143-144). The source of these errors is probably a simple confusion arising from the fact that Jean LeBlanc's wife's grandfather Martin Blanchard had a brother Guillaume who was married to a woman named Huguette, as this writer explained in an article published in 1984 (SHA, Vol. XV, pp. 116-117). This Huguette was not named Poirier, however, but Gougeon, although her mother, Jeanne Chebrat, had married a man named Jean Poirier before she wed Huguette's father Antoine Gougeon, and all her male-line descendants in Acadia were Poiriers. Unfortunately, we do not know just what questions Jean LeBlanc asked in trying to establish the Blanchard lineage, but he might certainly have had the impression that Huguette was a Poirier from the fact that so many of her relatives were Poiriers, including her grandnephew Joseph, who was also on Belle-?le in 1767 (see Doc. in?d., Vol. III, pp. 13-15). | Blanchard, 1er arrivant Acadie Jean (I1312)
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208 | Pas de PRDH. https://www.wikitree.com/wiki/Gaudet-16 : Denis Gaudet Born 1625 in Martaizé, Loudon, Vienne, Francemap Son of Jean Gaudet and Unknown (Inconnu) Gaudet Brother of Marie-Francoise Gaudet, Marie Gaudet and Jehan Gaudet [half] Husband of Martine Gauthier — married about 1645 in Port-Royal, Acadie, Canadamap DESCENDANTS descendants Father of Anne Gaudet, Marie Gaudet, Pierre Gaudet, Pierre Gaudet and Marie Gaudet Died 11 Oct 1709 in Port Royal, Acadiemap Profile last modified 6 Jan 2019 | Created 21 Nov 2010 This page has been accessed 5,352 times. The Acadian flag. Denis Gaudet is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA Flag of France Denis Gaudet migrated from France to Acadia. Flag of Acadia Biography "Du premier lit naquit vers 1625 son fils Denis, qui a convolé, vers 1645, avec Martine Gauthier. Denis et Martine ont mis au monde cinq enfants, dont deux fils qui portaient le prénom Pierre."[1] Around the time of the treaty of Breda (1667), which officially restored Acadia to France, Denis Gaudet migrated towards the top of the Port Royal river. His now adolescent sons would be assured of their own possession of land to begin their own establishments. They were the first colonists in this locality situated about 20 kilometres upriver from the fort. They went on to create a large domain on both sides of the river in the region of present Bridgetown, Nova Scotia. Denis and his two sons both named Pierre (one surnamed l'Ainé, and the other le Jeune), constructed the new farm on the north bank. A map drawn by the surveyor George Mitchell in 1733 shows five habitations at one "Godet Village," at the north-east end of the valley, at a place where the river turns to the south and the space which separates the North and South Mountains gets wider. The author of the history of the town of Bridgetown, Elizabeth Coward, who knows the region thoroughly, places the location of Gaudet Village to the south-east of the present Riverside Cemetery, at the inner limits of the town of Bridgetown, on land which later belonged to the Chipman family and who correspond to number 133 in the cadastral survey of Grandville Township. At the start of the 17th century, the lawyer-poet Marc Lescarbot described the surroundings at the top of the river (translated from French): "...we are full of desire in seeing the country upstream of the river where we find the prairies (marshes) virtually continuous for more than 12 leagues, among which flow numerous streams that come from the hills and mountains nearby; the forests are plentiful to the waters edge... and there are many bright clearings a long way from the shores..." In the census of the Port Royal river valley in 1671, Denis Gaudet gives his age as 46 years old, his wife Martine Gauthier was 52 years old. They had five children, two were married: Anne Gaudet was 25 years old (married to Pierre Vincent); Marie Gaudet was 21 years old (married to Olivier Daigre, who lived opposite Gaudet Village on the south bank); Pierre Gaudet l'Ainé, aged 20; Pierre Gaudet le Jeune, aged 17; Marie Gaudet, aged 14. All were farmers. Denis had six arpents of cultivated land (an arpent = roughly 5/6 of an acre), nine horned cattle and 13 sheep, some large, some small. In the census of Port Royal in 1693, Denis Gaudet was a widower aged 70 years. He was living with his son Pierre le Jeune who married Marie Blanchard. Sources 1671 Acadian Census at Port Royal: Denis GAUDET, 46, wife, Martine GAUTHIER 62; Children (the first 2 married): Anne 25, Marie 21, Pierre 20, Pierre 17, Marie 14; cattle 9, sheep 13. 1678 Acadian Census at Port Royal: Onis Godet, Widower; Pierre Godet; Marie Blanchard; 4 acres, 6 cattle, 2 boys: 3 1675, 5/M 1678. White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print, 667. ? White, Stephen A. La généalogie des trente-sept familles hôtesses des "Retrouvailles 94", Les Cahiers de la Société historique acadienne, vol. 25, nos 2 et 3 (1994). (Gaudet) Information from Jennifer Payne http://www.geocities.com/Heartland/Pointe/3829/acadian_history.html Gaudet was originally from the village of Martaize, Vienne, France and he arrived in Acadia in 1636 with his second wife, Nicole Coleson, and his two children from his first marriage, Francoise who later married Daniel LEBLANC, and Denis who would marry Martine Gauthier. Jean and Nicole Coleson had two children after arriving in Acadia: Marie-Anne who married Etienne HEBERT and Jean who married Jeanne Henry http://www.gencircles.com/users/harrison-md/2/data/385 | Gaudet, 1er arrivant. Denis (I1310)
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209 | PEDH: 73869 | Villeray, Pierre (I2226)
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210 | Polémique quant à l'origine de Edmée Lejeune. Elle pourrait être une métis née en Acadie ou encore être la mère de Pierre Lejeune ayant marié une micmac et ayant engendré des métis. Voir: http://genealogieroy.ca/Livres/Lejeune-Analysis_K-Dumont_2015.pdf (source: https://firstmetispeople.ca/wp-content/uploads/2017/11/Lejeune-Analysis_K-Dumont_2015.pdf) Mais selon un autre courant de pensée: Courriel de M. Daniel Sdicu, janvier 2020: Edmée n'est pas la première arrivante. Si elle était venu de France à 12 - 13 ans, elle aurait comme toutes les jeunes filles de cette époque été éduqué et prête à élever une famille et s'occupé d'une maison. D'après l'analyse de Rameau de Saint-Père qui a eu accès à plusieurs documents d'époque, il semble plutôt qu'elle côtoyait de très prêt les Mi'kmaqs et vivait plus comme eux sans trop suivre les manières européennes même si elle était mariée à un Français. À l'époque le prénom du père était souvent transmis au premier fils de la famille. Edmée avait une sœur, Catherine, et un frère, Pierre. Le père de ces trois enfant est le premier arrivant, Pierre Lejeune. De toute évidence il était en couple avec une Mi'kmaq comme le gouverneur, Charles de la Tour, de cette période l'était. ... La famille métisse des Lejeune était établie depuis longtemps à Mirligouesh ... L'agglomération de ce groupe de métis autour de la Hève donne à penser qu'ils sont originaires de l'époque où le principal établissement était à la Hève, alors qu'il y avait très peu de femmes européennes, du temps de Razilly et de d'Aulnay, ou même au temps de Biencourt, alors qu'il n'y en avait pas du tout. ... Une Colonie Féodale L'Acadie (1604 - 1681) , Tome Second (1889) by Rameau de Saint-Père. ... Abandonné par la France officielle et par les bailleurs de fonds, réduite à quelques hommes courageux (une quinzaine), la colonie va végéter péniblement pendant dix-huit ans. (1624) Charles de La Tour et ses hommes doivent suivre les indiens dans leurs expéditions de chasse, afin de pouvoir survivre. Charles se fait aimer et apprécier des Indiens au point qu'ils le choisissent comme leur Chef Suprême, Grand Sagamos des Souriquois (Micmacs), Etchemins, Poutégois et Quénybans. Il épouse une Micmaque, probablement une fille de Sachem (famille du Chef Membertou). Plusieurs de ses hommes font de même, car il n'y a plus de fille française à marier en Acadie. Jehan Lambert et Lejeune furent, semble-t-il du nombre (entre 1623 et 1628). ... L'Acadie des Origines 1603-1771 (1988) by Léopold Lanctot. ... Mais telle était l'habitude dans les recensements : on n'y comprenait jamais que les habitants réguliers, à domicile fixe, et cultivateurs ; on y néglige toujours l'élément métis, dès qu'il n'est pas domicilié dans les paroisses et seigneuries agricoles. Voilà comment les Lejeune et bien d'autres familles très françaises, bien que métisses, sont omises sur les listes, ou n'y paraissent que par intermittences. ... De nombreux indices sur cette famille Lejeune, et il en résultait avec évidence qu'elle était une des plus anciennes de l'Acadie. En 1671, deux femmes de ce nom: l'une Edmée Lejeune, femme de François Gautherot agée de 49 ans, et mariée en Acadie depuis plus de 35 ans. Par conséquent les Lejeune ont dû venir en Amérique avant 1636. Or à cette époque Edmée Lejeune avait 15 ans, Pierre Lejeune avait sept ou huit ans, et le troisième enfant, Catherine, venait de naître. Cependant ce n'est pas dans de telles circonstances que des enfants pouvaient tenir tout seuls de France en Amérique ... ±nos coureurs de bois étaient assouplis, par une longue durée, à la vie des sauvages ; leurs enfants métis élevés parles squaws, ne différaient guères dans leur éducation, dans leurs jeux, dans la formation de leurs idées, des enfants Micmacs ; or ce fut au milieu d'eux que furent élevés les enfants de Lejeune, absolument abandonnés à eux-mêmes. ... François Gautherot, il se décida en 1636, un an après son arrivée, malgré les habitudes un peu grossières de la famille Lejeune, à épouser l'aînée des filles nommée Edmée. Cependant nous devons convenir que l'histoire de la Famille Gautherot et la conduite de leur gestion agricole, peut laisser planer bien des doutes sur les soins et l'économie domestique d'Edmée Lejeune. ... Le Canada Français Vol. Troisième (1901) by Rameau de Saint-Père Fin du courriel. Autres informations: Imbroglio sur les racines métis de la famille Lejeune. Selon http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?f=2&t=2160 la famille Lejeune est métis par la mère et selon https://www.acadienouvelle.com/chroniques/2016/04/17/les-savoie/ , la famille Lejeune ne l'est pas selon des recherches d'ADN. Cependant, tous s'accordent pour dire que Catherine et Edmée (Aimée) sont soeurs. https://www.acadienouvelle.com/chroniques/2016/04/17/les-savoie/: http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?f=2&t=2160 : La famille Lejeune LES MÉTIS Messagepar chune 2006-10-26, 22:47 La Famille LE JEUNE D'après Rameau de Saint-Père, Une colonie féodale en Amérique, L'Acadie (1604-1881), tome 2, p. 318-320, la famille Le Jeune-Briard serait une famille métisse acadienne. Elle serait très ancienne en Acadie, ainsi que l'affinne cet auteur: ±Les côtes de l'est de l'Acadie ont toujours été un centre où se réunissaient volontiers des familles métisses, dont la première origine remonte certainement jusqu'aux compagnons de Biencourt et de Latour. Quelques-unes de ces familles comptaient déjà une ou deux générations au recensement de 1671.,. ±La famille métisse des Lejeune était établie depuis longtemps à Mirligouesh (village indien et métis, situé entre le Cap-de-Sable et La-Hève), car deux hommes de Port-Royal avaient épousé deux filles Lejeune, entre 1638 et 1650.,. En effet, en 1650, Catherine Le Jeune, âgée de 17 ans, épouse François Sçavoie. Seize ans plus tôt, en 1636, sa sœur aînée, née en 1623, avait épousé François Gautherot. Trois de leurs fiis semblent être devenus coureurs de bois avec les Indiens et les Métis: Jean, François et Germain Gautherot disparaîtront successivement des recensements dès qu'ils auront atteint l'âge adulte. On sait que Charles de Biencourt, fils du baron de Poutrincourt, et son cousin et lieutenant, Charles de Saint-Etienne de La Tour, étaient restés à Port-Royal, avec quelques compagnons courageux après le départ de Poutrincourt, ramenant en France la plupart des colons, découragés par les rigueurs de l 'hiver précédent. Abandonnés petit à petit par la France, ils vivent de chasse et de pêche, suivant les Indiens dans les bois. Après la mort de Biencourt, La Tour, qui lui a succédé, transporte ]a colonie au Cap-de-Sable, afin de se rapprocher des bancs de pêche, fréquentés par les pêcheurs bretons et normands, qui sont devenus leur seul moyen de communication avec la France. Ils y construisent un fort, afin de se mieux protéger contre les attaques des navires de guerre anglo-américains. La Tour, qui est très aimé des Indiens, est élu ±Grand Sagamos des Souriquois [Micmacs], Etchemins, Poutégeois et Quénubans . Il épouse une Micmaque, probablement, une fille de Sachem. Comme il n'y a plus aucune fille française à marier en Acadie, piusieurs de ses compagnons l'imitent. Ces mariages seront bénis plus tard par les Récollets, Lopold Lanctôt FAMILLES ACADIENNES Tome Il ±>Copyright Ottawa 1994 par les Édtions du Ubre-échange Inc. 37, Grand-Côteau, Ste-Julie, Qc JOL 2S0 Dépôt légal - Bibliolhèque nationale du Québec ISBN 2-89412 Nous référant à l'ouvrage de Clarence 1. D'Entremont, prêtre, nous constatons que la famille Lejeune en est une indienne. Monsieur D'Entremont s'inspire de Rameau de Saint-père dans les Documents inédits, de Le Canada Français, volume III, pp. 139 sqq. Pour étoffer et certifier ses dires. Dans les registres de Cap Sable, nous trouvons ce qui suit sur la famille Lejeune: le 25 février 1727, Pierre Sellier était présent au mariage de Martin Grand Claude, micmac de cette rivière avec Marguerite Lejeune, 17 ans fille de François Lejeune' 'sauvage micmac de cette rivière" et Marie Egighighes, son épouse. (p. 1123, vol. 3) Famille Lejeune: A- Aimé Lejeune (+François Gautrot) Pierre Lejeune (+ une amérindienne) Catherine Lejeune (+François Savoie) En accord avec ce document, les Lejeune qui vivaient au Cap Sable étaient des AMERINDIENS MICMACS. Source: Histoire du Cap-Sable en 5 volumes- par Clarence J. D'Entremont, prêtre, volumes, par Clarence J .D’Entremont,prêtre,volume 3 Famille LE JEUNE D'après Rameau de Saint-Père, Une colonie féodale en Amérique, L'Acadie (1604-1881), tome 2, p. 318-320, la famille Le Jeune-Briard serait une famille métisse acadienne. Elle serait très ancienne en Acadie, ainsi que l'affirme cet auteur: ±Les côtes de l'est de l'Acadie ont toujours été un centre où se réunissaient volontiers des familles métisses, dont la première origine remonte certainement jusqu'aux compagnons de Biencourt et de Latour. Quelques-unes de ces familles comptaient déjà une ou deux générations au recensement de 1671." ±La famille métisse des Lejeune était établie depuis longtemps à Mirligouesh (village indien et métis, situé entre le Cap-de-Sable et La-Hève), car deux hommes de Port-Royal avaient épousé deux filles Lejeune, entre. 1638 et 1650." En effet, en 1650, Catherine Le Jeune, âgée de 17 ans, épouse François Sçavoie. Seize ans plus tôt, en ) 1636, sa sœur aînée, née en 1623, avait épousé François Gautherot. Trois de leurs fils semblent être devenus coureurs de bois avec les Indiens et les Métis: Jean, François et Germain Gautherot disparaîtront successivement des recensements dès qu'ils auront atteint l'âge adulte. On sait que Charles de Biencourt, fils du baron de Poutrincourt, et son cousin et lieutenant, Charles de Saint-Etienne de La Tour, étaient restés à Port-Royal, avec quelques compagnons courageux après le départ de Poutrincourt, ramenant en France la plupart des colons, découragés par les rigueurs de 1 'hiver précédent. Abandonnés petit à petit par la France, ils vivent de chasse et de pêche, suivant les Indiens dans les bois. Après la mort de Biencourt, La Tour, qui lui a succédé, transporte la colonie au Cap-de-Sable, afin de se rapprocher des bancs, de pêche, fréquentés par les pêcheurs bretons et normands, qui sont devenus leur seul moyen de communication avec la France. Ils y construisent un fort, afin de se mieux protéger contre les attaques des navires de guerre anglo-américains.La Tour qui est très aimé des Indiens, est élu ±Grand Sagamos des Souriquuois Micmacs], Etchemins, Poutégeois et Quénubans,.. il épouse une Micmaque, probablement, une fille de Sachem. Comme il n'y a plus aucune fille française à marier en Acadie; plusieurs de ses compagnons l'imitent. Ces mariages seront bénis plus tard par les Récollets, GAUTHEROT, François, et Edmée LE JEUNE François Gautherot naquit en France en 1612', probablement dans la province de Touraine. Il vint en Acadie en 1632, avec le commandeur de Razilly (voir l'Acadie des origines, p. 37-40). " En 1636, à La Hève, François épouse Edmée Lejeune, qui n'est âgée que de 13 ans. Durant les premières années de la colonie, en Acadie, les filles à marier sont très rares et elles se marient très jeunes. Edmée lejeune était née en 1623 en Acadie, probablement au village Micmac établi près du premier fort de Port-Royal. Son père, venu en Acadie en 1611 avec Poutrincourt et Biencourt, avait épousé une indienne de la tribu abénaquise des Micmacs (voir la notice sur la famille Lejeune). En 1636, Charles de Menou d'Aulnay, devenu gouverneur de l'Acadie après la mort du commandeur Isaac de Razilly, transporte la colonie de La Hève à Port-Royal, choisissant un nouveau site, sur la rive sud du bassin de Port-Royal, à l'embouchure de la rivière Dauphin (voir l'Acadie des origines, p. 45-49). L'année suivante, une fille, Marie, naît aux époux Gautherot, suivie, en 1638, par un fils, Charles. De 1638 à 1646, nous ne connaissons aucun enfant à François et à Edmée. Il est bien probable qu'ils eurent deux ou trois enfants durant cette période, mais comme les registres de Port-Royal pour 'cette période ont été perdus et que notre seule source de renseignements est le recensement de 1671, nous n'en trouvons aucune trace: ils ont dû mourir en bas âge: la mortalité infantile étant assez élevée à cette époque. En 1646, une fille, nommée également Marie (ou parfois Anne-Marie), vient augmenter la famille; puis, en 1648, un second fils, appelé Jehan. En 1652, un couple de jumeaux, François et Renée, compléteront la demi-douzaine d'enfants vivants. À part quelques appels aux armes auxquels François Gautherot doit répondre pour défendre Port-Royal attaqué par les Anglais, il passe l'été à cultiver son lopin de terre, À la fin de l'automne et en hiver, il se livre à la chasse, en compagnie des Micmacs, cousins de sa femme: ses fils deviendront presque tous coureurs de bois. En 1656, deux ans après la prise de Port-Royal par les Anglais, la fille aînée de François, Marie, épouse Jean Potet, dit La Fortune, Suisse de Lucerne. http://www2.umoncton.ca/cfdocs/cea/livr ... 31&cform=T | Lejeune, Métis ou première arrivante Edmée (Aimée) (I3481)
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211 | PRDH 17310 | Deroy, Jacqueline (I6571)
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212 | PRDH 45056 | Langlois, Guillaume (I6202)
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213 | PRDH 62132 | Poirier, Philippe (I5357)
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214 | PRDH 65104 Parrain: Pierre Gagnier Marraine: Jeanne Ducorps Il s'agit de son premier mariage. Le second fut avec Marie Thérèse Collin, le 25 juin 1744 https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?pid=11109&partID=56398: ID No: 11109 Prénom: Pierre Nom: Robillard Sexe: M Occupation: Naissance: 28 septembre 1692 Paroisse/ville: Montreal Pays: Canada Bapt./Source: prdh Décès: 30 janvier 1750 - âge: 58 Paroisse/ville: Lavaltrie, Quebec Pays: Canada Inh./Source: prdh Information, autres enfants, notes, etc. Il est décédé à l'âge de 50 ans. Mariage ou union de fait Pierre 52 ans & Marie-Therese Collin 52 ans 25 juin 1744 St-Sulpice Canada | Robillard, Pierre (I698)
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215 | PRDH : 45361 | Legrand, Jean (I1705)
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216 | PRDH : 48768 1er mariage avec Jeanne Richecourt dite Malteau le 11 août 1676. 2e mariage avec Catherine Guichelin 16 février 1716. C'est là qu'il émigre à Châteauguay. Les 24 Roy d'origine: http://famillesroy.org/ancetres/les-24/ Wiki: http://memoireduquebec.com/wiki/index.php?title=Roy_dit_La_Pens%C3%A9e_%28Jean%29 : Militaire, homme de métier (maître charpentier) et agriculteur né vers 1646 dans la paroisse Saint-Julien-L'Ars (Vienne, Poitou, France). Le patronyme est aussi épelé Leroy. Arrive en Nouvelle-France le 17 août 1665 comme soldat de la Compagnie de Lafrenière du Régiment de Carignan-Salières. S'établit à Lachine. Père de la lignée Roy/Richecourt d'Amérique. Épouse (premières noces) Jeanne Richecourt dit Malteau à Ville-Marie (Montréal) 11 août 1676 ; de cette union sont issus François Roy (marié à Catherine Plumeau), Françoise Roy (mariée à Louis Roy) et Marie Roy (mariée à Michel Gaillou). Épouse (secondes noces) Catherine Guichelin à Montréal le 16 février 1716 ; cette union est sans postérité. Décès en 1719 (14 avril) à l'Hôtel-Dieu de Montréal. En 1729, il avait 25 descendants. Crédits - Dictionnaire généalogique des familles du Québec (René Jetté, Presses de l'Université de Montréal, 1983) Naissance d'une population - Les Français établis au Canada au XVIIe siècle (Presse de l'Université de Montréal, 1987) Pour le Christ et le Roi. La vie au temps des premiers Montréalais (Fondation Lionel-Groulx, sous la direction d'Yves Landry, Libre Expression, Art Global, 1992 http://www.genealogie.org/ancetres/gen0.htm : Jean Roy (ou Leroy) dit La Pensée, était originaire de Saint-Julien-l'Ars, non loin de Poitiers. Arrivé en 1665, il était soldat du régiment de Carignan (compagnie de Lafredière). Après son licenciement, il entra comme domestique à l'Hôtel-Dieu de Montréal. En 1676, il épouse Jeanne Richecourt dite Malteau, fille de Paul et de Marie Gaubert et veuve de Jean Foucher, à qui elle a donné trois enfants. Quatre autres naîtront de cette union, dont un fils François, qui épousera, à Lachine, en 1698, Catherine Plumereau ; elle devait être mère de neuf enfants, tous nés à ce dernier endroit. Jean Roy était maître charpentier. http://www.migrations.fr/compagniescarignan/compagnielafrediere.htm http://www.desbiens123.ca/desbiens/ancetres/roy.html : Jean Roy (ou Leroy) dit La Pensée, était originaire de Saint-Julien-l'Ars, non loin de Poitiers. Arrivé en 1665, il était soldat du régiment de Carignan (compagnie de Lafredière). Après son licenciement, il entra comme domestique à l'Hôtel-Dieu de Montréal. En 1676, il épouse Jeanne Richecourt dite Malteau, fille de Paul et de Marie Gaubert et veuve de Jean Foucher, à qui elle a donné trois enfants. Quatre autres naîtront de cette union, dont un fils François, qui épousera, à Lachine, en 1698, Catherine Plumereau ; elle devait être mère de neuf enfants, tous nés à ce dernier endroit. Jean Roy était maître charpentier. https://www.wikitree.com/wiki/DeRichecourt-1: M2- Jean ROY dit Lapensée , Maître-charpentier N: ca 1644, FRANCE- St-Julien, Poitou D: 14 avril 1719 Hôtel-Dieu de Montréal Soldat de la Cie La Fredière Régiment de Carignan. Fils de Jean ROY et Anne Brunet CM:27 juillet 1676 Montréal notaire Bénigne Basset; mariage le 11/08/1676 Montréal Jean ROY ou LeROY est arrivé sur le navire L'Aigle d'Or le 17 août 1665 Avait une terre au Sault-St-Louis à Lachine. Selon son contrat de mariage avec Jean ROY il est écrit ceci : "Sons tenus les future époux nourir Entretenir et Envoyer a une Escolle pour apprendre a lire et a escrire Jean Foucher agé de douze ans (un renvoi en marge:)"deux autres de ses freres" L 'un de l'age de huict ans et l'autre dix ans ou environ fils du dit defunt Jean foucher et de la future pouse jusqu'a ce quils solent promis par Mariage ou Autrement sans pour se prendre de luy ny sur ses biens Aucune chose" (autre renvoi:) " quils auraient de leurs biens sy aucun yont" Enfants avec Jean ROY ou LEROY: François: N le 20 B: 28.05.1677 Lachine Marie dite Françoise: N:23 et baptisé le 24 mars 1679 Lachine, Marie: N:le 16 et B: le 17.02.1683 Lachine Marie-Anne: N: le 2 B: 03.05.1686 Lachine. http://famillesroy.org/ancetres/les-24/: Jean LeRoy (Lapensée) et Jeanne Malleto (de Richecourt dit Maleteau) m.11-8-1676, Montréal Jean LeRoy dit LaPensée arrive au pays en 1665 pour joindre la compagnie Lafredière du régiment Carignan-Salières. Né vers 1644, il est le fils de Jean LeRoy et Anne Brunet de Saint-Julien l’Ars (Poitou). Étant charpentier de métier, on l’affecte immédiatement à la construction de forts. Après le démembrement du régiment, on le retrouve comme domestique à l’Hôpital-Général de Ville-Marie. En 1676, il unit sa destinée avec la veuve Jeanne Malleto, mère de 3 enfants issus de son mariage avec Jean Foucher. Née vers 1643, fille de Paul de Richecourt et Marie Gaubert de la Picardie (France), Jeanne était connue, en Nouvelle-France, pour ses services de sage-femme. Elle donne à son deuxième époux 4 enfants dont un seul fils, François Roy, qui perpétuera la descendance Roy dit LaPensée, suite à son mariage avec Catherine Plumereau en 1698 à Lachine. Jeanne Malleto décédera en 1715 à l’Hôtel-Dieu de Montréal. Devenu veuf, Jean Roy dit LaPensée convolera en secondes noces en 1716 avec Marie-Catherine Guichelin (parfois nommée Gosselin), âgée d’environ 63 ans, une Fille du Roy née en Picardie et dont c’était le 3e mariage. L’ancêtre Jean Roy dit LaPensée est décédé à l’Hôtel-Dieu de Montréal et a été inhumé le 14 avril 1719, agé denviron soixante quinze ans. Sa 2e épouse, M.-C. Guichelin, est décédée en 1733 à St-Joachim. (rév. 15 juillet 2014) http://www.naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/soldats/soldatsRoySail.html#roylapenseejean: ROY dit La Pensée, Jean soldat de la compagnie de LaFredière au régiment de Carignan; arrivé 18-08-1665 Québec; embarqué sur l'Aigle d'Or de Brouage; vendue ct 19-07-1670 Basset à Jean DUTERTRE dit Desrosiers ou Desmarais, soldat de la compagnie de LaMothe. (CS : 179, 321; DGFQ : 1019; SC; SFDRSC) L'Aigle d'Or, de Brouage 1665 Québec http://www.migrations.fr/compagniescarignan/compagnielafrediere.htm: Roy dit La Pensée, Jean : Né vers 1646 de Jean et de Anne Brunet, de Saint-Julien-L'Ars, ( 86800 ) dans le diocèse de Poitiers en Poitou (Vienne). Au recensement de 1666 et 1667, on le dit domestique à l'Hôpital Général de Montréal. Il sera confirmé à Montréal en mai 1666. Charpentier de métier, il est aussitôt employé à la construction des forts sur le Richelieu. Le 11 août 1676, il se marie à Montréal, avec Jeanne Malteau De Richecourt, (Cont. 27 juillet Not. Basset) et s'établira à Lachine. Jetté lui donne le nom de Jeanne Richecourt dite Malteau. Elle était la fille de Paul de Richecourt et de Marie Gaubert, de Saint-Jean de La Cassine en Picardie, et aussi la veuve d'un premier mariage avec Jean Faucher, en date du 4 novembre 1659 à Québec (Cont. 4 novembre 1659, Not.Audouart). Il était le fils de Pierre Faucher et de Jeanne Trapslonge, de Cressac, évêché d'Angoulême, Angoumois (Charente). Couple avec 3 enfants Jeanne Malteau décède à l'Hôtel-Dieu, le 31 mai 1715 à Montréal. Plusieurs femmes ont eu à prendre ses services comme sage-femme. Ménage établi à Montréal. (4 enfants). 1) François : né 20/05/1677 et baptisé le 28 Lachine 2) Marie : baptisée 24/03/1679 Lachine 3) Françoise : née ca 1680, épouse 29/10/1699 à Lachine Louis Roy de Maran 4) Marie : baptisée 17/02/1683 Lachine 5) Marie-Anne : baptisée 03/05/1686 Lachine Devenu veuf, Jean Roy en seconde noces prend pour nouvelle épouse, Catherine Guichelin, en date du 16 février 1716 à Montréal (Cont. 16 janvier 1716, Not. Le Pailleur). Elle était la veuve de Charles Tissiau dit Saint-Germain, fils de Pierre Tissiau et de Françoise Neveu, de Saint-Pierre-du-Chemin, ou Saint-Pierre-le-Vieux, arrondissement de Fontenay-le-Comte, évêché de Luçon, au Poitou, en Vendée. Lors de ce second mariage, il était devenu résidant de Châteauguay. Jean Roy décède à l’Hôtel-Dieu et inhumé le 14 avril 1719 à Montréal. (Tanguay: vol.1, p.534, 237; Jetté, p.1019, 434, 1083; Larin, p.140, # 153; Drouin, vol.2, p.1201; Sulte, Hist. vol.5, p.69(3); Girouard, Lake St-Louis, p.27 et 33; R.M. Le Régiment de Carignan, p.97; DBAQ, t4, p.306; Langlois, p.458) | LeRoy dit Lapensée, 1er arrivant Jean 1665 sur le navire L'Aigle D'Or de Brouage (I317)
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217 | PRDH : 49703 http://www.fichierorigine.com/recherche?numero=360060: NOISEUX / LOISEUX, Jean 360060 Statut Marié Date de naissance Vers 1700 Lieu d'origine Paris (Seine) 75056 Parents Martin et Marguerite Amblard Métier du père Marchand boucher Date de mariage des parents 00-02-1699 Lieu de mariage des parents Paris (75056) Date du contrat de mariage 08-02-1699 Notaire Me Louis Raymond et Demasle Première mention au pays 1726 Occupation à l'arrivée Migrant Date de mariage 05-02-1726 Lieu du mariage Longueuil Conjoint Marie-Anne-Françoise Menesson Date de décès Après 1734 Remarques Au mariage de ses parents, son père résidait rue Verbois, paroisse St-Nicolas-des-Champs à Paris. Sa mère résidait rue St-Martin dans la même paroisse. Le 20-09-1722, son frère Martin, et ses parents, demeuraient rue Neuve St-Martin paroisse St-Nicolas-des-Champs au moment de son contrat de mariage avec Marie-Anne Ancelé (f. André Ancelé et Marie Besu) devant le notaire Gabriel Mesnil à Paris; était présente Marguerite sa sœur. Ses grands-parents paternels sont François Noiseux, marchand boucher, et Marguerite Raportebled. Ses grands-parents maternels sont André Amblard, bourgeois de Paris, et Marie Tourin. À l'inventaire des biens de son père dressé par Me Jean Sainfray et Mahault le 22-10-1734, il est dit que Jean et Étienne Noiseux, absents depuis plusieurs années sont représentés par Jean-Claude Gouillart, conseiller du roi. Identification* DGFQ, p. 851 Chercheur(s) Jean-Paul Macouin Dossier d'archives numérisé Date de modification 2017-07-26 https://www.sgq.qc.ca/images/_SGQ/BD_web_libre/Actes_notaries_des_pionniers_de_Paris.pdf: NOISEUX, Jean, né à Paris (Saint-Nicolas-des-Champs) vers 1700, migrant arrivé au Canada avant 1726. Fils de Martin et de Marguerite Amblard (DGFQ, p. 851) ((FO 360059) Frères et sœur : Martin, marchand boucher rue Vraismée paroisse Saint-Eustache, marié à Marie-Catherine Brocard ; François, marchand boucher rue Saint-Martin paroisse Saint-Nicolasdes- Champs ; Marguerite, mariée à Denis Josset, marchand boucher rue de Bourbon paroisse Saint- Laurent. Contrat de mariage des parents : Le 08.02.1699 devant Louis Raymond et Jean Le Masle, Étude XC Martin Noiseux, marchand boucher à Paris, demeurant rue du Verbois, paroisse Saint-Nicolasdes-Champs, fils de défunt François Noiseux, marchand boucher, et Marguerite Raportebled, demeurant rue et paroisse, et Marguerite Amblard, fille d’André Amblard, bourgeois de Paris, et Marie Tourin, demeurant rue Neuve Saint-Martin, même paroisse. 2200 livres de dot dont 2000 livres en deniers comptants et 200 livres en linge, hardes, et ce en avancement d’hoirie. La moitié entrant en la communauté et le reste demeurant en propre à la future épouse. Le futur époux doue la future épouse de 1000 livres une fois payées les 1000 livres de douaire préfix. Les deux futurs époux signent très bien comme leur nombreuse famille parmi les témoins. Contrat de mariage de sa soeur : Le 08.05.1716 devant Pierre Aveline et Geoffroy Dussart, Étude XXXVIII 151 Denis Josset, marchand boucher, demeurant rue Neuve Saint-Martin, paroisse Saint-Nicolasdes-Champs, fils de Michel, marchand boulanger à Linois, et Anne Jombert, et Martin Noiseux, aussi marchand boucher, et demoiselle Marguerite Amblard son épouse, demeurant susdite rue 149 Neuve Saint-Martin, même paroisse, stipulant pour leur fille Marguerite. Parmi les témoins : François, Jean, Étienne, autre Étienne Noiseux, Marie-Catherine Noiseux, frères et sœurs, Louis Amblard, Catherine Raportebled aïlleuls. 5000 livres de dot dont 4000 livres en deniers comptants. 1000 livres en trousseau, habits, linge, hardes, meubles, et ustensiles de ménage. Le tiers entrera dans la communauté. 3000 livres de douaire. Le 16.05.1716 Denis Josset reconnaît avoir reçu les 5000 livres. Tous signent dont Jean et Étienne Noiseux. Inventaire après décès de son père Le 13.10.1734 devant Jean Sainfray et … Mahault, Étude XVI Jean et Étienne Noiseux absents depuis plusieurs années sont représentés par Jean-Claude Gouillart, conseiller du roi, substitut du procureur du roi. La maison où la famille habitait rue Saint-Martin appartenait à l’Hôtel-Dieu. Lors de l’inventaire il y avait entre autres, sept bœufs, cinq veaux, et vingt moutons destinés à la vente du lendemain. À la boucherie du faubourg Saint-Germain il y avait dans l’écurie quatorze bœufs, dix-huit moutons, et autres. Très nombreux papiers commerciaux. Un acte de tutelle concernant Martin Noiseux et Marie-Catherine Brocart a été enregistré au Châtelet de Paris le 19.03.1731 sous la cote Y4465B, Un acte de clôture d’inventaire après décès concernant Martin Noiseux a été enregistré au Châtelet de Paris le 22-02-1734 sous la cote Y5283. | Noiseux, 1er arrivant Jean (I1366)
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218 | PRDH :10662 Parrain: Alexis Buet Marraine: Barbe Bauvais Ancêtre de Hormidas Roy | Boursier, Barbe (I954)
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219 | PRDH no 22942 Elle était veuve de Jean Foucher (PRDH: 26220). Elle était la marraine de Marie Anne Royer (RIN 1385) dans la lignée des Noiseux côté Jeannotte. 1er mariage: 4 novembre 1659 à l'église Notre-Dame de Québec. Enfants nés de ce mariage: Jean Foucher (PRDH: 26221) né le 2 juin 1663 et marié à Marie-Anne Marchand le 26 novembre 1687 à Pointe-de-Levy (Lauzon) Gervais Fouchet (PRDH: 26199) né le 28 décembre 1665 à Château Richer et marié à Elisabeth Gerbe le 25 avril 1689 Joseph Fouche (PRDH: 26222) né le 9 décembre 1667 http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?pid=5875&partID=5874: Prénom: Jeanne Nom: Richecourt De Richecourt, Richecourt, Malteau Sexe: F Occupation: Sage-Femme Naissance: 1635 vers Paroisse/ville: St-Jean de LaCassine, Charleville-Mezieres, Picardie Pays: France Décès: 31 mai 1715 - âge: 80 Paroisse/ville: Hopital Hotel-Dieu, Montreal Pays: Canada Information, autres enfants, notes, etc. Fille de Paul et Marie Gaubert Se remarie avec Jean Roy https://gw.geneanet.org/genealogia11?lang=en&n=malteau+de+richecourt&oc=0&p=jeanne: about 1644 : Birth - Saint-Jean de La Cassine - Reims, 51100, Marne, Champagne-Ardenne, FRANCE Elle est aussi connue sous le nom de Jeanne Malleto de Richecourt, Jeanne de Richemont et Jeanne de Richecourt 4 November 1659 : Marriage (with Jean FOUCHER) - Québec, Québec Au cours de l'année 1674, Jeanne de Richecourt s'embarque pour la France, sans doute appelée pour des affaires de succession comme ce fut le cas de plusieurs autres français venus en Nouvelle-France. Pendant son absence , un malheur s'abat sur la famille et son retour au printemps de l'année 1675, elle ne trouve que désolation: leur maison et tous leurs papiers ont été détruits par le feu et son époux Jean Foucher est décédé en son absence le 23 mars 1675, l'Hôtel-Dieu de Québec. Nous devons toutes ces informations au notaire Paul Vachon qui apporte tous ces détails dans l'inventaire de biens qu'il dressait le 5 avril 1675. Cet inventaire fut fait la requête de Jean Prémont, tuteur, et Nicolas Patenaude, susbrogateur des trois enfants mineurs de feu Jean Foucher et ce, en l'absence de leur mère Jeanne de Richecourt. 11 August 1676 : Marriage Contract (with Jean LAPENSÉE ROY) - Lieu Indéterminé (Québec) Temoin : Bénigne BASSET (-1699), Lien: Notary Temoin : Bénigne BASSET (-1699), Type: , Notaire Selon son contrat de mariage avec Jean ROY il est écrit ceci "Sons tenus les future époux nourir Entretenir et Envoyer a une Escolle pour apprendre a lire et a escrire Jean Foucher agé de douze ans (un renvoi en marge:)"deux autres de ses freres" L 'un de l'age de huict ans et l'autre dix ans ou environ filsdu dit defunt Jean foucher et de la future pouse jusqu'a ce quils solent promis par Mariage ou Autrement sans pour se prendre de luy ny sur ses biens Aucune chose" (autre renvoi:) " quils auraient de leurs biens sy aucun yont" Witness : Bénigne DESLAURIERS BASSET 1628-1699 11 August 1676 : Marriage (with Jean LAPENSÉE ROY) - Notre-Dame - Montréal, Québec Roy dit La pensée, Jean : Né vers 1646 de Jean et de Anne Brunet, de Saint-Julien-L'Ars, ( 86800 ) dans le diocèse de Poitiers en Poitou (Vienne). Au recensement de 1666 et 1667, on le dit domestique à l'Hôpital général de Montréal. Il sera confirmé à Montréal en mai 1666. Charpentier de métier, il est aussitôt employé à la construction des forts sur le Richelieu. Le 11 août 1676, il se marie à Montréal, avec Jeanne Malteau De Richecourt, (Cont. 27 juillet Not. Basset) et s'établira à Lachine. Jetté lui donne le nom de Jeanne Richecourt dite Malteau. Elle était la fille de Paul de Richecourt et de Marie Gaubert, de Saint-Jean de La Cassine en Picardie, et aussi la veuve d'un premier mariage avec Jean Faucher, en date du 4 novembre 1659 à Québec (Cont. 4 novembre 1659, Not.Audouart). Il était le fils de Pierre Faucher et de Jeanne Trapslonge, de Cressac, évêché d'Angoulême, Angoumois (Charente). Jeanne Malteau décède à l'Hôtel-Dieu, le 31 mai 1715 à Montréal. Plusieurs femmes ont eu à prendre ses services comme sage femme. Ménage établi à Montréal. (4 enfants). 31 May 1715 : Death - Hôtel-Dieu de Montréal, Québec http://www.migrations.fr/compagniescarignan/compagnielafrediere.htm: Le 11 août 1676, il (Jean Roy dit LaPensée) se marie à Montréal, avec Jeanne Malteau De Richecourt, (Cont. 27 juillet Not. Basset) et s'établira à Lachine. Jetté lui donne le nom de Jeanne Richecourt dite Malteau. Elle était la fille de Paul de Richecourt et de Marie Gaubert, de Saint-Jean de La Cassine en Picardie, et aussi la veuve d'un premier mariage avec Jean Faucher, en date du 4 novembre 1659 à Québec (Cont. 4 novembre 1659, Not.Audouart). Il était le fils de Pierre Faucher et de Jeanne Trapslonge, de Cressac, évêché d'Angoulême, Angoumois (Charente). Couple avec 3 enfants Jeanne Malteau décède à l'Hôtel-Dieu, le 31 mai 1715 à Montréal. Plusieurs femmes ont eu à prendre ses services comme sage-femme. | Richecourt dite Malteau ou Malleto, 1ère arrivante Jeanne Vers 1659. Navire inconnu. (I318)
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220 | PRDH: https://www.nosorigines.qc.ca/genealogieQuebec.aspx?genealogie=Theriault_Jeanne&pid=7779 : conjoint(e) ID No: 7778 Prénom: Pierre Nom: Thibodeau Sexe: M Occupation: meunier en haut de la rivière, appelée prée La Ronde Naissance: 1631 vers Paroisse/ville: Pays: Bapt./Source: Vers 1631 (RcPR 1671 40 ans, 1686 55 ans, 1693 59 ans (sic), 1698 65 ans, 1700 80 ans (sic) S. White Décès: 26 décembre 1704 - âge: 73 Paroisse/ville: Port-Royal, Acadie Pays: Canada Inh./Source: D/S Rg PR 26/27 décembre 1704, 80 ans (sic) S. White Information, autres enfants, notes, etc. Il est meunier en haut de la rivière, appelée prée La Ronde (S. White) http://www.acadian-home.org/acadian-origins.html : THIBODEAU, Pierre, came from France, according to Charles LeBlanc, husband of his granddaughter Élisabeth Thibodeau (Doc. ind., Vol. III, p. 90). There is one generation too many in the Thibodeau lineage as laid out in Charles LeBlanc's deposition. As it seems rather unlikely that Charles's wife, whose father was named Jean Thibodeau, would have added a second Jean in her own ancestry, it may be that the error was made by the clerk charged with writing out the information by the s?n?chal of Auray, who had the overall supervision of the taking of the depositions. Charles LeBlanc apparently did not mention Pierre Thibodeau's wife. She was Jeanne Thériot, daughter of the Jean Thériot mentioned in the preceding paragraph (see DGFA-1, p. 1508). NB: Jean Thériot est notre RIN: 3245 | Thibodeau, 1er arrivant. Pierre (I1258)
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221 | PRDH: http://genealogie.quebec/info/index.php?no=28211 : Michel Richard dit Sansoucy 1, 1 (1630 - 1687) # 28211 (Ajouter une note) Il est aussi connu sous le nom de Michel Richard dit Sanssoucy 2. Il naît en 1630 à La Rochelle, Charente-Maritime, France 3. Il épouse Madeleine Blanchard, fille de Jean Blanchard et Radémonde Lambert vers 1656 à Port-Royal, Acadie, Canada 2, 3. Il épouse Jeanne Babin, fille de Antoine Babin et Marie Mercier en 1682 à Port-Royal 1, 1. Il décède en 1687. Liste de ses enfants connus: + 1. René Richard (1659 - ) (de Madeleine Blanchard) 2. Michel Richard (1661 - ) 3, 5 (de Jeanne Babin) 3. Pierre Richard (1662 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) 4. Catherine Richard (1663 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) + 5. Martin Richard (1665 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) + 6. Alexandre Richard (1668 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) 7. Anne-Marie Richard (1670 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) 8. Cécile Richard (1670 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) + 9. Madeleine Richard (1670 - 1712) 3 (de Madeleine Blanchard) + 10. Anne Richard (1674 - 1745) 4 (de Madeleine Blanchard) 11. Marie-Antoinette Richard (1674 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) 12. Marguerite Richard (1679 - ) 3 (de Madeleine Blanchard) Il est laboureur 4. 1. Rec. 1686 Acadie - 2. Courriel de Richard Courtemanche - 7 août 2008 3. Courriel de Ronald Iacobucci - 25 janvier 2005 4. Courriel de R. Charron-Chénier - 7 janvier 2004 5. Courriel de Sylvie Bernard - 8 octobre 2004 La dernière mise à jour de cette personne a été faite le 2016-11-21 http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : RICHARD dit SANSOUCY, Michel, came from France and married at Port-Royal Madeleine Blanchard, according to Pierre Doucet, husband of his great-granddaughter Marie-Blanche Richard (Doc. ind., Vol. III, pp. 53-54). Pierre mistakenly called his wife's great-grandmother Anne, instead of Madeleine, but the 1671 census shows her true given name (see DGFA-1, pp. 1373-1374). Three other depositions confirm the French origin of Michel Richard dit Sansoucy, although two of these attribute the given names of René to him and Marie to his wife, one from his great-grandson Pierre Richard (Doc. in?d., Vol. II, p. 191) and the other from Joseph LeBlanc dit Le Maigre, on behalf of his son Joseph, whose wife Angélique Daigre was another great-grandchild of the ancestor (ibid., p. 178). The last deposition, from Pierre Trahan, whose father-in-law's first wife was Michel Richard's daughter, provides no given name for the ancestor and does not mention his spouse at all (ibid., Vol. III, p. 111). | Richard dit Sansoucy, 1er arrivant. Acadie Michel (I3338)
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222 | PRDH: http://www.acadian-home.org/acadian-origins.html: THÉRIOT, Jean, came from France, according to three depositions: one from Marie-Josephe Dupuis, widow of his great-grandson Pierre Th?riot (Doc. ind., Vol. III, p. 127), and two others from the second husbands of the widows of that same Pierre's brothers Cyprien (ibid., Vol. II, p. 181) and Simon-Joseph (ibid., p. 193). None of these depositions mentions Jean Thériot's wife Perrine Rau, who is only known to Acadian genealogy through her appearance in the 1671 census (see DGFA-1, pp. 1483-1484). Jean Thériot est le père de Jeanne Thériault, épouse de Pierre Thibodeau, notre RIN: 1258. https://www.wikitree.com/wiki/Th%C3%A9riot-99 : Jean Thériot (abt. 1601 - bef. 1686) Privacy Level: Open (White) Jean Thériot aka Theriault, Terrio, Terriau Born about 1601 in Francemap Son of [father unknown] and [mother unknown] [sibling(s) unknown] Husband of Perrine Rau — married about 1636 [location unknown] DESCENDANTS descendants Father of Claude Thériot, Jean Thériot II, Bonaventure Thériot, Jeanne Thériot, Germain Thériot, Catherine Thériot and Pierre Thériot Died before 1686 in Port-Royal, Acadiemap Profile managers: Jacqueline Girouard private message [send private message], Maurice Manuel private message [send private message], Sandy Gifford private message [send private message], Maurice LeBlanc private message [send private message], Acadians Project WikiTree private message [send private message], Roland Arsenault private message [send private message], Phil Masse private message [send private message], and Mark Mcguire private message [send private message] Profile last modified 2 Feb 2019 | Created 26 Jun 2013 This page has been accessed 6,291 times. The Acadian flag. Jean Thériot is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA Contents [hide] 1 Biographie 2 Biography 3 Timeline 4 Sources Biographie Flag of France Jean Thériot migrated from France to Acadia. Flag of Acadia (English version below) Jean Thériot, orignaire de France,[1][2] est né vers 1601.[3] La date de mariage du 9 mai 1635 à Martaizé, département Vienne, qu'on retrouve parfois sur Internet est inventée et fictive. Les registres de la paroisse Martaizé manquent entre 1631 et 1649 Vers 1636 Jean épousa Perrine Rau. Entre vers 1637 et 1654 le couple a eu sept enfants: Claude, Jean, Bonaventure (dit Venture), Jeanne, Germain, Catherine, et Pierre.[4] Jean est décédé avant le recensement de 1686.[1] Biography (version française ci-dessus) Jean Thériot, originally from France,[1][5][2] was born about 1601.[3] Jean is a pioneer of Acadia. Around 1636 he married Perrine Rau. Between about 1637 and 1654 the couple had seven children: Claude, Jean, Bonaventure (dit Venture), Jeanne, Germain, Catherine, and Pierre.[4] The family arrived in Acadia prior to 1650.[4] Around the time of their son Pierre's birth (1654), Port-Royal was captured by Robert Sedgwick, who led 300 British soldiers and volunteers.[6] "The [French] soldiers at Port-Royal, who numbered about 130 … put up a brief defence against Sedgwick. Setting up an ambush between the landing site of the English troops and the fort, the Frenchmen fired on the attackers but proved no match for the experienced Roundheads. The French soon "took their heels to ye Fort." On August 16 the fort surrendered... Sedgwick granted honourable terms, allowing the defenders to march out of the fort with flags flying, drums beating, and muskets at the ready. The soldiers and employees working at the fort were offered transportation back to France and given enough pelts to cover their wages."[6] Although the commander of Port Royal left for France, most Acadians, including the Thériots remained in Acadia. They were permitted to retain their land and belongings and were guaranteed religious freedom. Dunn[6] describes life in Acadia during the 16 years of nominal British rule: "During the years of British rule, most of the Port-Royal population moved upriver away from the town. Using the agricultural practices initiated under D'Aulnay, the Acadians dyked and cultivated extensive salt marshes along the river and raised livestock. Through necessity, residents had reached an accommodation with New England traders who had become their sole source for the goods that they could not produce themselves... New England traders exchanged their goods for Acadian produce and furs... There were seventy to eighty families in the Port Royal area in 1665." In 1671, Acadia had been ceded to the French.[7] 70 year old Jean and 60 year old Perrine were living on a farm with 5 arpents[8] of cultivated land[9], 6 cattle, and 1 sheep. Most of their children were married, except for Pierre 16. It is not clear where the family homestead was located. A 1707 map (after Jean's death) shows son Claude living upriver from the fort near the Bellisle marshes. Son Bonaventure was living closer to the fort downriver.[10] Jean died before the 1686 Census[1] at Port-Royal.[4] See also Find a Grave Memorial: Jean Terriau The memorial actually has two death dates for him: 1686 and between the census of 1671 and census 1678. The memorial states he is buried at the old Garrison Cemetery, located on the grounds of Fort Anne National Historic site in Annapolis Royal Nova Scotia. Timeline c1601 birth, in France 1632 Treaty Saint-Germain-en-Laye cedes Acadia to France; Razilly brings ~300 elite men[11] 1636 Arrival of the first French families to settle permanently[5] c1636 marriage to Perrine Rau c1637 birth, son Claude c1639 birth, son Jean c1641 birth, son Bonaventure c1643 birth, daughter Jeanne c1646 birth, son Germain b1650 arrival, Acadia c1650 birth, daughter Catherine c1654 birth, son Pierre 1654 British capture Port-Royal; French settlement ceases[12] 1667-70 Treaty of Breda cedes Acadia to the French; settlement resumes[7] c1671 residence, in Port-Royal b1686 death, in Port-Royal Sources ? 1.0 1.1 1.2 1.3 Arsenault, Bona. Histoire Et Généalogie Des Acadiens. Québec: Le Conseil De La Vie Française En Amerique, 1965. Print. ? 2.0 2.1 RACINES ACADIENNES: JEAN THÉRIOT ET PERRINE RAU ? 3.0 3.1 Based on his age in the 1671 Census ? 4.0 4.1 4.2 4.3 White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print, p1483-1484; 1486 (son Claude attested in 1687 in favour of d'Aulnay, and therefore family was in Acadia prior to d'Aulnay's death in 1650. Note Claude was about 13 at the time of d'Aulnay's death. ? 5.0 5.1 Massignon, Geneviève. "Les parlers français d'Acadie, enquête linguistique", Librairie Klincksieck, Paris, 1962, 2 tomes, p 32 (arrival of First French families in Acadia); p49 (Theriault family; alliance with Dupuis family in France; link to d'Aulnay estates in France. ? 6.0 6.1 6.2 Dunn, Brenda. A History of Port Royal / Annapolis Royal 1605-1800. Nimbus Publishing, p 23-24(1654 Capture of Port-Royal); p25-27;29 (the English period 1654-1670). ? 7.0 7.1 In collaboration, “MORILLON DU BOURG,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? Statistics Canada defines an arpent as 0.845 acres. According to Clark (see reference page 87), "The arpent was a basic French unit of land measurement, both linear and areal, but its size at the time is uncertain. In length, 200 feet may be a rough equivalent for an arpent in the seventeenth and eighteenth centuries; it was later standardized to 192 feet. An areal arpent may have been something less than an acre (the usual equivalent was .845 acres) although it has been given the equivalent of as much as an acre and a half in some twentieth century definitions." ? Charles Trahan's translations adding land holdings to 1671 Census ? Au Coeur de l'Acadie Acadian Settlement on the Annapolis River 1707 Map Parks Canada ? George MacBeath, Biography – RAZILLY, ISAAC DE – Volume I (1000-1700) – Dictionary of Canadian Biography Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20 ? William I. Roberts, 3rd, “SEDGWICK, ROBERT,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 1671 Acadian Census at Port Royal: Jean TERRIAU, 70, wife, Perrine RAU 60; Children (married): Claude 34, Jean 32, Bonaventure 30, Germain 25, Jeanne 27, Catherine 21; (not married): Pierre 16; cattle 6, sheep 1. Also this posted by Karen Theriot Reader, Rootsweb.com, Reader-22. Family # 15: Jehan TERRIAU, age 70 (soixante et dix ans) Living with wife Perrinne RAU, age 60. Their seven children (six of whom are married) are listed: Claude 34, Jehan 32, Bonaventure 30 [27 on own entry], Germain 25, Jeanne 27, Catherinne 21, and Pierre, 16 and single. [At the time, there were 68 families (295 persons) living in Port Royal, 392 [could it be 329?] persons in all of Acadia.] The family has 6 head of cattle and 1 sheep, with 5 arpents of workable land. Jehan is listed as "Laboureur" or Plowman. CENSUS-DEATH: Neither Jean nor his wife Perrine appear on the 1678 census of Port Royal, Acadia. CENSUS: 1686, Port Royal, Acadia, no listing for Jean. A Perrine BOURC, listed as "Mere," is living with this family's granddaughter Marguerite TERIO & her husband Claude LANDRY. [This is the Perrine BOURG, mother to Claude LANDRY. This is likely where the confusion over Jean's wife's surname began. Both Jean TERRIAU and his wife were probably deceased.] Life of Jehan and Perrine Terriot in Acadia (English and Français) http://www.terriau.org/welcome_english.htm http://www.terriau.org/welcome_francais.htm Jean Terriau http://www.lebic.net/therriault/generation02.html : JEHAN TERRIOT et PÉRINNE BREAU PREMIÈRE GÉNÉRATION Jehan est né en 1600, dans le village de Mairtaizé région de Loudun, en France. Il s'est marié vers le 8 mai 1632 à Périnne Breau qui est née en 1611. Ils partirent d'Auray le 28 juillet 1632 et arrivèrent en Acadie le 8 septembre 1632 après un mois et demi de navigation. Au recensement de 1686 Jehan et Périnne sont tous les deux décédés. Selon plusieurs recherches Jehan serait décédé vers 1686 et Périnne vers 1671. LES ORIGINES (VENUS DE FRANCE) | Thériault, 1er arrivant. Acadie Jean Vers 1650 (I3245)
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223 | PRDH: https://annapolisheritagesociety.com/genealogy/family-histories/acadian-boudreau-family/ : The Acadian Boudreau Family The Boudreau family in North America descends from early Acadians Michel Boudrot and his wife, Michelle Aucoin. Michel Boudrot, b. c. 1601, perhaps of the parish of Notre-Dame-de-Cougnes, near La Rochelle, France, was living in Port-Royal by September 1639 when, as one of the settlement’s two syndics (community representatives), he witnessed the baptism of Governor d’Aulnay’s eldest daughter, Marie. Within a year or two he was married to Michelle Aucoin, b. near La Rochelle c. 1618, daughter of Martin and Barbé (Minguet) Aucoin. She and her orphaned siblings had arrived in Port-Royal c. 1640 with their widowed step-mother, Marie Sallé. The Boudreau family apparently thrived despite the political turmoil that periodically engulfed the tiny community. In 1654, the settlement was captured by a combined force of New Englanders and English Roundheads under Robert Sedgewick. It would remain under British control until 1670. During this period, the French inhabitants (the Boudreaus among them) were allowed to retain their property and were guaranteed religious freedom. The return of the area to French jurisdiction marked a period of expansion for the growing settlement. From Port-Royal, second generation Acadians, including several of the Boudreau children, became the founders of Grand-Pré, Beaubassin, Pisiquid, Cobequid and other villages on the tidal marshes of the Bay of Fundy. Michel Boudrot and his wife remained at Port-Royal, where in 1686, at 85 years of age and deaf, he was listed as the lieutenant general of justice (magistrate). He was recommended for replacement shortly afterwards, and he died at Port-Royal between 20 Aug. 1688 (when he was replaced) and the taking of the 1693 census, in which his wife Michelle is listed as a widow. She died 17 Dec. 1706. Early Acadie was notable for its rapid population growth, facilitated largely by a very low infant mortality rate, and the Boudrots were typical of Acadian families of the time. The household of Michel Boudrot and Michelle Aucoin included eleven children who grew to adulthood and married. Their children: 1. Françoise Boudreau, b. Port-Royal 1642, m. Port-Royal 1663 Étienne Robichaud, b.1640. 2. Jeanne Boudreau, b. Port-Royal 1645, d. Port-Royal 8 May 1710, m. Port-Royal 1666 Bonaventure Theriault, b. Port-Royal 1641 son of Jean and Perrine (Reau) Theriault, d. Grand-Pré 3 May 1731. 3. Charles Boudreau, b. Port-Royal 1646, d. Pisiquid (now Windsor) after 1714, m. (1) Port-Royal 1672 Renée Bourg, b. Port-Royal 1655 daughter of Antoine and Antoinette (Landry) Bourg, m. (2) Port-Royal 1686 Marie Corporon, b. Port-Royal Sept. 1671 daughter of Jean and Françoise (Savoie) Corporon. 4. Marguerite Boudreau, b. Port-Royal 1648, m. (1) Port-Royal 1665 François Bourg, b. Port-Royal 1643 son of Antoine and Antoinette (Landry) Bourg; m. (2) Port-Royal 1691 Jean Babineau, b. France 1660, d. Annapolis Royal 5 Sept. 1741. 5. Marie Boudreau, b. Port-Royal 1650, m. 1673 Michel Poirier, b. 1650, son of Jean and Jeanne (Chebrat) Poirier. 6. Jean Boudreau, b. Port-Royal 1655, d. Grand-Pré before 1679, m. Port-Royal 1676 Marguerite Bourgeois, b. Port-Royal 1658 daughter of Jacques and Jeanne (Trahan) Bourgeois, d. Beaubassin 8 Aug. 1732. 7. Abraham Boudreau, b. Port-Royal 1657, d. 1701, m. Port-Royal 1686 Cecile Melançon, b. Port-Royal May 1671 daughter of Charles and Marie (Dugas)Melançon, d. Ile St. Jean (now Prince Edward Island) Apr. 1735. 8. Michel Boudreau, b. Port-Royal 1659, d. before 1714, m. Port-Royal 1690 Marie-Madeleine Cormier, b. Port-Royal 1670 daughter of Thomas and Marie-Madeleine (Girouard) Cormier. 9. Olivier Boudreau, b. Port-Royal 1661, d. Port-Royal 1689, m. Port-Royal 1686 Isabelle Petitpas, b. Port-Royal 1670 daughter of Claude and Catherine (Bugaret) Petitpas. 10. Claude Boudreau, b. Port-Royal 1663, d. Riviere au Vieux Habitants March 1739/40, m. (1) Port-Royal 1682 Anne-Marie Thibodeau, b. Port-Royal 1666 daughter of Pierre and Jeanne (Theriault) Thibodeau; m. (2) 1700 Catherine Meunier, daughter of Jean and Marguerite (Housseau) Meunier; m. (3) Annapolis Royal 7 Aug. 1735 Madeleine Corporon, b. Port-Royal 1672 daughter of Jean and Françoise (Savoie) Corporon. 11. Francois Boudreau, b. Port-Royal 1666, d. Annapolis Royal 27 Sept. 1733, m. Port-Royal 1692 Madeleine Belliveau, b. Port-Royal 1676 daughter of Jean and Jeanne (Bourque) Belliveau. http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : BOUDROT, Michel, came from France with his wife Michelle Aucoin, according to four depositions, two made by his great-grandsons, Félix Boudrot (Doc. ind., Vol. III, p. 39) and Pierre Boudrot (ibid., p. 120), one made by a great-great-grandson, also named Félix Boudrot (ibid., p. 36), and another made by Pierre LeBlanc, husband of his great-great-granddaughter Françoise Trahan (ibid., p. 41). | Boudreau, 1er arrivant Michel Vers 1639 à Port-Royal (I1332)
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224 | PRDH: https://www.geni.com/people/Pierre-Comeau-dit-L-Esturgeon/6000000004121553420: Pierre "L'Aine" Comeau dit L'Esturgeon Also Known As: "L'Aine dit L'Esturgeon", "Comeaux" Birthdate: circa 1652 (78) Birthplace: Dijon, Côte-d'Or, Burgundy, France Death: 08 Avril 1730 (74-82) Port-Royal, Acadie Lieu de sépulture: Port-Royal, Acadie Famille proche : Fils de Pierre-Emile Comeau et Rose Comeau Époux de Jeanne Comeaux, II Père de Marie-Anne Comeau; Marguerite-Madeleine Comeau; Anne Comeau; Anne-Jeanne Jeanne Comeau; Cécile Comeau et 14 autres Frère de Étienne Pierre Comeau; Marie-Françoise Comeau; Jean Comeau, l'aîné; Pierre "le Jeune" Comeau; Antoine Comeau, I et 3 autres http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=7851: | Comeau dit L'Esturgeon, Pierre L'aîné (I1322)
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225 | PRDH: https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Richard_Michel&pid=33469: ID No: 33468 Prénom: Madeleine Nom: Blanchard Sexe: F Occupation: Naissance: 1643 vers Paroisse/ville: Port-Royal, Acadie Pays: Canada Décès: Paroisse/ville: Port-Royal, Acadie Pays: Canada Inh./Source: Décédée entre rec. 1678 et 1684 (année de naissance de Michel Richard fils né du mariage de Michel Richard et de sa seconde épouse Jeanne Babin). Port-Royal (bim) (Acadie) (DGFA 143). A. Desaulniers Information, autres enfants, notes, etc. | Blanchard, Madeleine (I3339)
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226 | PRDH: https://www.wikitree.com/wiki/Rau-71 : Perrine Rau aka Ruau, Reau Born 1611 in Francemap Daughter of [father unknown] and [mother unknown] [sibling(s) unknown] Wife of Jean Thériot — married about 1636 [location unknown] DESCENDANTS descendants Mother of Claude Thériot, Jean Thériot II, Bonaventure Thériot, Jeanne Thériot, Germain Thériot, Catherine Thériot and Pierre Thériot Died after 1671 in Port-Royal, Acadie, Nouvelle-Francemap [uncertain] Profile managers: Carroll Woods private message [send private message], Acadians Project WikiTree private message [send private message], and Roland Arsenault private message [send private message] Profile last modified 20 Feb 2018 | Created 4 May 2011 This page has been accessed 6,710 times. The Acadian flag. Perrine Rau is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA Flag of France Perrine Rau migrated from France to Acadia. Flag of Acadia Contents [hide] 1 Biography 2 Timeline 2.1 Marriage 3 Discussion 4 Research 5 Sources 6 Acknowledgements Biography Perinne Rau is the ancestral matriarch of the Acadian Thériot Family. Perrinne Rau was born around 1611.[1] in France. Around 1636 she married Jean Thériot. Between about 1637 and 1654 Perinne gave birth to seven children: Claude, Jean, Bonaventure (dit Venture), Jeanne, Germain, Catherine, and Pierre.[1] The family arrived in Acadia prior to 1650.[1] In 1671, 60 year old Perinne is found living with her family in Port Royal (Annpolis Royal Acadia). Perinne died sometime after the 1671 Census. Timeline c1611 birth, in France c1636 marriage to Jean Theriot c1637 birth, son Claude c1639 birth, son Jean c1641 birth, son Bonaventure c1643 birth, daughter Jeanne c1646 birth, son Germain before 1650 arrival, Acadia c1650 birth, daughter Catherine c1654 birth, son Pierre c1671 residence, in Port-Royal Died: Before 1679 Port Royal, Acadia[2] Marriage Husband: Jean Theriot Wife: Perrine Rau Date: ABT 1636 Place: France[3][4][5] Discussion Last Name. Ambiguity still exists among researchers as to Perrine's last name due to lack of evidence other than the 1671 census.[6] Brault and Bourg are proposed alternatives to Rau, but without further evidence it is prudent to follow Stephen White's lead and stick with Rau. Given Perrine's ambiguous identity, it follows that her parents are not known. René Brault and Marie Renulme have been suggested as being Perrine's parents, but DNA evidence would suggest Perrine does not share the same mother as Marie's daughter Renée[7] Also, René would have been around 8 years old when Perrine was born. DNA. Perrinne Rau's maternal DNA is H4a [8] Ongoing test results are also reported here. As of May 2014, 8 descendants have consistently reported a haplogroup H, indicating European origins. Maternal family trees linked to mtDNA are found at WikiTree (see connection upper right corner of this profile page), as well as on Lucie LeBlanc Constantino`s origins page. FIrst Spouse Pierre Brouillard. Some trees maintain that Perrine Rau/Reau was the first wife of Pierre Brouillard. They were married in 1628 in Chalons France, when she was around 17 years old. They separated after the birth of their first child Louis, born 1635 in Chambon France. Perrine went to Acadia while Pierre stayed in France. Pierre remarried (Marguerite Pognon) as did Perrine (Jean Terriau/Theriot). Source to track down: Family records of Lee Marie Brouillard (2011 Edmonton Canada) who cites Maritime Archives - Ministry of the Colonies Records, Paris France. Research Notes Published by Karen Theriot Reader, Rootsweb.com Reader-22 NAME: Adrien Bergeron, LE GRAND ARRANGEMENT DES ACADIENS AU QUEBEC; 1600-1889; vol. 8, Syr-Vig; p. 49; Gail Burk's copy. Name spelled Perrine RUAU, born 1611. But on p. 43, says that Jean TERRIAU married Perrine BOURG [sic] (Reference : Coll. de manuscrits: I/83). NAME: Bona Arsenault, HISTOIRE ET GENEALOGIE DES ACADIENS , vols. 1-6; 1630-1775; Quebec, Le Conseil de la Vie Franca ise en Amerique, 1965; p. 804 (Port Royal, husband's entry) ; Univ. of Calif., Berkeley Library, CS31 A77 MAIN. Listed as Perrine BOURG [sic], wife of Jean TERRIAU. No separate listing for her as an individual under BOURG. Jean was "without doubt" originally from Martaize (a footnote cites G nevieve Massignon, LES PARLERS FRANCOIS D'ACADIE, vol. 1, p . 49), in the Loudun region, department of Vienne, France . They married around 1635, arrived in Acadia around 1637. First child listed was born in 1637. NAME-DAUGHTER: Janet B. Jehn, CORRECTIONS & ADDITIONS TO ARSENAULT'S HISTOIRE ET GENEALOGIE DES ACADIENS; 1630-1830 ; by author, 863 Wayman Branch Road, Covington, KY 41015, 1 988; p. 10 (reference to p. 595 of Arsenault). Should be Pe rrine RUAU "as closely as can be determined from handwritte n census, and not BOURG. (1671 census of Acadia)." Also on p. 15-16 (in reference to p. 804 in Arsenault): "Perrine BOURG should read RUAU, according to handwritten original of 1671 census [of Acadia]." NAME: Her name is sometimes given by researchers as RAU, or REAU, RUAU, BREAU, even BEAU, but the only existing record giving her name is the first census of Port Royal, Acadia in 1671. There are two versions of this document, in two different handwritings, both apparently done near the same time. One is found in France, the other is in the Canadian archives. [There is also another Acadian woman in 1671 named Perrine BOURG married to René LANDRY.] NAME: Spelled RUAU in Genevieve MASSIGNON's "Les Parlers F rancais d'Acadie," p. 49. This is also the version given by Joseph PITRE on his abstract of the 1671 census. Sources ? 1.0 1.1 1.2 White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print, p1365; 1483-1484; 1486 (son Claude attested in 1687 in favour of d'Aulnay, and therefore family was in Acadia prior to d'Aulnay's death in 1650.. ? Source: #S105 Page: #125930251 Text: Perrine REAU TERRIAU, born 1611 in Martaize, Departement de la Vienne, Poitou-Charentes, France, died 1672 [uncertain] in Port Royal, Nova Scotia, Canada. Family link to spouse and one child. A photo is posted that lists the TERRIAU surname, among others, with the following heading in English and French: "Many of the Acadians of North America are descendants of the families in the census Acadie 1671." Perrien [sic] married Jehan on 8 May 1635 [sic, no record exists], in Martaize, Vienne, France. She is also known as Perrine Bourg [sic], Brault, Breau, and Rau. They are the parents of the following known children: Claude Theriot; Jehan Theriot; Bonaventure (dit Venture); Theriot Jeanne Theriot; Germain Theriot; Catherine Theriot; Pierre Theriot ? Source: #S14 pp. 1365 & 1483 Note: No place given for marriage. ? Source: #S195 p. 804 (Port Royal) Text: Already married around 1635 to Perrine BOURG [sic]; seven children. ? Source: #S125 Page: vol. V, nos. 1-2 (1975); p. 111, Reply to a query, Text: "THÉRIAULT (and all the varied spellings: Thériau, Therriot , Thériot, Thériaud, Terrio, Tério, Terriote, Terriot, Terriau, etc.) is an Acadian family name. The first ancestor is Jehan Terriot, b. 1601, the husband of Perrine Rau (or Beau, Bau) and they were married either in France or in Acadia ca. 1636. They lived at Port-Royal, Acadia, In the census of 1671 they had seven children and five [sic, should be six, but one not in Port Royal] of them were already married." ? http://www.terriau.org/archive/sources.htm#13 ? Notes on mtDNA results ? FTDNA Mothers of Acadia project results Source: S105 Find A Grave Repository: #R16 Repository: R16 Name: Internet Address: Source: S14 Title: Stephen A. White, Dictionnaire Généalogique des Familles Acadiennes (2 vols., Moncton, New Brunswick: Centre d'Études Acadiennes , 1999) http://genealogy-canada.org/GenealogieQuebec.aspx?genealogy=Perrine_Rheault&pid=650307&lng=en 1671 Acadian Census at Port Royal: Jean TERRIAU, 70, wife, Perrine RAU 60; Children (married): Claude 34, Jean 32, Bonaventure 30, Germain 25, Jeanne 27, Catherine 21; (not married): Pierre 16; cattle 6, sheep 1. Also: : CENSUS: 1671, Port Royal, Acadia, in Canada. Archives des Colonies. Acadie, Recensements; 1671-1752; MG 1 (22, 24) , vol. 466, part 1; pp. 1-13; microfilm copy at Santa Cruz Public Library, Genealogical Society Library, CANADA MF ; filmed by Canada, Public Archives on 17 Feb 1960, this copy is machine numbered in upper right corner. Name spelled Perrinne RAU [my own reading] (KTR), age 60 years. [This is the Canadian copy of the original version, in different handwriting.] Acknowledgements Research by Karen Theriot Reader, Reader-22, published on Rootsweb.com | Rau, 1ère arrivante. Acadie Perrine Vers 1650 (I3246)
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227 | PRDH: ID No: 7779 Prénom: Jeanne Nom: Theriault Terriot Sexe: F Occupation: Naissance: 1643 vers Paroisse/ville: Pays: Bapt./Source: Selon S.E. White, elle est née vers 1643. Décès: 07 décembre 1726 - âge: 83 Paroisse/ville: Port-Royal, Acadie Pays: Canada Inh./Source: Décès le 7 décembre 1726 à Port-Royal, Acadie et sép. le 8. (Claude Fontaine) et S. White | Thériault (Theriot), Jeanne (I1259)
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228 | PRDH: Message reçu de Madame Marie-Christine Chaillou, agcfjmg: ± Pierre Comeau n'a pas pu arriver en 1632 sur le navire de Razilly ( tout au moins on en sait rien ) puisqu'il n'y a aucune liste des militaires qui accompagnaient Razilly en 1632 ( 300 hommes d'Elite ). Pour 1632 certains au fil du temps et même encore de nos jours dans des articles déforment ce que l'on sait de ce départ d'Auray en 1632. Le Commandeur de l'Ile Bouchard Razilly quitte Auray en Bretagne avec 3 capucins et 300 hommes d'élite ( lire militaires) aucun nom, aucune origine de mentionnée au sujet de ces 300 hommes d'élite. Certains Historiens écrivent 300 hommes , puis d'autres 300 hommes et femmes paysans etc... sauf que sur le document qui mentionne ce départ il est écrit "300 Hommes d'Elite" Le document c'est la Gazette de France où Renaudot rapporte ce départ à consulter sur Gallica comme l'a bien lu l'Université de Moncton. Source de Moncton : page 2 (départ en 1632 ) https://www.umoncton.ca/umcm-ceaac/files/umcm-ceaac/wf/wf/pdf/Gaudet-Placide-inv-ana-1.I-1.pdf (page deux ) Sources de Madame Chaillou: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56075507/f294.item.zoom https://www.acadienouvelle.com/mon-opinion/2022/08/14/les-acadiens-du-poitou/ https://www.acadienouvelle.com/mon-opinion/2017/12/03/dou-venaient-pionniers-de-lacadie/ Ce message est en réaction avec cette source: http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=7851 : vers 1598 Décès 1690 Port-Royal, Acadie Note Probablement arrivé en Acadie en 1632 sur le bateau de Razilly (Bona Arseneau mentionne qu'il serait arrivé en 1636 et d'autres chercheurs ont diverses opinions). En 1686, à Port-Royal, deux de ses fils (Pierre et Antoine) demeurent encore avec lu i. Pierre est d'origine inconnue. En 1671, on dit qu'il a 73 ans et sa femme 40. Aucun autre record avant cette date n'a été trouvé. Il est tonnelier de métier, une occupation indispensable en ce temps ou toutes viandes et poissons est emballés dans des barils de sel pour conservation. Les ressources de la pêche sont exportées de cette façon vers la France. Il épouse Rose Bayols vers 1649, à Port-Royal. Deux des six enfants du couple nous concernent, pour avoir laissé couler au cours des siècles leur sève acadienne dans nos veines. Le premier, Pierre " l'aîné ", dit l'esturgeon, né en 1653, épouse vers 1677, Jeanne Bourg, née aussi en 1653, fille d'Antoine Bourg et d'Antoinette Landry. Ils vivent une partie de leur vie dans le haut de la rivière Port-Royal. Pierre es t décédé à Port-Royal le 8 avril 1730. Dix-neuf enfants naissent, onze filles et huit fils, dont Abraham Comeau et Jeanne Comeau nous tissent des liens aux Comeau, dans cette généalogie. Abraham épouse en 1702, Marguerite Pitre, née en 1684, fill e des ancêtres Jean Pitre, dit Bénèque et de Marie Pesselet. La deuxième, Jeanne Comeau, née vers 1662, épouse entre 1674 et 1678, Étienne Hébert, né en 1654 à Grand-Pré, fils d'Étienne Hébert et de Marie Gaudet. Leur ferme est située à la Rivière-aux-Canards. Au recensement acadien de 1686, ils font part i des dix familles établies à la Baye des Mines. Etienne Hebert a 32 ans et Jeanne Commeaux, a 24 ans. Étienne Hébert est inhumé à Saint-Charles des Mines, le 2 novembre 1713. On voit le nom de l'ancêtre Pierre Comeau pour la dernière fois, au dernier grand recensement du XVIIe siècle en Acadie, fait en 1686, par l'intendant de Meulles. Le patriarche Pierre " Comeaux " vit toujours (il est âgé de 88 ans). Il trépasse ve rs 1691, à plus de 90 ans. Parents Non disponible Mariages 1. Bayol, Rose (Bayon) (1631 - 1678) I7852 Female ID : F871 Type : Mariés Enfants : 9 Marriage vers 1649 Port-Royal, Acadie Enfants Comeau, Étienne I7853 Male vers 1650 - 1723 Comeau, Pierre (l'aîné dit L'esturgeon) I7810 Male vers 1652 - 8 avril 1730 Comeau, Françoise I7854 Female vers 1654 - avant 1678 Comeau, Jean l'Ainé I4633 Male vers 1656 - vers 1720 Comeau, Pierre le jeune dit des Loup-Marins I1146 Male vers 1658 - ? Comeau, Antoine I276904 Male vers 1661 - ? Comeau, Jeanne I8083 Female vers 1662 - après 8 octobre 1725 Comeau, Marie-Jeanne (Marie-Anne) I7857 Female vers 1663 - avant 1693 Comeau, Jean le jeune dit Jean-Augustin I15152 Male vers 1665 - ? http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : COMEAU, Pierre, came from France, according to five depositions: one from Pierre Trahan, husband of Pierre Comeau?s granddaughter Madeleine Comeau (Doc. in?d., Vol. III, p. 8), another from Pierre and Madeleine?s son Pierre (ibid., pp.110-111), a third from Madeleine?s nephews Sylvestre and Simon Trahan (ibid., p. 30), and the other two from her grandnephews Laurent Granger (ibid., p. 32) and F?lix Boudrot (ibid., p. 36). None of these give Pierre Comeau his correct first name, four calling him Jean, while Laurent Granger offered no given name at all for his ancestor. The confusion between the name Jean and Pierre probably arose from Madeleine Comeau?s inability to recall her grandfather?s first name?he had after all died some years before her birth, so she had never known him personally?and the presumption that her own father Jean had been named after his father before him. There is no mention in any of the depositions of Pierre Comeau?s wife Rose Bayon, who is known to Acadian genealogy only through her appearance in the 1671 census (see DGFA-1, pp. 369-370). | Comeau dit L'Esturgeon, 1er arrivant. Acadien. Pierre Vers 1632 sur le navire Le Razilly (I3347)
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229 | PRDH: Soeur de Edmée Lejeune (RIN: ) mariée à François Gaudreau (Goutherot). https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Savoie_Francois&pid=42483 : ID No: 42484 Firstname: Catherine Name: Lejeune Briard Gender: F Occupation: Born: 1633 about Parish/City: Country: Bapt./Source: vers 1633 (S. White) Death: Parish/City: Country: Information, Other Kids, Notes, etc. Catherine Lejeune Briard: Selon S. White son père est inconnu. (R. MacDonough) Soeur d'Aimée ou Edmée Lejeune née vers 1624, épouse de François Gautrot Les dispenses de parenté accordées lors des mariages de Thomas Johnson avec MarieJosephe Girouard (Rg PR 8 janv 1742) de Pierre Préjean avec Marguerite Brun (Rg PR 25 nov 1743), de Charles Girouard avec Marie Josephe Pitre (Rg PR 16 juin 1711), de Pierre Pellerin avec Anne Girourard (Rg PR 7 fév 1745) et de Zacharie Thibodeau avec Marie-Josephe Girouard (Rg. PR 11 fév 1754) nous donnent la certitute qu'Edmée Lejeune épouse de Francois Gautrot et Catherine Lejeune, épouse de Francois Savoie étaient soeurs (S. White) https://www.wikitree.com/wiki/Lejeune-11 : Catherine Lejeune dit Briard Born 1633 in Martaize, Loudun, Vienne, Francemap [uncertain] Daughter of [father unknown] and Unknown Unknown Sister of Edmée Lejeune Wife of François Savoie — married about 1651 in Acadiemap DESCENDANTS descendants Mother of Françoise Savoie, Germain Savoie, Marie Savoie, Jeanne Savoie, Catherine Savoie, Francois Savoie, Barnabe Savoie, Andrée Marguerite Savoie and Marie-France Savoie Died 27 Dec 1711 in Port Royale, Acadiemap Profile managers: Jacqueline Girouard private message [send private message], Maurice Manuel private message [send private message], Sandy Gifford private message [send private message], Maurice LeBlanc private message [send private message], Acadians Project WikiTree private message [send private message], Richard Van Wasshnova private message [send private message], John Riley private message [send private message], Annette Cormier private message [send private message], Denise Dati private message [send private message], and Paul Shenton private message [send private message] Profile last modified 4 Apr 2019 | Created 14 Apr 2010 | Last significant change: 4 Apr 2019 18:10: Steven Harris edited the Biography for Catherine Lejeune dit Briard (1633-1711). (Subst Source Template) [Thank Steven for this | 1 thank-you received] Biography Catherine Lejeune is the Ancestral Matriarch of the Acadian Savoie family. Catherine was born around 1633 [1]in France. She was the sister of Edmee Lejeune and Pierre II Lejeune. It is often written that Pierre Lejeune was their father, but this is not known. Catherine married Francois Savoie around 1644. Between 1645 and 1670, they had 9 children: Françoise, Germain, Marie, Jeanne, Catherine, François, Barnabé, Andreé, and Marie-France.[1] D'Entremont in his "Histoire du Cap-Sable, 1763", states the first Lejeune and his French wife arrived in Acadia before or during the time of Isaac de Razilly. Isaac de Razilly was appointed Governor fo Acadia in 1632 and died three years later in 1635. D'Enterment implies that the Lejeunes arrived in Acadia sometime prior to 1636. D'Entremont also notes the first Lejeune couple had three children at the time of their arrival in Acadia: Aimee Lejeune, born between 1622 & 1625, Pierre Lejeune, born after Aimee and before Catherine Lejeune, who was born about 1633. D'Entremont further states that Pierre Lejeune II married an Amerindienne. Location of Birth. Regarding the Lejeune siblings' specific location of birth in France, there are no birth records. Massignon[2] has demonstrated that a number of familial alliances existed among the first settlers of Acadia PRIOR to their arrival in Acadia, which points to a common French origin. She believes they lived in the Acadian Governor d'Aulnay's seigneury in France near Loudon (comprising of the villages of Angliers, Aulnay, Martaizé and La Chausée). Regarding the Lejeune sisters, Massignon claims that they were allied with the Savoie through Catherine's marriage and the Gauterot through Edmee's marriage. It is not clear to me that the sisters married prior to their arrival in Acadia. Stephen White claims the Catherine married Savoie in Acadia.[3] Edmee's marriage around 1644 to Gauterot may have taken place in Acadia as he was among the first settlers[4] and was definitely in Acadia prior to 1650[1] (some claim 1636[citation needed]). Né en France vers 1621, François Savoie est arrivé en Acadie avant 1651, date où il s'est marié à Catherine Lejeune. Neuf enfants sont issus de leur mariage, dont Germain, né vers 1654, qui épousa vers 1678 Marie Breau, fille de Vincent Breau et de Marie Bourque. Germain Savoie, l'aîné des douze enfants de ceux-ci, vit le jour vers 1682. Le 13 janvier 1709, à Port-Royal, il prit pour femme Geneviève Babineau, fille de Nicolas Babineau et de Marie -Marguerite Granger. Jean Savoie, l'aîné des dix enfants de ces derniers, naquit à Port-Royal, le 14 février 1710. Le 22 août 1735, au même endroit, Jean épousa Anne Landry, fille de Charles Landry et de Catherine Broussard. Peu après leur mariage, Jean et Anne s'établirent à Chipoudy. En 1755 ils se sont évadés des Anglais. On les retrouve par la suite à la rivière Miramichi. CONT 1. JEAN SAVOIE, m ANNE LANDRY. Enfants : 3. Catherine LEJEUNE. Born ca 1633. Catherine died in Port Royal, Acadia in 1672; she was 39. Was on the census for Port Royal, Acadia in 1671, age 38. Alias/AKA: LeJeune. 1671 Census at Port Royal: Francois Savoye 50, wife Catherine LeJeune; children: Francoise 18, Germain 16, Marie 14, Jeanne 13, Catherine 9, Francoise 8, Barnabe 6, Andree 4, Marie 2; cattle 4 ca 1651 when Catherine was 18, she married Francois SAVOIE, in Port Royal, Acadia. Born ca 1621. Was on the census for Port Royal, Acadia in 1671, age 50. Occupation: laborer. Alias/AKA: SAVOYE. They had the following children: 13 i. Françoise (ca1652-1711) 14 ii. Germain (ca1654->1729) 15 iii. Marie (ca1657-1741) 16 iv. Jeanne (ca1658-1735) 17 v. Catherine (ca1659-) 18 vi. François (ca1663-) 19 vii. Barnabe ca1665-) 20 viii. Andree (ca1667-) 21 ix. Marie 2 (ca1670-<1714) Name Name: Catherine /Lejeune/ Given Name: Catherine Surname: Lejeune Name: dit BRIARD // Given Name: dit BRIARD Name: Catherine /Savoie/ Given Name: Catherine Surname: Savoie. Timeline 1632 Treaty Saint-Germain-en-Laye cedes Acadia to France; Razilly brings ~300 elite men[5] c1633 birth, in France 1636 Arrival of the first French families to settle permanantly[2] c1651 marriage to François Savoie, in Acadia c1652 birth, daughter Françoise 1654 British capture Port-Royal; French settlement ceases[6] c1654 birth, son Germain c1657 birth, daughter Marie c1658 birth, daughter Jeanne c1659 birth, daughter Catherine c1663 birth, son François c1665 birth, son Barnabé c1667 birth, daughter Andreé 1667-70 Treaty of Breda cedes Acadia to the French; settlement resumes[7] c1670 birth, daughter Marie-France 1671 residence, Port Royal c1??? death Discussion Ethnic Origins. Some have speculated that Catherine was Amerindian. The Mothers of Acadia maternal DNA project posts its ongoing Maternal DNA results here. To date, the haplogroup of both sisters is consistently reported as U6a7a, indicating European origins. Another group known as Ancestry Out of Acadia DNA PROJECT, posts its results here. They too report that Catherine and Edmee have European haplogroups, in particular, basic testing has revealed U6a and more complete testing U6a7a. Thus, there is a growing body of consistent and concordant results indicating European origins and nothing to the contrary. This link leads to a discussion and a whole data trail on the Lejeune family, with various links included:[8] Catherine Lejeune. Given Name: Catherine. Surname: Lejeune. Suffix: dit Briard. The suffix dit Briard is non-traditional and may be too long for the WikiTree suffix. Catherine Lejeune. Given Name: Catherine. Surname: Lejeune. Suffix: dit Briard. The suffix dit Briard is non-traditional and may be too long for the WikiTree suffix. Sources ? 1.0 1.1 1.2 White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print, p 1048; 1456-1457. ? 2.0 2.1 Massignon, Geneviève. "Les parlers français d'Acadie, enquête linguistique", Librairie Klincksieck, Paris, 1962, 2 tomes, p32 (first French families in Acadia) p37 (Lejeune sisters' origins). ? White, Stephen A. La généalogie des trente-sept familles hôtesses des "Retrouvailles 94", Les Cahiers de la Société historique acadienne, vol. 25, nos 2 et 3 (1994). (Savoie) ? White, Stephen A. La généalogie des trente-sept familles hôtesses des "Retrouvailles 94", Les Cahiers de la Société historique acadienne, vol. 25, nos 2 et 3 (1994). (Gautreau) ? George MacBeath, Biography – RAZILLY, ISAAC DE – Volume I (1000-1700) – Dictionary of Canadian Biography Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20 ? William I. Roberts, 3rd, “SEDGWICK, ROBERT,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? In collaboration, “MORILLON DU BOURG,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? http://michaelmarcotte.com/CLejeune.htm White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print, p1048. 1671 Acadian Census at Port Royal: Francois SAVOYE, 50, wife, Catherine LeJEUNE 38; children: Francoise 18, Germain 17, Marie 14, Jeanne 13, Catherine 9, Francoise 8, Barabe 6, Andree 4, Marie 2; cattle 4. Note: thre is an error in this English translation; baby Marie is 11/2 years in the French Census (See image to the right). Author: John Austin Young Title: The Lejeunes of Acadia and the Youngs of Sothwest Louisiana Abbreviation: John A. Young-LA&YSL Publication: John Austin Young, Grand Pere Farm Author: Rev. Clarence-Joseph d'Entremont Title: Histoire du Cap-Sable de l'an mil au Traite de Paris, 1763 Abbreviation: d'Entremont - Histoire du Cap-Sable Publication: Hebert Publications, Eunice, LA Author: unknown Title: Le Canada-Francais; Documents Sur L'Acadie Abbreviation: Le Canada-Francais; Documents Sur L'Acadie Acknowledgments Thank you to Sandra Gifford for creating WikiTree profile Lejeune-222 through the import of Boudreau Family Tree.ged on Aug 19, 2013. Click to the Changes page for the details of edits by Sandra and others. | Lejeune Briard, 1ère arrivante. Catherine (I3328)
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230 | PRDH: | Migneron dit Lajeunesse, Abraham (I2908)
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231 | PRDH: 625789 Parrain: Pierre Dalcour Marraine: Thérèse Vaudry | Dalcours, Thérèse (I80)
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232 | PRDH: 64458 | Royer, Jean (I1407)
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233 | PRDH: 93158 | Henaut, Antoine (I1368)
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234 | PRDH: 100347 | Dessein St-Pierre, Charles (I6820)
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235 | PRDH: 100422 | Boulet (Boule), Marguerite (I6913)
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236 | PRDH: 100499 | Daoust, Guillaume (I3398)
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237 | PRDH: 100743 | Verger (Berger), Jean (I2842)
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238 | PRDH: 10099 http://mwlandry.ca/genealog/getperson.php?personID=I25308&tree=05 | Brunet dit Belhumeur, Mathurin (I2046)
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239 | PRDH: 10100 | Brunet, Marie (I2047)
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240 | PRDH: 10106 | Brunet, Marie Anne (I3397)
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241 | PRDH: 10116 Elle a épousé Michel Brunet Letang, fils de Mathieu Brunet et Marie Blanchard, ancêtre de Adrienne Lefebvre | Moisan (Moyson), Marie Madeleine 2 (I3873)
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242 | PRDH: 101439 https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=241041 : COURSOL / COURSOLLE, Michel 241041 Statut Marié Date de naissance 17-11-1707 Date de baptême 20-11-1707 Lieu d'origine La Flotte (Ste-Catherine) (Charente-Maritime) 17161 Lieu actuel La Flotte Parents Pierre COURSOLLE et Antoinette Roux Métier du père Marchand chaudronnier Date de mariage des parents 24-04-1703 Lieu de mariage des parents La Rochelle (Notre-Dame) (17161) Première mention au pays 1728 Occupation à l'arrivée Migrant engagé (ct Pierre Jarosson, La Rochelle, 18-05-1728) Date de mariage 25-05-1739 Lieu du mariage Verchères Conjoint Marie-Josèphe Guyon Décès ou inhumation Verchères, 09-10-1775 Remarques Sa mère Antoinette Roux (Jean, chaudronnier et Marguerite Pissain), née 08, b. 09-5-1674 à St-Saturnin (15213), dont 3 enfants b. à La Flotte (Ste-Catherine): Jean, né 15, b. 16-11-1704; Jacques (pionnier), né 30-11-1705, b. 01-12-1705 et Madeleine, née 07, b. 08-05-1710, d/s 16-06-1780, mariée à La Flotte (Ste-Catherine), le 25-01-1729, avec Louis Tiblé (Barthélémy et Marie Tiblé). Son père Pierre Coursolle (Jean et Marguerite Tiblé), b. 06-04-1673 à Lugarde (St-Martin) (15110); d/s 31-10-1709 à La Rochelle (17300), m-1 Nieul-sur-Mer (St-Philibert) (17264), le 22-02-1694 avec Anne Pasquier (Jean et Marie Baril), née 09-12-1672 à L'Houmeau (17190), b. 21-12-1672 à La Rochelle (St-Sauveur), d/s 08-03-1703 à La Flotte (Ste-Catherine) (17161), dont Louis (pionnier), n/b 20-07-1700 à Ars-en-Ré (St-Étienne) (17019). Identification* DGFQ, p. 284 Chercheur(s) Thomas Bertrand ; Lise Dandonneau ; Roger Touton ; David Bourgeois Copie d'acte AD-17 numérisé Date de modification 2020-11-22 https://www.wikitree.com/wiki/Coursolle-1 : Biography Flag of France Michel (Coursolle) Coursol migrated from France to New France. Flag of New France Michel (Coursolle) Coursol a des origines françaises. Drapeau identifiant les profils du Canada, Nouvelle-France Michel (Coursolle) Coursol a vécu au Canada, Nouvelle-France. Michel Coursol (the name was probably Coursolle in France) came to Canada with his brother, Jacques Coursol, and his half-brother, Louis Coursol, whose mother's name was was Jeanne Paquet. Louis Coursol married M.Jeanne Marcheteau, dau of Pierre and Marg. Pilet, at Montreal, 11 jul 1723. Michel would have been ten at this wedding, so he must have come to Canada when he was eight or so. Around 1721. Jacques Coursol, his full brother, (they had the same mother, Antoinette Roux,) married Marg.-Renee Monteil, dau of Rene and Marg. Chicoine, at Vercheres, 21 apr 1727. Michel would have been fourteen in 1727. Given these dates, Michel must have come to Canada with his brothers at the age of eight or ten. His brothers had signed on as boiler-makers, though there is no record that they worked at that trade in Canada. Michel Coursol (Coursolles, etc), b. 1713 at La Flotte parish, Ile de Re, near La Rochelle, Aunis, France, son of Pierre and Antoinette Roux de la Flotte, Il de Rhe, Aunis. He married Josephte Guyon-Lemoine, dau of Joseph and Elisabeth Guillet, at Vercheres, Quebec, 25 may 1739 at age 26. Josephte Guyon-Lemoine died at Vercheres, Quebec, 6 jul 1807 at 91. Michel Coursol died by drowning 11 oct 1773 at age 60. Children: Marie Josephe, 2 apr 1740, married Pierre Brunet, son of Pierre and Jeanne Dupuy. Josephe died 1815. Marie Anne, 5 nov 1742, married Jean Poulin 25 jan 1773 at Vercheres, son of Jean and M.Louise Deneau. Elisabeth, 21 feb 1744, married Jean-Baptiste Douaire-Bondy, son of Joseph and Madeleine Campeau, at Vercheres, 16 jan 1764. Elisabeth died in 1813. Widowed, Elisabeth married Louis-Bonaventure Provencher at Becancour, Quebec, 20 feb 1775 at age 29. Marie Genevieve, 20 nov 1745. Michel, 15 mar 1747, married Josephe Malhiot. "Voyageur." Died 8 jan 1819 at 73. (Malhiot also Mayotte) Married 2 may 1782 at Vercheres. Her parents were Michel and Charine Doyon. Joseph, 15 mar 1749, died 10 jan 1759. Marie Madeleine, 23 apr 1751. Jean-Marie, 3 feb 1753, married Catherine Chevalier at Vercheres, 2 sep 1782. Catherine died 27 may 1785 at age 23. One daughter, Catherine, died in infancy 28 aug 1785. (Another document says that Jean-Marie married L. Huiller at Vercheres, 9 feb 1782.) Angelique, born ? Married Charles Bilodeau. Widowed, she married Gabriel Gosselin at Vercheres, 23 jan 1758. His parents: Joseph and Francoise Godbout. Marguerite, born? Married Antoine Roy, widower of Anne Metas at Assomption. This person was created on 14 December 2010 through the import of Anderson decend of Joseph A_Sa.ged. Sources Fichier Origine Dossier 241041 https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=241041 https://www.prdh-igd.com/Membership/en/PRDH/Individu/101439 https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Coursol_Michel&pid=108139 Ancestral File: https://familysearch.org/ark:/61903/2:1:9SF4-737 https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2431906?docref=RUhu48Kih65lGlSYDzPhmA : Inventaire des greffes de Montréal p. 73: ±Contrat de mariage de Michel Coursol fils de Pierre Cour- sol et de Thoinette Rouge, et natif de “La flotte en l’Ile de Ré évêché de LaRochelle” ; et Marie Joseph Guyon fille de Joseph Guyon de la côte de Verchères et d'Elisa beth Guillet. (24 mai 1739). | Laflotte Coursol, 1er arrivant Michel vers 1708 (I6025)
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243 | PRDH: 101440 | Guyon Lemoine Dion, Marie-Josephe (I6026)
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244 | PRDH: 101454 | Levesque, Marie Louise Geneviève (I6288)
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245 | PRDH: 101642 | Monet (Boismenu), Jean-François (I2694)
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246 | PRDH: 102432 | Cormier, Marguerite (I1066)
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247 | PRDH: 102882 | Benoît Abel, Jean François (I6759)
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248 | PRDH: 102883 | Marcotte, Marie Marguerite (I6758)
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249 | PRDH: 102913 | Prud'homme, Marie Anne (I3033)
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250 | PRDH: 102958 Parrain: Claude Guion Marraine: Anne Gagnon | Dalcours (Guinard), Jean-Baptiste (I2360)
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251 | PRDH: 102959 Parrain: Joseph Bonin Marraine: Charlotte Giard | Bonin, Marie Josephe (I2361)
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252 | PRDH: 103592 | Reid, Marie-Josephe (I3526)
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253 | PRDH: 10370 http://genealogie.quebec/info/index.php?no=9846 : Il est aussi connu sous le nom de Antoine Brossard 5. Il naît autour de 1609 en Normandie, France 1, 2, 6. Il épouse Françoise Méry le 14 juillet 1637 à la chapelle Notre-Dame-de-la-Recouvrance, Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada 1, 2, 3, 7. Il décède entre le 20 septembre 1668 et le 9 juillet 1669 à la fin de l'hiver ou début du printemps 1669 3, 8. Antoine Brassard est maître maçon 3. Antoine Brassard immigre en Nouvelle-France à l'été 1636 3. Antoine Brassard et Françoise Méry immigrent en France en 1639 3. Jeanne Brassard, Françoise Méry et Antoine Brassard immigrent en Nouvelle-France en 1641 3. Antoine Brassard est maçon en 1666 à Québec 1. Dorothée Brassard, Jean-Baptiste Brassard, Antoine Brassard, Guillaume Brassard, Louis Brassard, Françoise Méry et Antoine Brassard résident à Québec en 1666 1. Dorothée Brassard, Jean-Baptiste Brassard, Antoine Brassard, Guillaume Brassard, Louis Brassard, Françoise Méry et Antoine Brassard résident à Sillery, Capitale-Nationale en 1667 2. Antoine Brassard possède trois bestiaux et vingt-sept arpents de terre en valeur en 1667 2. https://robertberubeblog.wordpress.com/2017/05/11/de-meres-en-filles-partie-1-les-migrantes-francoise-mery-et-jeanne-brassard-from-mothers-to-daughters-part-1-the-migrants-francoise-mery-and-jeanne-brassard/ : Françoise Méry (1621 – 1671) Françoise Méry est la première pionnière de notre lignée matrilinéaire (mères en filles) à traverser l’Atlantique de l’Europe et à venir s’établir sur le continent américain à Québec. Nous ne connaissons pas les noms des parents de Françoise Méry. Certains chercheurs affirment qu’elle est née en France, à Tourouvre dans la région de l’Orne, à Mortagne-au-Perche, vers 1621. Mais il n’y a pas de preuves attestant ceci. Elle a traversé l’Atlantique et elle est arrivée en Nouvelle-France vers 1636. Le voyage a probablement été d’une durée de trois mois et les conditions de vie n’étaient pas faciles. Aujourd’hui les chercheurs la qualifient de “Devancière” ou de “Fille à marier”, termes donnés par certains historiens aux premières femmes pionnières et pour la plupart célibataires qui sont arrivées en Nouvelle-France entre 1634 et 1663. Elles sont prises en charge par les communautés religieuses. Ces filles se distinguent des “Filles du Roi” parce que le voyage et leur établissement au sein de la colonie ne sont pas financés par le roi de France. Françoise était une jeune aventurière qui figurait parmi les premières femmes pionnières de la ville de Québec. Françoise était jeune. Certains affirment qu’elle était âgée seulement de 15 ans. Elle est arrivée à Québec probablement durant l’été de 1636. Le bateau qui amène Françoise à Québec, fait partie de la flotte de quatre navires commandés par Du-Plessis-Bochart accompagnant les fondateurs de Montréal et le nouveau gouverneur de la Nouvelle-France, Huault de Montmagny, venu remplacer Champlain mort en 1635. Aucune preuve nous dit si elle savait écrire ou non. Néanmoins, elle a été capable de s’acheter, dès son arrivée, une propriété appelée Grande Allée, située sur la rue Saint-Louis à Québec. Le mercredi 14 janvier 1637, à Québec, elle épousa Antoine Brassard, originaire de Normandie et lui aussi, est de filiation inconnue. Ce mariage est devant le père Lallemant, jésuite et curé de la première paroisse d’Amérique nommée Notre-Dame-de-la-Recouvrance. Monsieur François Derré de Grand, commissaire général pour les Cent-associés et Nicolas Pivert, fermier de la compagnie au Cap-aux-Diamants sont aussi présents comme témoins. Antoine est le premier Brassard en Amérique du Nord! Il semblerait qu’Antoine est aussi arrivé avant 1636. On compte Françoise et Antoine comme deux des plus anciens habitants de la Nouvelle-France. Leur mariage figure parmi les premiers de la ville de Québec. On peut présumer qu’Antoine est arrivé entre 1633 et 1636, après le traité de Saint-Germain-en-Laye, de 1632. Les Frères Kirke, au service du roi d’Angleterre, avaient pris Québec en 1629 et déporté Champlain, vers la Grande-Bretagne. Seulement quelques Français étaient demeurés en Nouvelle-France, pendant l’occupation des frères Kirke. Laissant leur fils Alexandre au Canada, Françoise Méry et Antoine Brassard retournent en France durant l’été de 1639. Les raisons de l’abandon ne sont pas connues. Ils embarquent dans le bateau qui avait amené les Ursulines à Québec et qui retourne à La Rochelle. Il semblerait que durant leurs deux années passées en France, deux enfants, Antoine et Jeanne sont nés. Les certificats de naissance de ces deux enfants n’ont pas été repérés donc, nous n’avons pas de preuves définitives. Ils reviennent à Québec en juin 1641, soit sur Le Gaston ou Le René. À son arrivée au Canada, leur fille, Jeanne Brassard, était un bébé de trois mois. Nous savons que Françoise a traversé l’Atlantique trois fois, ce qui veut dire qu’elle a passé plus d’un an et demi de sa vie à traverser l’océan aller-retour. En 1642, Antoine Brossard et Françoise sont au service de Guillaume Couillard comme domestiques. Guillaume Couillard promet de les nourrir et de leur donner un salaire annuel de 144 livres, plus “une paire de brassières à Françoise Méry”. La citation reflète un des termes du contrat. 144TricotenftBasBrassière Une brassière pour enfants qui ressemble aux brassières adultes du temps Le 14 février 1647, le gouverneur, le sieur de Montmagny concède à Antoine Brassard une terre de 40 arpents de superficie, sur la Grande Allée. Ils sont les voisins des Ursulines. Lors du recensement de 1666, Françoise et Antoine vivent à Québec avec les enfants suivants: Dorothée, Jean-Baptiste, Antoine, Guillaume et Louis Brassard. Les mêmes personnes vivent à Sillery lors du recensement de 1667. Les autres enfants sont mariés et vivent ailleurs ou bien dans le cas d’Antoine, fils, il est interprète auprès des Iroquois donc, il vit la vie de coureur de bois dans les Pays d’en Haut. Brassard 16662 Recensement 1666 Antoine est encore vivant le 20 septembre, 1668. Il décède avant le 26 mai, 1669. L’inventaire suivant son décès, a lieu le 9 juillet, 1669. Françoise décède le 11 juillet 1671, dans la maison de la grande Allée, à Québec. Elle est inhumée le 12 juillet, 1671 dans le cimetière de Notre-Dame, à Québec. (Elle avait près de 50 ans). Elle est décédée d’une mort subite. Elle laisse dans le deuil ses enfants. Certains sont mineurs. Françoise est l’ancêtre de tous les Brassard, les Hédouin (Laforge), les Dorion, les Lemelin, certains Fontaine et Richer dit Laflèche de l’Amérique. En plus d’être notre ancêtre matrilinéaire, Françoise Méry est aussi notre ancêtre à travers sa fille Dorothée Brassard et de son époux Pierre Richer dit Laflèche, du côté Bérubé. | Brassard, 1er arrivant Antoine Vers 1636 (I4937)
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254 | PRDH: 10371 http://genealogie.quebec/info/index.php?no=9847 : Elle est aussi connue sous le nom de Françoise Emery 4. Elle est aussi connue sous le nom de Françoise Mey 5. Elle naît autour de 1621 à Tourouvre, Mortagne-au-Perche, Orne, France 2, 6, 7, 8. Elle épouse Antoine Brassard le 14 juillet 1637 à la chapelle Notre-Dame-de-la-Recouvrance, Québec 1, 10, 2, 6. Elle décède le 11 juillet 1671 à Québec dans sa maison de la grande Allée 6. Elle est inhumée le 12 juillet 1671 à Notre-Dame, Québec 11, 6. Françoise Méry réside sur la "Grande-Allée" (aujourd'hui, la rue Saint-Louis) à Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada avant 1637 9. Antoine Brassard et Françoise Méry immigrent en France en 1639 6. Jeanne Brassard, Françoise Méry et Antoine Brassard immigrent en Nouvelle-France en 1641 6. Dorothée Brassard, Jean-Baptiste Brassard, Antoine Brassard, Guillaume Brassard, Louis Brassard, Françoise Méry et Antoine Brassard résident à Québec en 1666 2. Dorothée Brassard, Jean-Baptiste Brassard, Antoine Brassard, Guillaume Brassard, Louis Brassard, Françoise Méry et Antoine Brassard résident à Sillery, Capitale-Nationale en 1667 1. http://www.migrations.fr/FILLE_A_MARIER/FILLEAMARIER.htm#M : MÉRY Françoise Naissance; Vers 1621 de Tourouvre Orne 61 Décès: 11/07/1671 Québec Sépulture: 12/07/1671 Québec Acte de sépulture Décédée de mort subite en sa maison de la Grande Allée, le 11 et inhumée le 12 juillet 1671, Notre-Dame de Québec BRASSARD Antoine maître maçon. Décès: entre la donation 20/09/1668 Becquet et inventaire 09/07/1669 Becquet à Sillery. M 14/01/1637 Québec Le couple retourne en France deux fois en 1639 et 1641. Antoine et Françoise donnent naissance à dix enfants. Enfants : Antoine n octobre 1639 s 12/04/1642 Québec (2 ans) Alexandre n vers 1640 s 14/01/1688 Ste-Famille Î.O. cité 31/01/1687 St-François Marie-Madeleine b 01/06/1642 Québec m 1656 Louis Fontaine Jeanne née vers 1644 m 1656 Jacques Hédouin Marguerite b 23/01/1646 Québec m 1658 Jean Lemelin Guillaume Antoine n 13 b 14/10/1649 Québec d après 01/09/1683 ; interprète en langue iroquoise Jean-Baptiste n 18/b 21/09/1651 Québec m 1672 Jeanne Quelvé Louis b 03/08/1653 Québec m 1680 Simone Maufay, mariage annulé ct 25/03/1677 Duquet : Jeanne-Angélique Simon fille de Hubert & Marie Vié. Dorothée n 30/07/b 01/08/1656 Québec m 1671 Pierre Richer, mariage annulé ct 07/12/1670 Duquet : Pierre Ménage https://robertberubeblog.wordpress.com/2017/05/11/de-meres-en-filles-partie-1-les-migrantes-francoise-mery-et-jeanne-brassard-from-mothers-to-daughters-part-1-the-migrants-francoise-mery-and-jeanne-brassard/ : Françoise Méry (1621 – 1671) Françoise Méry est la première pionnière de notre lignée matrilinéaire (mères en filles) à traverser l’Atlantique de l’Europe et à venir s’établir sur le continent américain à Québec. Nous ne connaissons pas les noms des parents de Françoise Méry. Certains chercheurs affirment qu’elle est née en France, à Tourouvre dans la région de l’Orne, à Mortagne-au-Perche, vers 1621. Mais il n’y a pas de preuves attestant ceci. Elle a traversé l’Atlantique et elle est arrivée en Nouvelle-France vers 1636. Le voyage a probablement été d’une durée de trois mois et les conditions de vie n’étaient pas faciles. Aujourd’hui les chercheurs la qualifient de “Devancière” ou de “Fille à marier”, termes donnés par certains historiens aux premières femmes pionnières et pour la plupart célibataires qui sont arrivées en Nouvelle-France entre 1634 et 1663. Elles sont prises en charge par les communautés religieuses. Ces filles se distinguent des “Filles du Roi” parce que le voyage et leur établissement au sein de la colonie ne sont pas financés par le roi de France. Françoise était une jeune aventurière qui figurait parmi les premières femmes pionnières de la ville de Québec. Françoise était jeune. Certains affirment qu’elle était âgée seulement de 15 ans. Elle est arrivée à Québec probablement durant l’été de 1636. Le bateau qui amène Françoise à Québec, fait partie de la flotte de quatre navires commandés par Du-Plessis-Bochart accompagnant les fondateurs de Montréal et le nouveau gouverneur de la Nouvelle-France, Huault de Montmagny, venu remplacer Champlain mort en 1635. Aucune preuve nous dit si elle savait écrire ou non. Néanmoins, elle a été capable de s’acheter, dès son arrivée, une propriété appelée Grande Allée, située sur la rue Saint-Louis à Québec. Le mercredi 14 janvier 1637, à Québec, elle épousa Antoine Brassard, originaire de Normandie et lui aussi, est de filiation inconnue. Ce mariage est devant le père Lallemant, jésuite et curé de la première paroisse d’Amérique nommée Notre-Dame-de-la-Recouvrance. Monsieur François Derré de Grand, commissaire général pour les Cent-associés et Nicolas Pivert, fermier de la compagnie au Cap-aux-Diamants sont aussi présents comme témoins. Antoine est le premier Brassard en Amérique du Nord! Il semblerait qu’Antoine est aussi arrivé avant 1636. On compte Françoise et Antoine comme deux des plus anciens habitants de la Nouvelle-France. Leur mariage figure parmi les premiers de la ville de Québec. On peut présumer qu’Antoine est arrivé entre 1633 et 1636, après le traité de Saint-Germain-en-Laye, de 1632. Les Frères Kirke, au service du roi d’Angleterre, avaient pris Québec en 1629 et déporté Champlain, vers la Grande-Bretagne. Seulement quelques Français étaient demeurés en Nouvelle-France, pendant l’occupation des frères Kirke. Laissant leur fils Alexandre au Canada, Françoise Méry et Antoine Brassard retournent en France durant l’été de 1639. Les raisons de l’abandon ne sont pas connues. Ils embarquent dans le bateau qui avait amené les Ursulines à Québec et qui retourne à La Rochelle. Il semblerait que durant leurs deux années passées en France, deux enfants, Antoine et Jeanne sont nés. Les certificats de naissance de ces deux enfants n’ont pas été repérés donc, nous n’avons pas de preuves définitives. Ils reviennent à Québec en juin 1641, soit sur Le Gaston ou Le René. À son arrivée au Canada, leur fille, Jeanne Brassard, était un bébé de trois mois. Nous savons que Françoise a traversé l’Atlantique trois fois, ce qui veut dire qu’elle a passé plus d’un an et demi de sa vie à traverser l’océan aller-retour. En 1642, Antoine Brossard et Françoise sont au service de Guillaume Couillard comme domestiques. Guillaume Couillard promet de les nourrir et de leur donner un salaire annuel de 144 livres, plus “une paire de brassières à Françoise Méry”. La citation reflète un des termes du contrat. 144TricotenftBasBrassière Une brassière pour enfants qui ressemble aux brassières adultes du temps Le 14 février 1647, le gouverneur, le sieur de Montmagny concède à Antoine Brassard une terre de 40 arpents de superficie, sur la Grande Allée. Ils sont les voisins des Ursulines. Lors du recensement de 1666, Françoise et Antoine vivent à Québec avec les enfants suivants: Dorothée, Jean-Baptiste, Antoine, Guillaume et Louis Brassard. Les mêmes personnes vivent à Sillery lors du recensement de 1667. Les autres enfants sont mariés et vivent ailleurs ou bien dans le cas d’Antoine, fils, il est interprète auprès des Iroquois donc, il vit la vie de coureur de bois dans les Pays d’en Haut. Brassard 16662 Recensement 1666 Antoine est encore vivant le 20 septembre, 1668. Il décède avant le 26 mai, 1669. L’inventaire suivant son décès, a lieu le 9 juillet, 1669. Françoise décède le 11 juillet 1671, dans la maison de la grande Allée, à Québec. Elle est inhumée le 12 juillet, 1671 dans le cimetière de Notre-Dame, à Québec. (Elle avait près de 50 ans). Elle est décédée d’une mort subite. Elle laisse dans le deuil ses enfants. Certains sont mineurs. Françoise est l’ancêtre de tous les Brassard, les Hédouin (Laforge), les Dorion, les Lemelin, certains Fontaine et Richer dit Laflèche de l’Amérique. En plus d’être notre ancêtre matrilinéaire, Françoise Méry est aussi notre ancêtre à travers sa fille Dorothée Brassard et de son époux Pierre Richer dit Laflèche, du côté Bérubé. | Merry (Emery), 1ère arrivante. Fille à marier. Françoise Vers 1637 (I4936)
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255 | PRDH: 10372 | Brassard, Antoine (I4939)
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256 | PRDH: 10376 | Brassard, Antoine (I4944)
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257 | PRDH: 103798 | Brazeau (Brassault), Pierre (I4789)
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258 | PRDH: 10380 | Brassard, Marie Dorothée (I4904)
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259 | PRDH: 10393 https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=300012 : BRAZEAU, Charles 300012 Statut Marié Date de naissance Vers 1672 Lieu d'origine Paris (Seine) 75056 Lieu actuel Paris Parents Nicolas BRAZEAU et Perrette Billard Métier du père Charron Date de mariage des parents 04-09-1661 cm Lieu de mariage des parents Me Laurent De Monhenault, Paris (75056) Première mention au pays 1681 Occupation à l'arrivée Migrant arrivé avec ses parents Date de mariage 05-10-1693 Lieu du mariage Montréal (Notre-Dame) Conjoint Geneviève Quenneville Décès ou inhumation Pierrefonds, 25-04-1750 Remarques Un frère et une soeur sont nés à Paris : Marie, en 1663 et Nicolas en 1670. Ses grands parents-paternels sont Nicolas Brazeau et Marie Regnard. Ses grands-parents maternels sont Jean Billard et Hélène Guillet. Identification* Non répertorié Chercheur(s) Jean-Paul Macouin Date de modification 2019-12-12 | Brazeau (Brassault), 1er arrivant (avec ses parents) Charles Vers 1681. (I4766)
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260 | PRDH: 10394 Geneviève est l'ancêtre de Marguerite Jeannotte Sa soeur Jeanne est l'ancêtre de Robert Roy | Queneville, Geneviève (I2234)
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261 | PRDH: 10395 | Brazeau (Brassault), Gabriel (I4765)
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262 | PRDH: 10400 | Brazeau (Brassault), Pierre (I4780)
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263 | PRDH: 10402 | Brazeau (Brassault), Charles (I4782)
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264 | PRDH: 104275 | Lérigée Laplante, Marie Catherine - 2 (I4263)
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265 | PRDH: 105176 | Doucet, René (I3334)
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266 | PRDH: 105203 | Brossard (Broussard), Marie (I3335)
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267 | PRDH: 1053 https://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Amiot_Mathieu&id=5938: AMIOT (Amyot), dit Villeneuve, MATHIEU, donné, interprète, seigneur, né entre 1627 et 1629. probablement près de Chartres (Orléanais), de Philippe Amiot et d’Anne Convent, décédé à Québec le 18 novembre 1688. Originaire des environs de Soissons, son père était à Québec dès l’été de 1635. Mathieu, comme son frère Jean, fut pendant quelques années interprète des Jésuites, travaillant chez eux à Trois-Rivières et peut-être aussi en Huronie. Puis il se fit colon et réussit pendant le reste de sa vie à accumuler un nombre assez intéressant de possessions. Ainsi, en 1649, le gouverneur LouIs d’Ailleboust lui concéda une terre à Trois-Rivières ; en outre, lors de son mariage, le 22 octobre 1650, Marie Miville lui apporta en dot une propriété dans la ville de Québec ; en 1661, les Jésuites lui firent concession d’un lot à Sillery, où il se construisit une maison, tout en conservant sa demeure en ville ; le 6 septembre 1665, Jean Juchereau de Maur lui donna, sur la Pointe-Villeneuve, près de Saint-Augustin de Portneuf, une propriété qu’il agrandit en 1677 et en 1685 ; le 3 novembre 1672, Talon lui avait concédé en fief et seigneurie un autre domaine à la Pointe-aux-Bouleaux. À mesure que ses biens s’accumulaient, Mathieu devenait un personnage de plus en plus important dans la colonie. Comme notable, à Québec, il avait participé à l’élection d’un syndic en 1664 et, trois ans plus tard, le roi agréa la requête de Talon de lui octroyer des lettres de noblesse. Cependant, quand elles arrivèrent, en 1668, l’intendant ignorait s’il devait les faire enregistrer au Conseil souverain de Québec ou au parlement de Paris. En attendant la réponse de Versailles, il apprit que Louis XIV avait aboli tous les titres non encore enregistrés (1669). Trois autres colons avaient reçu des lettres de noblesse en même temps qu’Amiot. Eux ou leurs descendants les firent reconnaître en dépit de l’ordonnance de 1669. Amiot n’ayant fait aucune revendication au sujet des siennes, semble-t-il, elles furent définitivement annulées. Villeneuve laissa à ses héritiers plus de dettes et de soucis que de biens. En 1703, les dettes de la succession s’élevaient encore à 700® et Marie Miville, qui avait vendu les terres pour 1 500®, était morte (septembre 1702) des angoisses que lui causait un procès intenté contre elle par son fils Charles, l’aîné de ses 15 enfants. Source: Dictionnaire biographique de Canada http://genealogistes-associes.ca/ancetres/amyot.php: Le sort des enfants Amyot est particulièrement intéressant. Pendant que le petit Charles accompagne sa mère dans sa nouvelle existence, Jean et Mathieu Amyot quittent Québec pour une vie d’aventure. Jean Amyot, que l’on surnommera Antaïok, est vraisemblablement le premier des deux adolescents à devenir ± donné des Jésuites. Il les accompagne au ± pays des Hurons et il se taille une réputation d’excellence parmi les jeunes interprètes dont les coups d’éclat servent d’exemple à leurs contemporains. Jean Amyot est un coureur d’élite. C’est un garçon pieux, dévoué à Saint-Joseph. En 1648, il s’apprête à se marier. On lui a concédé une terre aux Trois-Rivières, ville devant laquelle il se noie, le 23 mai, en même temps que François Marguerie, un autre interprète réputé. Les témoins du drame sont nombreux et impuissants. Le corps d’Amyot sera repêché devant Sillery et inhumé dans la chapelle Saint-Joseph, le 10 juin suivant. Mathieu Amyot aurait vécu comme l’avait fait Jean, jusqu’en 1650 alors que, le 22e jour de novembre, le père Barthélémy Vimont consacrait l’union de ± Mathieu Amyot dit de Villeneuve et Marie Miville, fille de Pierre Miville et de Charlotte Maugis. Amyot, comme on le voit, porte déjà le surnom que plusieurs ont cru lui avoir été attribué après qu’une terre lui ait été concédée par Jean Juchereau, dans la seigneurie de Maure, ± au-dessus de la pointe vulgairement appelée la pointe Villeneuve en 1665. Colons prospères, Mathieu et Marie Miville ont possédé plusieurs terres dont une sur la Grande-Allée, à Québec, avait été donnée au couple par Pierre Miville à l’occasion du mariage de sa fille. En 1667, Jean Talon réclamait pour ce colon et d’autres, des lettres de noblesse qui furent accordées par le roi, mais révoquées deux ans plus tard, faute d’avoir été enregistrées. Mathieu Amyot ± de Villeneuve et Marie Miville ont eu 15 enfants : 7 filles et 8 garçons. | Amiot dit Villeneuve, Mathieu (I1156)
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268 | PRDH: 1054 | Miville, 1ère arrivante Marie (I1157)
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269 | PRDH: 105476 | Couillard, Pierre (I1497)
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270 | PRDH: 105582 | Pigeon, Marie Josephe (I1821)
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271 | PRDH: 105733 | L'archevêque, Marie-Anne (I114)
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272 | PRDH: 1060 | Amiot (Villeneuve), Catherine Ursule (I1153)
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273 | PRDH: 10603 | Bourassa (Bourasseau), Jacques (I6448)
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274 | PRDH: 10604 | Fouchard, Françoise (I6449)
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275 | PRDH: 10605 https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=240522 : BOURASSEAU/BOURASSA, Jean 240522 Statut Marié Date de baptême 01-04-1634 Lieu d'origine Bazoges-en-Paillers (Sacré-Coeur) (Vendée) 85013 Lieu actuel Bazoges-en-Paillers Parents Jacques BOURASSEAU et Françoise Fouchard Première mention au pays 1657 Occupation à l'arrivée Migrant engagé (ct Moreau, La Rochelle, 05-04-1657) Date de mariage 20-10-1665 Lieu du mariage Québec (Notre-Dame) Conjoint Perrette Vallée ou Vallet Décès ou inhumation Pointe-de-Lévy (Lauzon), 20-01-1718 Remarques Ses parents sont de La Joussière, paroisse St-Fulgent (85215). Son père Jacques Bourasseau (Jean et Marguerite Guibert) est baptisé le 10-02-1609 à Bazoges-en-Paillers (Sacré-Coeur). Sa mère Françoise Fouchard (Denis Fouchard et Catherine Lesvin), b. 08-05-1607 à Ardelay, auj. Les Herbiers (85109), s. 31-01-1649 à St-Fulgent. Un frère et quatre sœurs sont baptisés à St-Fulgent: René, 17-01-1633; Perrine, 18-08-1639, s. 24-03-1705; Mathurine, 12-05-1641; Marie, 17-05-1643 et Jeanne, 31-03-1645. Identification* DGFQ, p. 146 ; DGFC, vol. 1, p. 76 Chercheur(s) Jean-Marie Germe ; Marcel Fournier ; Lise Dandonneau ; David Bourgeois Référence* AGCF, no 13, p. 7 ; Fonds Archange Godbout Copie d'acte AD-85 numérisé Date de modification 2022-12-14 https://www.wikitree.com/wiki/Bourasseau-3 : Privacy Level: Open (White) Jehan (Bourasseau) Bourassa (1634 - 1718) Jehan (Jean) Bourassa formerly Bourasseau aka Bouraceau Born 1 Apr 1634 in Bazoges-en-Paillers, Poitou, Francemap ANCESTORS ancestors Son of Jacques Bourasseau and Françoise Fouchard Brother of Mathurine Bourasseau Husband of Perette Vallée — married 20 Oct 1665 in Notre-Dame de Québec, Canada, Nouvelle-Francemap Husband of Catherine Poitevin — married 5 Nov 1676 in Notre-Dame de Québec, Canada, Nouvelle-Francemap DESCENDANTS descendants Father of François Bourassa, Pierre Bourassa, Jean Bourassa, Marie Madeleine Bourassa, Rene Bourassa, Marie-Anne Bourassa, Jeanne Bourassa and Francois Bourassa Died 21 Jan 1718 at age 83 in Pointe-de-Lévy, côte de Lauzon, Canada, Nouvelle-Francemap PROBLEMS/QUESTIONSProfile managers: Gaston Tardif private message [send private message] and Paul Shenton private message [send private message] Profile last modified 31 Oct 2021 | Created 2 Aug 2015 This page has been accessed 3,267 times. Flag of France Jean (Bourasseau) Bourassa migrated from France to New France. Flag of New France Drapeau identifiant les profils du Canada, Nouvelle-France Jean (Bourasseau) Bourassa a vécu au Canada, Nouvelle-France. Drapeau identifiant les profils du Canada, Nouvelle-France Jean (Bourasseau) Bourassa lived in Canada, Nouvelle-France. Contents [hide] 1 Biographie 2 Biography 3 Fichier origine 4 Sources Biographie Jehan Bourasseau (1634 - 1718; Variante des prénoms Jean, Baptiste et le nom de Bourassa. Père et mère: Il est le fils de Jacques Bourasseau et de Françoise Fouchard. Naissance: Le 1 avril 1634, il naît et est baptisé le même jour à Bazoges-en-Paillers (Sacré-Coeur) (Vendée), France.[1][2][3] Frère et soeurs: Un frère et quatre sœurs sont baptisés à St-Fulgent (St-Fulgence) (85215): René, 17-01-1633; Perrine, 18-08-1639; Mathurine, 12-05-1641; Marie, 17-05-1643 et Jeanne, 31-03-1645. Le 5 avril 1657, il est à La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime, Poitou-Charentes), France. Migration vers la Nouvelle-France: Le 10 avril 1657, à bord du navire ±Les Armes d'Amsterdam, il quitte le port de La Rochelle, en migration vers le Canada à titre d'engagé, contrat Moreau, La Rochelle. Traversée très difficile et longue. Voir la description complète de cette entreprise sur le blogue de Guy Perron:[4]. Le 5 novembre 1662, il apparaît dans les archives canadiennes pour un bail à ferme. 1° Mariage: Perrette Vallée , une Fille du Roi,[5] et Jean Bourasseau signent un contrat de mariage le 5 octobre 1665 par devant le notaire Pierre Duquet en présence de Daniel de Courcelles, Jean Talon, comte d'Orsainville, Alexandre, marquis de Tracy, les sieurs Louis Peronne de Mazé et Jacques Cailhaut de la Tesserye, dame Marie Barbe de Boulogne et Anne Gasnier.[6][7][8] Le nom de Bourasseau s'est transformé en Bourassa. Le 20 octobre 1665, en la paroisse Notre-Dame de Québec, Jean Bourassa âgé de 31 ans épouse Perrette Vallée (Vallay) âgée de 21 ans, fille de Nicolas (Vallée) Vallet et de Madeleine Mayor (Catherine (Major) Mahuet). [9][10][11] Cités comme témoins sont: Henry Béreau, Toussaint Ledrans et Bastien Prouvereau, le prêtre célébrant étant Hugues Pommier. Enfants connus / Known children: Jean Bourasseau & Perrette Vallée François Bourasseau, né le 13 avril 1667, bapt. 21 Québec (ND); 15 ans en 1681, aucune autre trace Pierre Bourasa, né le 11 février 1669, bapt. 20 Québec (ND); 14 ans en 1681, aucune autre trace Jeanne Bourasseau, née vers 1670 (11 ans au recensement 1681) aucune autre trace Jean Bouraça, né le 24 mai 1671 côte de Lauzon, bapt. 27 Québec (ND); épouse Françoise Métot 10 novembre 1698 St-Nicolas Marie, née vers 1672 (9 ans au recensement 1681) aucune autre trace Marie Madeleine Bourasseaut, née 13 septembre 1673, bapt. 18 Québec (ND); épouse Jean François Dusos (Dussaut) 8 janvier 1692 Pointe-de-Lévy (Lauzon) anonyme, né et décédé 5 mai 1676, (décès en accouchement - mère et enfant) côte de Lauzon.[12] Le 5 mai 1676, son épouse Perrette Vallée décède en accouchant, dans sa maison de la côte de Lauzon (alors Pointe-de-Lévy) et est inhumée le 6 mai 1676 au cimetière de cette paroisse. Acte de sépulture inscrit à la paroisse Notre-Dame-de-Québec.[13] Notre-Dame de Québec.][12] Le 18 novembre 1666, Jean Bourasseau donne quittance à Sébastien Prouvereau et Jean Huart du prix d'une terre qu'il leur a vendue dans; la seigneurie et qu'il a acquise quelques jours auparavant, 14 nov. greffe duquet - 18 nov. greffe Rageot. Le premier mai 1667, le sieur Louis Couillard de l'Espinay vend à Jean Bourasseau, pour le prix de trente livres tournois par an et deux chapons vifs, payables en blé, en anguilles, ou en argent. [14] Louis Couillard se réservait le droit de reprendre cette terre à la majorité de son fils aîné Jean-Baptiste, en payant les améliorations qui y seraient alors faites, Le 15 mai 1667, Jean Bourassa, Sébastien Prouvereau et Jean Huart s'associent pour exploiter la ferme de Charles Amiot. Le 25 novembre 1672, Jean Bourassa obtient une concession entre celles de Louis Gezeron dit Brulot et François Marchand. 2° Mariage: Le 25 octobre 1676, Catherine Poitevin et Jean Bourassa signent un contrat de mariage par devant Gilles Rageot. - Le 5 novembre 1676, à Québec, Canada, Jean Bourassa âgé de 42 ans épouse Catherine Poitevin âgée de 35 ans, veuve d'Adrien (Isabelle) Isabel. fille de Guillaume Poitevin et de Françoise Macré, en présence de Jean Huart et de Georges Cadoret. [15] [16] Catherine Poitevin est aussi une Fille du Roi [17] arrivée en Nouvelle-France en 1669. Elle épouse: 1°Adrien Isabel, le 10 octobre 1669 à Sainte-Famille (c, 28 septembre, m, Becquet) en apportant des biens estimés à 500 livres et le don royal de 50; 2° veuve d'Adrien Isabel, elle épouse Jean Bourasseau, le 5 novembre 1676, à Québec. [18] Enfants connus / Known children: Jean Bourasseau & Catherine Poitevin: René Bourassa (1678 - 1678) Marie Anne Bourassa (vers 1680 - 1733) n. Québec, d. 4 nov. 1733 Berthier-sur-Mer. Jeanne Bourassa (1 juil. 1682 - ) François Bourasseau (2 mai 1687 - 26 fév. 1777) n. Québec, d. 26 fév. 1777 St-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévis. Le 8 août 1677, sieur Henry Brault de Pomainville obtient une concession qu'il possédait depuis quinze à seize ans entre celles de Jean Bourassa et François Marchand. Recensement 1681: Jean Bourasseau 50 ; Catherine Poitier (Poitevin), sa femme, 40 ; enfants : François 15, Pierre 14, Jeanne 11, Jean l0, Marie 9, Madelaine 8, Catherine 6, MarieAnne 1 ; 1 fusil ; 3 bêtes à cornes ; 15 arpents en valeur. Ils vivent à la seigneurie de Lauzon, Canada.[19] (Note: Catherine 6 ans est fille de Catherine Poitevin et Adrien Isabel son premier époux.)[20] En 1692, Jean Bourasseau (Bourassa) fait partie de ceux qui paye leurs rentes de la Coste de Lauzon à autres termes qu'à la St-Rémy.[21] Selon Archange Godbout, il savait signer. Décès: Le 21 janvier 1718, âgé de 83 ans, Jean Bourassau / Bourassa décède et est inhumé le 22 janvier 1718 à Saint-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévy, Canada.[22] | Bourassa (Bourasseau), 1er arrivant Jean (Jehan) 10 avr 1657 sur le navire Les armes d'Amsterdame (I6445)
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276 | PRDH: 106215 Parrain: Pierre Hénault Marraine: Catherine Lochon | Huneau (Henault), Pierre (I1000)
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277 | PRDH: 106216 Parrain: François Beaudoin (Grand-père maternel) Marraine: Louise Tessier (Grand-mère paternelle) Probablement morte en couche. Dans le même registre que son acte de sépulture, il est dit que le 14 septembre 1960, un enfant Hainaut est décédé (Ondoyé). | Payet St-Amour, Françoise (I1001)
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278 | PRDH: 106355 | Dalcours, Marie Josephe (I2368)
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279 | PRDH: 10641 | Vallée, Marie Pierrette (I6447)
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280 | PRDH: 10659 http://www.memoireduquebec.com/wiki/index.php?title=Boursier_%28Jean_%3B_dit_Lavigne%29: Laboureur né vers 1644 dans la paroisse Saint-Seurin-d'Uzet de Saintes (Saintonge, Charente-Maritime, France). Arrive en Nouvelle-France en 1672. Père de la lignée Boursier/Thibodeau d'Amérique. Épouse Marie-Marthe Thibodeau à Ville-Marie (Montréal) le 9 avril 1673 ; de cette union sont issus Alexandre Boursier (marié à Marie-Jeanne Primeau), Barbe Boursier (mariée à Jean Poineau), Anne Boursier (mariée à Raphaël Descent), Jeanne-Catherine Boursier (mariée à Étienne Magdelaine), Jean Boursier. Décès avant le 31 octobre 1694 à Lachine (tué par les Iroquois). Crédits - Dictionnaire généalogique des familles du Québec (René Jetté, Presses de l'Université de Montréal, 1983) Pour le Christ et le Roy - La vie au temps des premiers Montréalais (sous la direction de Yves Landry, Libre Expression, Art Global, 1992) http://genealogie.quebec/info/index.php?no=69900: Il est le fils de Pierre Boursier 4 et Marie Mouchet 4. Il naît vers 1644 à Saint-Surin-de-Mortagne, Xaintes, France 1, 5. Il épouse Marie Thibaudeau fille de Catherine Aurard et Mathurin Thibaudeau le 9 avril 1673 à Montréal, Île de Montréal, Québec, Canada 1, 6. Liste de ses enfants connus: + 1. Alexandre Boursier (1674 - 1745) 1, 5 (de Marie Thibaudeau) 2. Marguerite Boursier (1675 - ) 1, 4 (de Marie Thibaudeau) + 3. Barbe Boursier (1677 - ) 1, 5 (de Marie Thibaudeau) 4. Marie Boursier (1680 - ) 1, 4 (de Marie Thibaudeau) + 5. Anne Boursier (1682 - ) 8 (de Marie Thibaudeau) + 6. Jeanne-Catherine Boursier (1684 - ) 9 (de Marie Thibaudeau) 7. Jean Boursier (1686 - ) 9 (de Marie Thibaudeau) 8. Madeleine Boursier (1688 - 1689) 9 (de Marie Thibaudeau) Marie Boursier, Barbe Boursier, Marguerite Boursier, Alexandre Boursier, Marie Thibaudeau et Jean Boursier dit Lavigne résident au fief Verdun, Île de Montréal en 1681 1. Jean Boursier dit Lavigne possède un fusil et quatre arpents de terre en valeur en 1681 1. Marie Thibaudeau et Jean Boursier dit Lavigne sont faits prisonniers par les Iroquois lors du raid sur Lachine 7. Questions, commentaires, informations de la section collaboration: (Ajouter une note) 1. Internet - Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca) le 17 mars 1998. 2. Tanguay - Volume 1, p. 80, 186, 564 3. Tanguay - Volume 2, p. 430 4. Tanguay - Volume 1, p. 80 5. Tanguay - Volume 1, p. 80, Volume 2, p. 430 6. Tanguay - Volume 1, p. 80, 564, Volume 2, p. 430 7. Courriel de Paul Cadieux - 22 février 2005 8. Tanguay - Volume 1, p. 80, 186 9. Tanguay - Volume 1, p. 81 La dernière mise à jour de cette personne a été faite le 2014-10-02 https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Bourcier_Jean&pid=96333: ID No: 96333 Prénom: Jean Nom: Bourcier Lavigne Sexe: M Occupation: Naissance: 1644 vers Paroisse/ville: St-Seurin, Charente-Maritime Pays: France Décès: 05 août 1689 - âge: 45 Paroisse/ville: Lachine Pays: Canada Information, autres enfants, notes, etc. Lors du massacre de Lachine le 5 août 1689 sa fille Madeleine est inhumé, tuée par les iroquois, âgée de 11 mois. Les parents sont morts également. On présume que Jean, sa femme Marie-Mathe Thibodeau et une autre fille, Elisabeth, 9 ans, étaient parmi les victimes du massacre, probablement pris prisonniers et tués sans qu'on les retrouve. courriel Marc Bourcier. Trouvé un acte de décès qui peut être celui de sa mère: l'acte du 22/12/1694 de Marie Mouchet 75 ans n'indique pas de filiation (Bms Epargnes) les décés de registres paroissiaux n'indiquent pas la filiation en général mais comme c’est une communauté limitrophe de Saint-Seurin d’Uzet, il est fort probable que c’est la même personne. | Boursier Lavigne, 1er arrivant Jean 1672. Navire inconnu. (I957)
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281 | PRDH: 10660 | Thibodeau, Marie-Marthe (I958)
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282 | PRDH: 10664 Parrain: Jean Foucher Marraine: Jeanne Millot Ancêtre de Adrienne Lefebvre | Boursier (Bourcier), Anne (I3509)
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283 | PRDH: 10666 | Boursier, Jean (I972)
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284 | PRDH: 10668 http://migrations.fr/700fillesduroy_4.htm : POITEVIN Catherine Île-de-France 30/06/1669 Le St Jean-Baptiste POITEVIN Catherine 550 livres de dot dont 50 livres du Roi. Fille de Guillaume Poitevin et de Françoise Macré Née vers 1641 dans la paroisse Saint-Nicolas-des-Champs; 3ème arrondissement de Paris, Île -de-France. Comme cité dans un acte en 1711, Catherine Poitevin est infirme et privée de la vue depuis quelques années Décédée après le 22/08/1712 Elle a 40 ans au recensement de 1681. 2 mariages M-1) ISABEL Adrien Fils de Jean et Marie Adam de la paroisse St. Etienne de la ville de Reux, 14130; Calvados; Basse-Normandie. Né vers 1638. Il a 28 ans au recensement de 1666 à Québec, engagé de Charles Aubert. Décès le 05/01/1676 à St Laurent, I. d' Orléans, sépulture le 7. CM : 28/09/1669 notaire Romain Becquet Mariage le 10/10/1669 à Sainte-Famille (Île d'Orléans) Acte de mariage De cette union sont issus: 1) Adrien : né le 21/08/1670, baptisé 28/08/1670 à Sainte-Famille ÎO, sépulture 31/08/1670 Sainte-Famille ÎO 2) Jean-Pierre : né 01/03/1672 baptisé le 13/03/1672 Sainte-Famille ÎO 3) Marc : né 08/03/1674, baptisé le 9 Sainte-Famille ÎO (marié à Marguerite Lemelin) 4) Catherine : née 28/03/1676, baptisée le 29 Sainte-Famille ÎO M-2) BOURASSA (BOURASSEAU) Jean Fils de Jacques et Françoise Fouchard de St.Fulgent, 85250; Vendée; Pays-de-la-Loire. (Poitou) Baptisé le 01/04/1634 Bazoges-en-Paillers (Sacré-Coeur) (Vendée) Engagé à La Rochelle le 05/04/1657, contrat Morezau, âgé de 23 ans Veuf de Perrette Vallée fille de Nicolas et Madeleine Major de la paroisse St Sulpice de la ville de Châlons-sur-Marne,51000; Marne; Champagne-Ardenne. Elle décède le 05/05/1676 à Québec (morte en travail d’enfant) (7 enfants naitront de ce couple.) Jean Bourrassa décède le 20/01/1718 à Lauzon et est inhumé le 22 (âgé de 89 ans) Contrat de mariage le 25/10/1676 notaire Gilles Rageot Mariage le 04/11/1676 à Ste Famille, ÎO Acte de mariage De cette union sont issus 4 enfants dont: 1) René : baptisé 15/05/1678 Québec, sépulture 01/10/1678 Québec 2) Marie-Anne Bourassa née ca 1680 (mariée à Pierre Bouchard) décès 04/11/1733 3) Jeanne : 01/07/1682 Lauzon 4) François Bourassa : baptisé 15/05/1687 Québec (marié à Marguerite Jourdain) décès 26/02/1777 Pointe-de-Lévy En 1681, la famille est en la seigneurie de Lauzon, ils ont un fusil, trois bêtes à cornes et quinze arpents de terre en valeur Jean Bourassa : 50 ans, Catherine Pitevin sa femme, 35 ans, leurs enfants : François 15 ans, Pierre 14 ans, Jeanne 11 ans, Jean 10 ans, Marie 9 ans, Madeleine 8 ans, Catherine 6 ans, Marie-Anne 1 an. Fait judiciaire 15 juin 1711 [Document insinué le 1er septembre 1711] Donation d'une terre sise et située en la seigneurie de Lauzon, dépendante de la communauté qui a été entre Jean Bourassa et feue Marie Vallée (Perrette Vallée), par Jean Bourassa, habitant demeurant en la seigneurie de Lauzon, et Catherine Poitevin, sa seconde femme, laquelle est infirme et privée de la vue depuis quelques années; à François Bourassa, leur fils; ladite donation est passée pardevant maître Chambalon, notaire royal en la Prévôté de Québec . Pistard Sources : DGFQ, p. 146 ; FDR Yves Landry édition 2013 page 192 ; Fichier Origine ;Pistard ; Jocelyne Nicol-QuillivicFamily Search ; Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca) le 17 mars 1998. ; https://www.wikitree.com/wiki/Poitevin-8 : Catherine Poitevin aka Poitiers, Bourasseau, Bourassa, Isabel Born about 1641 in St-Nicolas-des-Champs, Paris, Francemap Daughter of Guillaume Poitevin and Françoise Macré [sibling(s) unknown] Wife of Adrien (Isabelle) Isabel — married 10 Oct 1669 in Ste-Famille, Île d'Orléans, Canada, Nouvelle-Francemap Wife of Jehan (Bourasseau) Bourassa — married 5 Nov 1676 in Notre-Dame de Québec, Canada, Nouvelle-Francemap DESCENDANTS descendants Mother of Marc Isabel, Rene Bourassa, Marie-Anne Bourassa, Jeanne Bourassa and Francois Bourassa Died after Aug 1712 after about age 71 [location unknown] PROBLEMS/QUESTIONSProfile managers: Gaston Tardif private message [send private message] and Filles du Roi Project WikiTree private message [send private message] Profile last modified 7 Dec 2022 | Created 29 Aug 2012 This page has been accessed 1,988 times. Filles du Roi Catherine Poitevin est une des Filles du Roi Join: Filles du Roi Project Discuss: FILLES_DU_ROI Flag of France Catherine Poitevin migrated from France to New France. Flag of New France Drapeau identifiant les profils du Canada, Nouvelle-France Catherine Poitevin a vécu au Canada, Nouvelle-France. Contents [hide] 1 Fille du Roi 2 Biographie 3 Biography 4 Sources Fille du Roi POINTEVIN, Catherine (arrivée 1669), née à Saint-Nicolas-des-Champs de Paris (ÎLE-DE-FRANCE), en 1641, fille de Guillaume et de Françoise Macré. Elle épousa: 1° Adrien Isabel, le 10 octobre 1669, à Sainte-Famille (c. 28 septembre, m. Becquet), en apportant des biens estimés à 500 livres et le don royal de 50; 2° Jean Bourasseau, le 5 novembre 1676, à Québec. (DGFC, I : 315, 76). POITEVIN, Catherine (arrival 1669, born in Saint-Nicolas-des-Champs de Paris, ÎLE-DE-FRANCE), in 1641, daughter of Guillaume and of Françoise Macré. She married: 1° Adrien Isabel, on October 10 1669, in Sainte-Famille (c September 28, m. Becquet), bringing goods estimated to 500 pounds and the royal donation of 50; 2° Jean Bourasseau, November 5, 1676, in Québec. (DGFC, I : 315, 76). Source: Cahier d'Histoire #24, Les filles du roi en Nouvelle-France, Silvio Dumas, La Société Historique de Québec.[1] Biographie Catherine Poitevin (1641 - ) , variantes du nom: Poitiers, Poitier. Père et mère: Elle est la fille de Guillaume Poitevin et de Françoise Macré. Naissance: Vers 1641, elle naît en la paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, Paris, Île-de-France, France. Migration en Nouvelle-France: En qualité de Fille du Roi, elle débarque en Canada du navire "le St Jean-Baptiste", le 30 juin 1669,[2] 1° Mariage: Catherine Poitevin et Adrien Isabel signent un contrat de mariage le 28 septembre 1669 par devant Romain Becquet. - Le 10 octobre 1669 à Sainte-Famille, Île d'Orléans, Canada, Catherine Poitevin âgée de 28 ans épouse Adrien Isabelle âgé de 31 ans, fils deJean (Isabelle) Isabel (abt.1600-abt.1645) et de Marie Adam (1605-aft.1646). [3] Enfants connus / Known children: Adrien Isabel & Catherine Poitevin: Adrien Isabel (1670 - 1670) Jean-Pierre Isabel (1672 - ) Marc Isabel (1674 - ) Catherine Isabel (1676 - ) 2° Mariage: Catherine Poitevin et Jean Bourassa signent un contrat de mariage le 25 octobre 1676 par devant Gilles Rageot de Saint-Luc. - Le 5 novembre 1676, à la paroisse Notre-Dame, Québec, Canada, Catherine Poitevin âgée de ~35 ans épouse Jean Bourassa âgé de 42 ans, fils de Jacques Bourasseau (1609-bef.1665) et de Françoise Fouchard (1610-1676); témoins: Jean Huart et Georges Cadoret, habitants de la côte de Lauzon.[4] Enfants connus / Known children: Jean Bourassa & Catherine Poitevin: René Bourasseau (1678 - 1678) Marie-Anne Bourassa (1680 - 1733) François Bourasseau (1687 - ) Recensement 1681: Jean Bourasseau 50 ; Catherine Poitier (Poitevin), sa femme, 40 ; enfants : François 15, Pierre 14, Jeanne 11, Jean l0, Marie 9, Madelaine 8, Catherine 6, MarieAnne 1 ; 1 fusil ; 3 bêtes à cornes ; 15 arpents en valeur. Ils habitent à la seigneurie de Lauzon, Canada. Fait judiciaire 15 juin 1711 [Document insinué le 1er septembre 1711] Donation d'une terre sise et située en la seigneurie de Lauzon, dépendante de la communauté qui a été entre Jean Bourassa et feue Marie Vallée (Perrette Vallée), par Jean Bourassa, habitant demeurant en la seigneurie de Lauzon, et Catherine Poitevin, sa seconde femme, laquelle est infirme et privée de la vue depuis quelques années; à François Bourassa, leur fils; ladite donation est passée pardevant maître Chambalon, notaire royal en la Prévôté de Québec . Source: Pistard. Décès: Âgée de peut-être 72 ans, Catherine Poitevin décède à une date et endroit inconnu, après août 1712; elle était très infirme et aveugle depuis quelques années. | Poitevin, 1ère arrivante. Fille du roi Catherine 1669 (I6446)
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285 | PRDH: 1074 | Amiot, Noel (I6588)
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286 | PRDH: 1075 | Vienne, Anne (I6589)
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287 | PRDH: 1076 https://www.wikitree.com/wiki/Amiot-33 : Jeanne Amiot aka Amyot Born about 1651 in paroisse St-Pierre, évêché de Langres, Francemap Daughter of Noël Amiot and Anne Vivienne [sibling(s) unknown] Wife of Nicolas Pion — married 19 Sep 1673 in Notre-Dame de Québec, Canada, Nouvelle-Francemap Wife of François Chicoine — married 12 Nov 1704 in Contrecoeur, Canada, Nouvelle-France,map DESCENDANTS descendants Mother of Jean Edmond (Pion) Fontaine, Marie Jeanne Pion, Angélique (Pion) Fontaine, Pierre (Pion) Fontaine, Nicolas (Pion) Fontaine, Maurice (Pion) Pion dit Lafontaine, Anne (Pion) Fontaine and Louise (Pion) Fontaine Died 4 Feb 1745 at about age 94 in Verchères, Canada, Nouvelle-Francemap PROBLEMS/QUESTIONSProfile manager: Filles du Roi Project WikiTree private message [send private message] Profile last modified 20 Jul 2022 | Created 9 Mar 2013 This page has been accessed 2,262 times. Filles du Roi Jeanne Amiot est une des Filles du Roi Join: Filles du Roi Project Discuss: FILLES_DU_ROI Flag of France Jeanne Amiot migrated from France to New France. Flag of New France Contents [hide] 1 Biographie 2 Biography 3 Research notes 4 Sources 5 Acknowledgements Biographie Jeanne Amiot Jeanne Amyot d'après son premier acte de mariage est fille de Noël Amyot et de feue Anne Vivienne, de la paroisse de St-Pierre, évêché de Langres.[1] L'endroit a été identifé par Yves Landry comme St-Pierre de Losne, év. de Langres, en Bourgogne (ar. Beaune, Côte-d'Or), elle serait née vers 1651[2]. Le site Migrations identifie l'endroit comme St-Pierre de Losnes de la ville de Langres, Haute Marne, Champagne-Ardenne[3] Une autre source dit qu'elle est née en la ville de Loches (St-Pierre) (Tourainne, France), en 1645, [4]. Jetté reprend Landry quant à l'endroit, St-Pierre de Losnes, Ar. Beaune, Év. Langres, Bourgogne (Côte-d'Or) et lui donne 30 ans au recensement 1681 (voir note)[5] Jeanne Amiot, est arrivée à Québec le 3 septembre 1673, à bord du vaisseau L'Espérance[6], apportant des biens estimés à 200 livres.[2] Drapeau identifiant les profils du Canada, Nouvelle-France Jeanne Amiot a vécu au Canada, Nouvelle-France. 2 mariages: Mariage 1: Nicolas Pion dit Fontaine, boucher de métier Contrat de mariage de Nicolas Pion dit Lafontaine et Jeanne Amyot (14 septembre 1673). Vol III pg 111 Notaire Romain Becquet[7] Nicolas signe Pion, Jeanne ne peut signer. Parmi les notables présents et signant on trouve Louis de Buade comte de Frontenac, Anne Gasnier, et Charles Legardeur de Tilly.[8] Le 19 septembre 1673 à Notre-Dame de Québec, Nicolas Pion dit Fontaine, (fils de Pion) et de Catherine Bredons, résident de Sorel et originaire de la paroisse de St-Pierre-du-Bouel, ville et archevêché de Tours, épousa Jeanne Amyot, fille de Noël Amyot et de défunte Anne Vivienne, de la paroisse de St-Pierre, évêché de Langres. Ils avaient reçu dispense de deux bans. Le mariage fut célébré par le prêtre Louis Ango, curé de la paroisse, en présence de Pierre Sorel, Jean Baptiste Paticier et Pierre Huynaut.[9] Enfants connus: Jean Pion, né & baptisé le 17 août 1674 à Sorel. Décès le 16/05/1688. Jeanne Pion, née le 22 août 1676, baptisée le 29 septembre à Sorel; mariée à Jean Saire le 9 février 1694 à Montréal (ND); à 49 ans elle épouse Louis Ducharme 4 septembre 1727 Montréal (ND) Pierre Pion, né vers 1679; inhumé le 21 octobre 1687 à Montréal (ND), âgé d'environ 8 ans. Angélique Pion, née vers 1679; inhumée le 12 octobre 1687 à Montréal (ND), âgée d'environ 8 ans, résidente de Verchères. Nicolas Pion, né le 28 décembre 1681 à Lavaltrie, baptisé le 22 février 1682 à Contrecœur. Maurice Pion, né le 29 juillet 1684, à Verchères, baptisé le 13 août à Contrecœur; le contrat de mariage de Thérèse Chicoine et Maurice Pion est signé le 22 janvier 1713 devant le notaire Jacques Bourdon. Anne Pion, née à Verchères, baptisée le 10 février 1687 à Contrecœur. Louise Pion, née vers 1689; inhumée le 28 janvier 1690 à Montréal (ND), âgée d'environ 1 an.[10] Vente de (Nicolas) Pion et Jeanne Amiot, sa femme, à Michel Brouillet (21 octobre 1678.) Vol V pg 34 Notaire Antoine Adhémar[7] Vente de Jeanne Amiot, épouse de Nicolas Pion, à Jean Gibaut (19 juin 1689). Vol V pg 111 Notaire Antoine Adhémar[7] Le couple est à Sorel au début, puis au baptême de Jeanne en 1676 ils semblent être ailleurs, le baptême étant un mois après la naissance, sans mention du lieu de naissance. En 1682 au baptême de Nicolas, ils sont dits habitants de Lavaltrie, des baptêmes où Jeanne est marraine à l'époque disent aussi celà en 1682 et 1683. En 1684, au baptême de Maurice, ils sont dits résidents de Verchères. En 1687 au baptême d'Anne aussi.[10] Ils manquent au recensement 1681.(Voir note) Jeanne Amyault (sic) fit un contrat de mariage avec Philippe Neveu en juin 1704, qui fut annulé. Contrat de mariage de Philippe Neveu et Jeanne Amyault (30 juin 1704). Vol VI pg 136 Notaire Antoine Adhémar[7] (Annulé) Mariage 2: François Chicoine dit Frenière En novembre 1704, elle fait un contrat de mariage avec François Chicoine. Contrat de mariage de François Chicoine et Jeanne Amiot (6 novembre 1704). Vol VIII pg 17 Notaire Marien Tailhandier[7] Le 12 novembre 1704 à Contrecoeur, Jeanne Amiot, veuve de Nicolas Pion, épouse Françoise Chicoine, fils de feu Pierre Chicoine et de Madeleine Chrétien.[11] Ils eurent dispense de 2 bans par le Grand-Vicaire de Bellemont. Jeanne est dite de l'évêché de Langres. Louis Delafaye prêtre missionnaire célébra le mariage en présence de Louis Herbain, lieutenant d'une compagnie du détachement de la marine, et d'Abel Simon habitant de Verchères, le prêtre et Herbin furent les seuls à signer. Aucun enfant de ce mariage.[10] Acte pour insinuer un don fait en leur contrat de mariage entre François Chicouane et Jeanne Amyot, sa femme (8 février 1706). Vol VI pg 166 Notaire Antoine Adhémar[7] Elle est sage femme.[2] Le premier acte trouvé qui la cite comme telle est une sépulture d'un enfant Plouf, ondoyé par elle et inhumé le lendemain 10 novembre 1720 à Verchères (enregistré à Contrecoeur). Les actes subséquents la montrent résidant à Verchères.[10] En 1743 les neveux de François Chicoine demandent une curatelle pour lui et son épouse, le texte note que François est privé de parole et que Jeanne Amiot, âgée de 105 ans est malade depuis plusieurs années. (Lien donne accès au document original) Curatelle de Frenière Chicouane [François Chicoine] et de son épouse, Jeanne Amiot, âgée de 105 ans . - 4 novembre 1743[12] Décès: Jeanne Amiot décède le 4 février 1745 et inhumée le 6 à Verchères, dans l'église, elle est dite femme de François Chicoine dit Frenière, et l'acte lui donne environ cent sept ans.[13] Après le décès des deux époux, il y eut litige de succession: Arrêt qui accorde défaut-congé à Paul Tétro et Thérèse Chicouanne contre Michel Quintal, curateur élu en justice aux biens de feu François Chicouanne et Jeanne Amiot, appelant de la sentence rendue en la Juridiction de Montréal, le 19 avril 1746 . - 4 juillet 1746[14] Procès entre Paul Tétreau, époux de Marie-Thérèse Chicoine, demandeur, et Michel Quintal, curateur de la succession de feu François Chicoine dit Lafresnière, époux de Jeanne Amiot, défendeur, concernant la gestion de la dite succession . - 27 mars 1749 -- Portée et contenu: Ce dossier de matière civile est composé de la sentence qui régit le compte de gestion des biens des défunts François Chicoine et sa femme, Jeanne Amiot, dans un différend entre Paul Tétreau, en sa qualité d'époux de Marie-Thérèse Chicoine, héritière desdits défunts, et Michel Quintal, curateur de ladite succession. Agnès Chicoine, veuve de Loiseau, est aussi citée .[15] Appel mis à néant de la sentence rendue en la Juridiction de Montréal, le 27 mars 1749, dans la cause entre Michel Quintal, habitant de Verchères, au nom et comme curateur élu aux personnes et biens de feu François Chicouane et Jeanne Amyot, sa femme, contre Paul Tétreau, habitant du même lieu de Verchères, au nom et comme époux de Marie-Thérèse Chicouane, héritière de feu François Chicouane dit Frenière, son frère, et de feu Jeanne Amyot, sa femme. Appel mis à néant en ce qu'il n'a été alloué, par la dite sentence, à Quintal aucuns faux frais de sa gestion et administration de curatelle, en ce que Quintal est condamné à payer les cinq sixièmes du compte en contestation. Au chef des dépens, le Conseil a alloué à Quintal la somme de cent livres pour les faux frais en question . - 18 décembre 1752[16] https://lecourrier.qc.ca/familles-maskoutaines-46-les-pion/ : En 46e position des familles maskoutaines, les Pion se retrouvent loin derrière à la 1100e place des noms de famille du Québec. Le premier en Nouvelle-France est Nicolas Pion dit Lafontaine, né vers 1635 et originaire de la ville et de l’archevêché de Tours en France. Il est le fils de Nicolas Pion et de Catherine Bredons. Il signe son contrat d’engagement à La Rochelle le 1er avril 1665. Il épouse, le 19 septembre 1673, Jeanne Amiot, fille de Noël Amiot et d’Anne Vivienne, en l’église Notre-Dame de Québec. Le couple va donner naissance à huit enfants. Nicolas est inhumé à Québec le 3 mars 1703, il est alors âgé de 68 ans. Dans le registre de la paroisse Notre-Dame-du-Rosaire de Saint-Hyacinthe, le premier acte inscrit au nom de Pion est celui du 26 juillet 1781. Il s’agit de la sépulture de Marie-Anne Pion, décédée l’avantveille, le 24, à l’âge de 55 ans. Elle est veuve en secondes noces de feu Louis Côté. | Amiot, Fille du Roi. 1ère arrivante Jeanne 3 sep 1673 sur le navire L'Espérance (I6585)
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288 | PRDH: 107995 | Monet (Boismenu), Marie Catherine (I2683)
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289 | PRDH: 108134 | Roy, Jean (I621)
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290 | PRDH: 10838 BRAZEAU, Nicolas 300010 Statut Marié Date de naissance Vers 1630 Lieu d'origine Paris (Seine) 75056 Lieu actuel Paris Parents Nicolas et Marie Regnard Métier du père Charron Première mention au pays 1681 Occupation à l'arrivée Charron engagé (ct 06-06-1680 Boureau à Amboise, 37003) Date de mariage 04-09-1661 Lieu du mariage Paris (cm Laurent De Monhenault) Conjoint Perrette Billard Date de décès Entre 11-07-1703 et 20-08-1705 Remarques Le 17-03-1683, il est cité maître charron à Montréal. En 1661 (cm), Nicolas Brazeau (Nicolas, charron et f. Marie Regnard), dit rue de la Cerisaie, paroisse St-Paul à Paris (4e arr.) (75104); et Perrette, citée Marguerite Billard (f. Jean, cordonnier et Hélène Guillet), de Chaumont-en-Vexin (Oise, 60143). Trois enfants naissent de cette union à Paris, puis pionniers: Marie, Nicolas et Charles. Identification* DGFQ, p. 166 ; DGFC, vol. 1, p. 87 Chercheur(s) Jean-Paul Macouin Référence* NA17, p. 461 Dossier d'archives numérisé Date de modification 2018-10-07 | Brazeau (Brassault), 1er arrivant. Nicolas Vers 1681 (I4767)
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291 | PRDH: 10839 https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=300007 : BILLARD, Perrette 300007 Statut Mariée Date de naissance Vers 1635 Lieu d'origine Chaumont-en-Vexin (Oise) 60143 Lieu actuel Chaumont-en-Vexin Parents Jean et Hélène Guillet Métier du père Cordonnier Première mention au pays 1681 Occupation à l'arrivée Migrante arrivée avec son mari et ses enfants Date de mariage 04-09-1661 Lieu du mariage Paris (cm Laurent De Monhenault) Conjoint Nicolas Brazeau Décès ou inhumation Montréal, 20-08-1705 Remarques En 1661 (cm), Nicolas Brazeau (Nicolas, charron et f. Marie Regnard), dit rue de la Cerisaie, paroisse St-Paul à Paris (4e arr.) (75104); et Perrette, citée Marguerite Billard (f. Jean, cordonnier et Hélène Guillet), de Chaumont-en-Vexin (Oise, 60143). Trois enfants naissent de cette union à Paris, puis pionniers: Marie, Nicolas et Charles. Identification* DGFQ, p. 166 ; DGFC, vol. 1, p. 87 Chercheur(s) Jean-Paul Macouin Référence* NA17, p. 461 Date de modification 2018-10-07 | Billard, 1ère arrivante Perrette (I4768)
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292 | PRDH: 10840 | Brazeau (Brassault), Nicolas (I4772)
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293 | PRDH: 10879 | Boursier Lavigne, Pierre (I3533)
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294 | PRDH: 10879 | Mouchet, Marie (I3534)
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295 | PRDH: 108837 | Quevillon, Marie Josephe (I2208)
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296 | PRDH: 108850 | Rivet, Marguerite (I739)
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297 | PRDH: 109082 Marie Thérèse s'est marié à Louis Jacqeus Charles Renaud Buisson Rainaud, fils de Charles Renaud Buisson qui est commandant de Détroit en 1710 (Détroit a été fondée en 1701). Pas étonnant qu'on voie dans la famille plusieurs sépulture à Ste-Anne-de-Détroit. http://www.biographi.ca/fr/bio/renaud_dubuisson_jacques_charles_2F.html : RENAUD DUBUISSON, JACQUES-CHARLES, commandant dans l’Ouest, major de Trois-Rivières, né à Paris en 1666 et décédé à Trois-Rivières en 1739. Dubuisson arriva au Canada en 1685 ou 1686. D’abord cadet, il fut promu enseigne réformé en 1696, puis lieutenant en 1698 et aide-major de Québec en 1704. Il eut des ennuis pendant un certain temps, à Québec en 1707, lorsqu’il fut accusé de s’être battu en duel. Rigaud de Vaudreuil le gracia et, en 1709, le recommanda pour une promotion. À partir de cette date, et jusqu’à sa mort, ses supérieurs n’eurent que des éloges pour la façon dont il s’acquitta des tâches, tant militaires qu’administratives, qu’ils lui confièrent. En septembre 1710, il fut envoyé à Détroit pour assumer le commandement du fort jusqu’à ce que Dauphin de La Forest, qui était malade, pût reprendre son poste. L’année suivante fut difficile : la présence de l’ancien commandant, Lamothe Cadillac [Laumet], qui n’abandonnait pas de bonne grâce l’autorité et les privilèges qui avaient été les siens, était une cause continuelle de friction. Vaudreuil félicita Dubuisson pour l’habileté dont il avait fait preuve dans cette situation délicate. En 1712, il prit part à l’attaque contre les Indiens de la tribu des Renards ; ce fut l’opération militaire la plus importante à laquelle il participa. Au début du printemps, les bandes dirigées par les chefs renards Lamyma et Pemoussa se joignirent aux membres de leur tribu déjà installés à Détroit. Ils y furent bientôt rejoints par quelques-uns de leurs alliés, les Mascoutens, qui avaient fui les guerriers outaouais et potéouatamis. Dès leur arrivée, les Mascoutens insistèrent pour passer immédiatement à l’attaque. Sachant bien qu’il ne pouvait éviter le, combat, et comme les Renards se montraient particulièrement menaçants, Dubuisson décida d’accorder son appui à ceux qui étaient depuis longtemps les alliés fidèles des Français. Le camp des Renards fut assiégé pendant 19 jours ; une fusillade soutenue et le manque de vivres causèrent la mort d’un grand nombre des assiégés. On tint plusieurs conseils sans arriver à conclure la paix, puis l’ennemi réussit à s’enfuir à quelques milles vers le nord où il fut finalement forcé de livrer combat. Lors de la reddition des Renards, presque tous les hommes capturés furent massacrés, et Dubuisson fit rapport qu’en tout 1000 ennemis, 60 alliés et un Français avaient été tués. Cette victoire établit la renommée de Dubuisson à Québec et aussi parmi les Indiens ; pendant une vingtaine d’années son influence fut grande dans l’Ouest où la situation demeurait instable. Dubuisson était revenu à Québec à l’automne de 1712, mais il dut reprendre le commandement de Détroit car La Forest était de nouveau malade. Il y demeura jusqu’à la nomination de Jacques-Charles de Sabrevois, comme commandant du poste, à l’été de 1715. Dubuisson avait alors atteint le grade de capitaine. Il était en garnison à Québec quand, à l’automne de 1716, il reçut l’autorisation de passer en France pour régler des affaires personnelles. Il revint ensuite dans la colonie et, au printemps de 1718, Vaudreuil lui demanda de se rendre chez les Miamis pour les persuader de retourner dans leurs anciens villages sur les bords de la rivière Saint-Joseph (Michigan). Ces Indiens avaient quitté leurs bourgades pour fuir les Renards, mais ils avaient choisi d’établir leurs nouveaux cantonnements dans un lieu (aujourd’hui l’Indiana) qui ne plaisait guère aux Français, car ils se trouvaient maintenant trop près des commerçants anglais qui leur offraient de meilleurs prix. Il est difficile de suivre les déplacements de Dubuisson au cours des dix années qui suivirent. L’on sait qu’il réussit à convaincre les Miamis de retourner dans leurs villages du Michigan et qu’il commanda ± au poste des Miamis qu’il a établi et aux Ouyatanons [Weas] . En 1722, François-Marie Bissot de Vinsenne était en charge du poste des Ouyatanons ± sous les ordres du Sr. Du Buisson , et un mémoire de 1723–1725 mentionne que Dubuisson était commandant d’un poste chez les Miamis. Cependant trois et, peut-être, même quatre postes étaient alors, ou connus sous ce nom, ou situés dans le territoire des Miamis. Il semble bien que Dubuisson était à Michillimakinac en 1728, puisqu’un rapport daté de septembre de cette année-là, blâmant Le Marchand de Lignery pour une attaque mal dirigée contre les Renards, mentionne que Dubuisson n’en était pas responsable. En octobre 1729, il fut nommé commandant de Michillimakinac et, au cours de l’été, il mena une attaque d’une certaine ampleur contre les Renards. D’après un mémoire de 1730, l’expédition fut un échec, mais Dubuisson était d’avis que même si les Renards n’avaient pas été écrasés, ils crèveraient de faim avant le printemps. À cette époque, Michillimakinac était le poste le plus important de l’Ouest : ± C’est à missilimakinak que les Voyageurs de tous ces endroits viennent vendre leurs pelleteries, acheter des bleds et des canots [...] . Cet automne-là, Testard de Montigny remplaça Dubuisson. Ce dernier était maintenant âgé, il avait été blessé à trois reprises et il prétendait que la nourriture de la garnison du fort de Michillimakinac, composée essentiellement de poisson, avait nui à sa santé. Dubuisson avait épousé Gabrielle Pinet (Desmarest) en 1699. Ils eurent cinq filles et un garçon. Sa femme mourut en 1715, et le 29 octobre 1717 il se remaria à Louise, fille de Jacques Bizard*, de Montréal. Il fut nommé major de Trois-Rivières en avril 1733 et fait chevalier de Saint-Louis en mars 1734, honneur qu’il désirait depuis longtemps. Il mourut à Trois-Rivières le 24 décembre 1739 et fut inhumé dans la chapelle de Sainte-Geneviève. Cette phrase de Vaudreuil, en 1720, donne une idée de la haute estime dont jouissait Dubuisson : ± s’est toujours distingué dans toutes les occasions tant contre les Sauvages que contre les Anglois . | Godefroy DeVieuxPont, Marie Thérèse (I5949)
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298 | PRDH: 109299 | Monet (Boismenu), Madeleine (I2684)
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299 | PRDH: 10938 | Têtu (Testu) Dutilly, Geneviève (I4861)
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300 | PRDH: 10965 https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=243300 : PILLAT / PILLARD, Catherine 243300 Statut Mariée Date de baptême 30-03-1646 Lieu d'origine La Rochelle (Ste-Marguerite) (Charente-Maritime) 17300 Lieu actuel La Rochelle Parents Pierre PILLAT et Marguerite Bouricaud Métier du père Maître tisserand Première mention au pays 1663 Occupation à l'arrivée Fille du roi Date de mariage 19-10-1665 Lieu du mariage Montréal (Notre-Dame) Conjoint Pierre Charron Décès ou inhumation Montréal, 23-07-1717 Remarques Elle est née à La Rochelle (Notre-Dame-de-Cougnes). Deux soeurs sont baptisées à Aigrefeuille-d'Aunis (St-Étienne) (17003) : Marie-1, 26-12-1628 et Marie-2, 25-08-1630. Deux frères sont baptisés à La Rochelle (Ste-Marguerite) : Pierre, 19-04-1635; et Jean, 10-11-1641, marié (père défunt) à Thairé (Notre-Dame-de-l'Assomption) (17443), le 28-10-1668 avec Janne Favreau (f. Anthoine et Renée Montagner). En 1665, ses parents sont Pierre Pilliat et Marguerite Moulinet. Identification* DGFQ, p. 233 Chercheur(s) Jean-François Paboul ; Pierre Charron ; Lise Dandonneau Copie d'acte AD-17 numérisé Dossier d'archives numérisé Date de modification 2017-06-03 Marcel Foumier wrotei > Conceanant le réperloirc des âctes, vous pouvez me taânsmettre les > informations par courrier électaonique en m'indiquânt âvec précision lâ > date et le lieu de baptême, la paroisse, le nom des parents figurant à > l'acte, le nom des chercheuas qui ont fait lâ découvede et si ces > informations ont déjà été publiées Voici donc les informations demandées concernant les deux pionniers donl j'ai pu retracer les actes de nâissance PIERRE ROY Arrivé à Montéal vels 1666, Pierrc Roy épousa Cathedne Duchârme le 12 janvier 1672 LoIs de son mariage, il se dit fils de Charles Le Roy et de Jeanne Boyer, de la pa.oisse St-N4ichel-le-Cloucq, pès de La Rochelle. Diverses déclarations tout au long de sa vie permettent de fixer sa nâissance enke '1638 et 1644. L'âôle a été rê1rouvé dans le regislre des baptêmes, premières communions et sépultures de cetie paroisse pour les années 1621-1659, - par mon fÈre Jacques Duchsrme, lors d'un voysoe d'sgrément en 1982. Transmis avec d'aukes documents, il avait été classé et oublié;je ne l'ai retrouvé que l'an dernier..t'acte, donl r'ai copie, se lit comm6 suit: " le 23 octobre '1643, Pierre Le Roy, fils de Charles et Janne Bourer a 4ja été baptisé pâr moisoussigné vicai16 d6 St-Michêl le Clou, parrain et marrsinê Pi€rre de Ligne (?) et Catherine Coud.." ,!L Je possède évidemment une copie de l'acle, que j'ai trunsmiso à M Bertrand Desjardins, du PRDH de l'U. de M Celui-9i à confirmé la déôouvêde dâns unê lettre dqtée du 30 avnrl 1096. CATHERINE PILLARD, Fille du Roi, Catherine ârdvâ à l/lontréâl à la fin de 1663, puisqu'elle est confirmée en mai 1664 Elle épouse Pierre Chârron le '19 octobre 1665 Les registres la nomme Pilliat, Plat, Plalte, Pleau, Pillard etc. Selon les déclamtions tout âu long de sa vie, elle serait née entre 1649 et 1654, et serait fille de Pierrc et lüârcuerite l\roulinet, de le pâroisse Notre-Dame de Cogne de La Rochelle lJn simple échange de lettres entre Milles Charron, âlors président de I'Associalion des Chârron et Ducharme, et l'lnstilut francophone de généalogie et d'hioire de Lâ Rochelle, â1lait âmener lâ réception d'une copie de cet acte de naissance ll a été localisé non pas dans les registres de Notre-Dame-de-Cogne, mais dans ceux d'une paroisse voisine, Ste N4arguerite, et plus précisément dans le registre des baplêmes pour Pierre Ducherme,04:08 97-10-21 -0, Rê: Nouveau épertoire lâ période du 24 septembre 1639 au 12 septembre 1654 En effet, l'élise de Notrc-Damê de Cognê détrxite par le feu lors des guerres de religion n'avail pas été reconstruite au moment du baptême de Catherine L acte se lit comme suit: " lvlars '1646 Cetherine Pillard. le 30 mars tut bêptisé Calherine, lille de Pierre et lüarguerile (..) ses père et mère le pârrain le merraine Antoinette " Ces acte a été aussi soumis à M. Desjardins Celui-çi, tout en le reconnaissant comme l'acte de baptême de l'épousê dê Pierre Charon, note la différence avec les dates qu on peut déduire des déclamtions de Catherine tout au long de sa vie ('1646 au lieu de '1649 à 1654). ll considèrc néanmorns cette date comme plus vraisemblable que celles âdmises à cejour- Néê en 1646, Catherine serait anivée au Québec à 18 ans, et non à 12 ou 15 âns. > Veuillez aussi m'indiquez si vous possédez une copie de l'acte original Oui, tel que dit plus haut. A'noterque ces informations n'ont pas été publiées à ce jour J'ai transmis un texte à ce sujet à la S.G.C. F en fin de 1996, j'ai eu un accusé de éception en mars 1997,mâis le délai de publication est actuellement de deux ans à ce qu'on m'a dit alors. http://www.migrations.fr/700fillesduroy_4.htm : PILLAT / Pillard Catherine Fille de Pierre et Marguerite Moulinet de la paroisse Notre-Dame-de-Cogne de la ville de La Rochelle; 17000; Charente-Maritime; Poitou-Charentes; (Aunis) Baptisée 30 mars 1646 paroisse Sainte-Marguerite, La Rochelle, Charente-Maritime Voir acte de baptême Inhumée le 23 juillet 1717, à Notre-Dame de Montréal Âgée de 70 ans environ Acte de sépulture Confirmée en mai 1664 Elle a 18 ans au recensement de 1667 à Montréal , elle est à Longueuil en 1681. 2 mariages: 1) CHARRON Pierre Pierre Charron n'a été connu que sous ce nom. Quoi qu'en dise René Jetté dans son fameux dictionnaire, il n'a jamais, en aucune circonstance, utilisé le surnom dit Ducharme, initié par l'un de ses 4 fils, François qui l'a légué à ses descendants. Fils de Pierre maître mégissier et Judith Martin de la paroisse St-Martin, de la ville de Meaux, 77100; Seine-et-Marne; Île-de-France Il est né le 21 octobre 1635 à Meaux, et il a été baptisé le 28 du même mois au temple protestant de Nanteuil-les-Meaux. En arrivant en Nouvelle-France, il n'a pas fait état de de son origine protestante. Comme ses ancêtres, il vivait dans le quartier du Grand Marché, et non dans la paroisse St-Martin, comme il l'a déclaré à son mariage en 1665. Confirmé en mai 1664 à Montréal Pierre décède le 25/12/1700 à l'hôpital de Montréal (âgé de 60 ans) habitant de Longueuil Mariage le 19/10/1665 à Montréal acte de mariage Ménage établi à Longueuil Couple avec 12 enfants. 1-Catherine : sage-femme b :23/09/1666 Montréal ; M : avec François CHAGNON 1679 D : 05/06/1746 Varennes 2)-Marie Charlotte : née ca 1668 Montréal ; Mariage avec Claude Louis LEMAIRE 30/11/1686 Boucherville 20/12/1720 ; D : 20/12/1720 Contrecoeur 3)-Marie-Anne : née le 18/10/1670 et baptisée le 20 Sorel ; Mariage avec Pierre GOGUET18/04/1686 Boucherville D :05/10/1745 Montréal 4)-Pierre : né ca1672 ; Mariage avec M-Madeleine ROBIN 04/11/1697 Boucherville ; D : 02 /06/1737, Longueuil 5)-M-Thérèse : née et baptisée 26/02/1674, Sorel, ; mariage avec Jacques HUBERT 21/02/1689 Boucherville 6)-Nicolas : né le 16/03/1676 et baptisé le 09/04/1676 Boucherville ; mariage avec Marie VIAU dit L'Espérance 15/01/1703 Longueuil ; Décès 08 /09/1757 et sépulture le 9 à Longueuil 7)-François :(Dit Ducharme) :Né le 2 et baptisé le 05/06/1678 Sorel ; mariage avec Marguerite Piette 30/01/1701 Sorel ; D : 29/03/1746, Sorel 8)-Catherine, Née vers 1680; mariée à ADAM Guillaume dit Laramée 24/02/1701 Longueuil ; D : le 09/07/1739 Longueuil. 9)-Hélène : née le 2 et baptisée le 03 /11/1682, Longueuil : mariage avec Charles EDELIN 07/02/1701 Longueuil D : le 7 et sépulture le 08/03/1738, Longueuil 10)-Jean-Baptiste : né le 17 et baptisé le 18/10/1684, Longueuil ; mariage avec M-Madeleine GUERTIN en 1711 ; D : 14/09/1741 Lanoraie 11)-Louise : née le 4 et baptisée le 07/09/1686, Longueuil ; mariage avec Michel COLLIN 19/02/1703 Longueuil ; S: 13/12/1741 Saint-Sulpice 12)-Marie Jeanne : née le 7 et baptisée le 10/05/1688 Boucherville ; mariage avec François BONNEVILLEavant 1707 ; D : 21/11/1719 Saint-Sulpice Enfants : PRDH Au recensement de 1667, le couple est à l' Ile de Montréal, Pierre est dit avoir 31ans; Catherine, 18ans; ils ont 1 enfant âgé de 1ans; 4arpents de terre en valeur. Au recensement de 1681, le couple est dans la seigneurie de Longueuil, Pierre a 42ans?; Catherine Pillat, sa femme, 30ans; Le couple a alors 6 enfants: Catherine, 15ans; Marie, 13ans; Pierre, 10ans; Thérèse, 8ans; Nicolas, 3ans; Catherine, 1an; ils possèdent 1 vache et 2 arpents de terre en valeur. 2) BRISSON Sébastien dit Laroche Fils de Sébastien marchand et Jeanne Lacoste de la paroisse St-Seurin, de la ville de Bordeaux, 33000; Gironde; Aquitaine. (Guyenne) Né ca 1655 Sépulture 30/08/1747 à Montréal Il a 22 ans en 1690, cité comme marchand en 1708 ; engagé-Ouest le 26/05/1720. Mariage le 13/01/1709 à Montréal Acte de mariage Sans enfant Sébastien Brisson, s'est remarié en 1722, à Marie-Marguerite Rivière, fille de Pierre Rivière et Marie-Anne Mousseau (veuve de Jacques Beaudoin) mariage le 02/06/1722 à Repentigny par contrat du 31/05/1722 1 enfant : Mathurin né le 04/10/1723 à Repentigny) Sources: Pierre Ducharme, que nous remercions.; http://www.genealogie.org/famille/charronducharme/ ; Jetté, René : Dictionnaire généalogique des familles du Québec (1983), page 2. ; PRDH ; Pierre Dubois ; FDR Yves Landry édition 2013, page 190 ; Pistard : Jocelyne Nicol-Quillivic ; | Plat Pillard, 1ère arrivante. Fille du roy Marie Catherine 30 juin 1663 sur le navire Le Phoenix de Flessingue (I4875)
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