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1 | http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : BOUDROT, Michel, came from France with his wife Michelle Aucoin, according to four depositions, two made by his great-grandsons, Félix Boudrot (Doc. in., Vol. III, p. 39) and Pierre Boudrot (ibid., p. 120), one made by a great-great-grandson, also named Félix Boudrot (ibid., p. 36), and another made by Pierre LeBlanc, husband of his great-great-granddaughter Françoise Trahan (ibid., p. 41). | Aucoin, 1ère arrivante Michelle Vers 1640 à Port-Royal (I1333)
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2 | https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=243464 : RAINVILLE (DE), Paul 243464 Statut Marié Date de naissance Vers 1619 Lieu d'origine Touques (St-Thomas) (Calvados) 14699 Lieu actuel Touques Parents Jean DE RAINVILLE et Jeanne Brechet Première mention au pays 1652 Occupation à l'arrivée Migrant Date de mariage Vers 1637 Lieu du mariage Touques (St-Thomas) Conjoint Rauline Poette Décès ou inhumation Beauport, 10-12-1686 Remarques Six enfants sont baptisés à Touques (St-Thomas) : Jean (pionnier), vers 1639 (28 ans, 1667, fermier) ; Marie (pionnière), vers 1644 (22 ans, 1666) ; Marthe-1, le 20-02-1646, d. en France ; Marthe-2 (pionnière), le 01-03-1647 ; Charles-1, le 21-09-1649, d. en France et Charles-2 (pionnier), le 21-01-1652. Identification* DGFQ, p. 962 Chercheur(s) Archange Godbout ; Mona-Andrée Rainville Référence* OFC, p. 102 Date de modification 2014-10-26 | Derainville, Paul (I4054)
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3 | https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=243626 : ROSÉE, Marguerite 243626 Statut Mariée Date de baptême 11-11-1615 Lieu d'origine Jauzé (St-Barthélémy) (Sarthe) 72148 Lieu actuel Jauzé Parents Jean ROSÉE et Catherine Lebarbier Première mention au pays 1653 Occupation à l'arrivée Migrante arrivée avec son époux Date de mariage Vers 1639 Lieu du mariage Jauzé (St-Barthélémy) Conjoint Pierre Gasnier Date de décès Après le 16-07-1684 Remarques Marguerite Rosée et Rozée (1645) dans les actes suivants. Quatre enfants sont baptisés à St-Cosme-en-Vairais (St-Cosme) : Jacques et Jean, le 03-03-1640 jumeaux ; Louis (pionnier), le 28-01-1643 et Pierre (pionnier), le 24-02-1645. Son fils Nicolas est baptisé le 29-01-1651 à Courcival (St-Brice) (Sarthe, 72102). Une plaque commémorative est apposée le 26-06-1995 à l'église de St-Cosme-en-Vairais. Identification* DGFQ, p. 448 Chercheur(s) Archange Godbout ; Lise Dandonneau Référence* OEDS, 1999, p. 9 Copie d'acte AD-72 numérisé Date de modification 2017-02-28 https://www.naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/autrespassagers/autrespassagersRogRow.html#retourautrespassagersRogRow : ROSÉE ou ROUZÉE, Marguerite (Jean et Catherine BARBIER), de St-Jacques de Jauzé, ar. Mamers, év. Le Mans, Maine (Sarthe); selon Trudel, 38 ans du Maine, arrivée en 1653 avec son mari et leurs fils : Louis, Pierre et Nicolas; 51 ans au rec.66, 53 ans au rec. 67, 60 ans au rec. 81 à Montréal; ne sait pas signer; 1er m vers 1639 St-Côme-de-Vair ou Jauzé avec Pierre GAGNÉ; famille établie à Beaupré; 6 enfants; 2e m 17-06-1657 Montréal (ct 03 Saint-Père) avec Guillaume ÉTIENNE; famille établie à Montréal; aucun enfant. (CI : 274; DGFQ : 408, 448) - 1653 Québec. | Rosée, 1ère arrivante. Navire inconnu. Marguerite Vers 1653 (I4110)
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4 | https://www.geni.com/people/Nicolas-Bayol/6000000004279837170 Nicolas Bayol (Bayon) Also Known As: "Nicolas Bayou", "Bayolle", "Bajolet", "Barillost", "Barriault", "Barillot", "Bayou" Birthdate: circa 1600 Birthplace: Dijon, Côte-d'Or, Burgundy, France Death: 1684 (80-88) Port-Royal, Acadie Famille proche : Fils de Antoine Bajolet ou Bayole et Jeanne Chantier Époux de Barbe Petitpas Père de Rose Comeau; Nicolas Bériault et One Of Ten Barrilleaux Frère de Marie-Barbé Bayol Occupation: Seaman onboard the "Saint Jehan" ship Managed by: James Fred Patin, Jr. Last Updated: 31 juillet 2018 http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=390010 : Nicolas Bayol ID : I390010 Male Parents Non disponible Mariages 1. Bajolet, Barbe I390011 Female ID : F173461 Type : Mariés Enfants : 1 Marriage Enfants Bayol, Rose (Bayon) I7852 Female vers 1631 - avant 1678 | Bayol (Bayon), Nicolas (I3357)
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5 | Je n'ai pas trouvé son acte de baptême. Cependant, l'acte de mariage prouve la filiation avec François Gloutnay et Esther Cormier. Se pourrait-il que Adéline Desjarlais soit en fait Julie, née le 7 jan 1937 à St-Ours? http://dictionnaire.shbmsh.org/sh-dict-d1.html#A : Desjarlais, Adéline (1836-1898). À Saint-Hilaire en 1855 et à Saint-Marc-sur-Richelieu en 1881 et en 1891. - Née à Saint-Ours (Richelieu). - Fille de Xavier Desjarlais et d'Esther Cormier. - Elle a épousé Michel Gloutnay à Saint-Ours (Richelieu) en 1854. - Décédée et inhumée à Saint-Marc-sur-Richelieu. (34) (66) (110) Acte de décès trouvé selon les informations précédentes. http://www.shcournoyer.com/La%20Corporation%20Municipale/Patrimoine%20rural/fiches-St-Marc-1860-1910.pdf : Obligations (hypothèque) enregistrées et références : 1885 B32-17991 : testament de Michel Gloutnay, meunier à Saint-Marc, sa femme Adeline Desjarlais est légatrice universelle en usufruit et leurs enfants, légataire à leur majorité. 1893 B33-19301 : vente par veuve de Michel Gloutnay, Adeline Desjarlais à Octave Chicoine des lots 3-4-6 et 15 avec moulin à farine et à scie pour la somme de 3000 $ payables en versement de 200 $ durant 6 ans et de 400 $ en 1893 à 1894 | Desjarlais, Adéline (I40)
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6 | Métier: Canonnier du roi | Rollet, Jean (I4552)
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7 | http://www.fichierorigine.com/recherche?numero=241126 : DARDENNE / DARDAINE, Pierre 241126 Statut Marié Date de baptême 16-01-1609 Lieu d'origine Villeneuve-la-Comtesse (Notre-Dame) (Charente-Maritime) 17474 Parents François DARDENNE et Marie Petit Métier du père Laboureur Première mention au pays 1659 Occupation à l'arrivée Voiturier Date de mariage 22-06-1637 Lieu du mariage La Rochelle (Notre-Dame, chapelle Ste-Marguerite) (Charente-Maritime, 17300) Conjoint Gilette Chaigne Décès ou inhumation Pointe-aux-Trembles (Montréal), 26-11-1687 Remarques Le couple passe un cm du 08-06-1637 greffe Juppin. Cinq enfants: Marie (pionnière), b. 11-04-1638 à LR (St-Jean-du-Pérot), m. La Rochelle (Notre-Dame, chapelle Ste-Marguerite) le 29-10-1656 avec Jacques Beauchamp (Michel et Marie Roullet); René (pionnier), b. 19-01-1640 à LR (St-Jean-du-Pérot); Jeanne, née vers 1643 à LR, cm du 29-01-1663 greffe Jacques Savin à La Rochelle, avec Jean Mondin (Jean, laboureur et Louise Resneau), tonnelier; Louise, d/s 21-09-1646 à LR (St-Jean-du-Pérot); et Pierre (pionnier), b. 13-03-1650 à LR (Notre-Dame). Son épouse Gilette Chaigne (Pierre et Louise Chenu) est décédée avant 1663. Deux frères sont baptisés à Villeneuve-la-Comtesse (Notre-Dame): François Dardenne, 28-11-1619 et Jehan Dardenne, 06-12-1622. Identification* DGFQ, p. 307 ; DGFC, vol. 1, p. 158 Chercheur(s) Archange Godbout ; Jean-François Paboul ; Lise Dandonneau Référence* AG-LAR, p. 68 ; DGO, tome 1, p. 27 Date de modification 2018-02-09 | Dardenne, 1er arrivant. Pierrre Vers 1659. Navire inconnu. (I3368)
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8 | https://genealogie.quebec/info/index.php?no=13095 : Marie Pichon 1, 2, 3 ( - 1661) # 13095 (Ajouter une note) Elle est aussi connue sous le nom de Marie Plichon 4. Elle naît à Paris, Ile-de-France, France 5. Elle épouse Philippe Gaultier autour de 1615 à Paris, Seine, Ile-de-France 4, 6, 7. Elle épouse Charles Sevestre fils de Marguerite Petitpas et Étienne Charles Sevestre en 1627 à Saint-Étienne-du-Mont, Paris 2, 8. Elle décède le 3 mai 1661 à Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada 10. Elle est inhumée le 4 mai 1661 à Notre-Dame, Québec 1. Liste de ses enfants connus: + 1. Guillaume Gauthier de La Chesnaye ( - 1657) 11 (de Philippe Gaultier) + 2. Catherine Gauthier de La Chesnaye (1625 - ) 11 (de Philippe Gaultier) + 3. Charles Gautier de Boisverdun (1627 - 1703) 11 (de Philippe Gaultier) + 4. Denise Sevestre (1632 - 1700) 12 (de Charles Sevestre) + 5. Marie-Marguerite Sevestre (1635 - 1720) 7 (de Charles Sevestre) 6. Sieur Ignace Sevestre dit Desrochers (1636 - 1661) 12 (de Charles Sevestre) + 7. Marie-Madeleine Sevestre (1639 - 1706) 12 (de Charles Sevestre) 8. Jeanne Sevestre (1641 - 1648) 12 (de Charles Sevestre) + 9. Marie-Christine Sevestre (1644 - 1670) 12, 3 (de Charles Sevestre) 10. Charles Sevestre (1646 - 1661) 12 (de Charles Sevestre) Elle est présente lors de la signature du contrat de mariage de Georges Cadoret et Anne Joppy par devant Guillaume Couture le 26 novembre 1660 9. https://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Pichon_Marie&id=72234 : Biographie Pichon Marie Marie Pichon est la fille d’un maître tourneur en bois Philippe Pichon et la petite fille du maître orfèvre flamand Isaac de Vimont qui a tenu boutique à Paris et habitait rue de la Mégisserie, face au Pont Neuf près du Louvres. Elle a épousé deux imprimeurs. Tout d’abord Philippe Gauthier . Devenue veuve, elle achève l’impression d’un livre en 1632. Elle arrive en Nouvelle-France en compagnie de son second mari Charles Sevestre. source: http://histoiresdancetres.com/vaillancourt/imprimeurs-a-paris/ | Pichon, Marie (I4346)
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9 | https://genealogie.quebec/info/index.php?no=13316 : Philippe Gaultier 1 ( - 1627) # 13316 (Ajouter une note) Il naît à Saint-Étienne-du-Mont, Paris, Ile de France, France 2. Il épouse Marie Pichon autour de 1615 à Paris, Seine, Ile-de-France, France 3, 4, 5. Il décède avant 1627 5. Liste de ses enfants connus: + 1. Guillaume Gauthier de La Chesnaye ( - 1657) 2 (de Marie Pichon) + 2. Catherine Gauthier de La Chesnaye (1625 - ) 2 (de Marie Pichon) + 3. Charles Gautier de Boisverdun (1627 - 1703) 2 (de Marie Pichon) | Gauthier, Philippe (I4345)
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10 | https://genealogie.quebec/info/index.php?no=292177 : Joseph Duquet 1 # 292177 (Ajouter une note) Il épouse Jeanne Barbie à La Rochelle, Charente-Maritime, France 1. Liste de ses enfants connus: + 1. Denis Duquet (1612 - 1675) 1 (de Jeanne Barbie) | Duquet, Joseph (I4347)
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11 | https://genealogie.quebec/info/index.php?no=292178 : Jeanne Barbie 1 # 292178 (Ajouter une note) Elle épouse Joseph Duquet à La Rochelle, Charente-Maritime, France 1. Liste de ses enfants connus: + 1. Denis Duquet (1612 - 1675) 1 (de Joseph Duquet) | Barbie, Jeanne (I4348)
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12 | https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=350070: Jacqueline Pajot, soeur du notaire Guillaume Pajot, avait épousé en premières noces Louis De Cueilly. | Pageot, Jacqueline (I4550)
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13 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Chaigne_Gillette&pid=12237: ID No: 12237 Prénom: Gillette Nom: Chaigne Sexe: F Occupation: Naissance: 1617 vers Paroisse/ville: Dompierre-sur-Mer, Aunis Pays: France Décès: 29 janvier 1663 - âge: 46 Paroisse/ville: La Rochelle Pays: France Information, autres enfants, notes, etc. Elle n'est pas venue au Canada Elle serait decedee avant le 29/1/1663, La Rochelle | Chaigne, Gilette (I3369)
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14 | https://www.wikitree.com/wiki/Bourgeois-32 : Charles Bourgeois Born about 1673 in Port-Royal, Acadie, Nouvelle-Francemap [uncertain] ANCESTORS ancestors Son of Charles Bourgeois and Anne Dugas Brother of Marie Bourgeois, Claude Bourgeois, Anne Bourgeois, Jean Mignot [half], Cécile (Mignault) Mignot [half], Alexis (Mignaux) Mignot [half], Jacques Mignot [half], Louis Joseph (Migneaux) Migneault [half] and Pierre Mignot [half] Husband of Marie Blanchard — married about 1692 in Port Royal, Acadie, Nouvelle-Francemap DESCENDANTS descendants Father of Marie Jeanne Bourgeois, Charles Bourgeois, Jeanne Bourgeois, Pierre Bourgeois, Honoré Bourgeois, Michel Bourgeois, Jean Baptiste Bourgeois, Jean Jacques Bourgeois, Madeleine Bourgeois and Anne Bourgeois Died before 6 May 1748 before about age 75 in Beaubassin, Acadie, Colony of Nova Scotiamap Profile managers: Acadians Project WikiTree private message [send private message], Lisa Trudeau private message [send private message], and Roland Arsenault private message [send private message] Profile last modified 27 Jun 2022 | Created 23 Mar 2011 This page has been accessed 3,633 times. The Acadian flag. Charles Bourgeois is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA Biography NOTICE: Two brothers Claude Bourgeois & Charles Bourgeois married two sisters Anne Blanchard & Marie Blanchard. NOTICE: this profile is protected by the Acadian Project because of possible duplication, confusion with his brother and merging. Please contact the Acadian Project before making any substantive changes. Thanks for helping make WikiTree the best site for accurate information. Charles Bourgeois was born about 1673 in Port Royal, Acadie. His parents were Charles Bourgeois and Anne Dugas. [1] Charles was listed in the 1686 census at Beaubassin [2] at age 14 with his mother, his stepfather and his siblings. [3] He married Marie Blanchard around 1692.[1] Charles and Marie Blanchard had 10 known children: Marie-Jeanne Bourgeois Charles Bourgeois Jeanne Bourgeois Pierre Bourgeois Honoré Bourgeois Michel Bourgeois Jean Baptiste Bourgeois Jean Jacques Bourgeois Madeleine Bourgeois Anne Bourgeois Charles and Marie raised their children in Beaubassin. In 1693, Charles age 22, and Marie, 17, had one daughter Marie, 4 months. They owned 1 gun, but no land or animals were listed. Charles was also counted for that same year in his father-in-law's household, in Port-Royal.[4] The 1698 census shows that the Bourgeois family was doing well in Beaubassin. They had 3 children and owned 20 head of cattle, 8 sheep, 14 hogs, 6 1/2 arpents of land, and 1 gun. They had one servant in the household.[5] Charles and his family was counted again in the censuses of 1700[6], 1701[7], 1703[8], 1707[9] and 1714[10]. He and his wife Marie Blanchard were noted deceased when their daughter Marie Jeanne married on May 06, 1748 in Beaubassin.[11] Sources ? 1.0 1.1 Stephen A. White, Patrice Gallant, Hector-J. Hébert, Dictionnaire Généalogique des Familles Acadiennes (Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999) p. 254, 257-259 ? White, Stephen A. Dictionnaire généalogique des familles acadiennes, "Ajouts et corrections" Ajouts et corrections; University of Moncton, Centre d'études acadiennes; Online p 254 (sept 2003) Famille de Charles Bourgeois (2) Les trois enfants, Charles, Claude et Anne, étaient à Beaubassin lors du recensement de 1686, plutôt qu'à Port-Royal. [Contribution du professeur Jacques Vanderlinden, Université de Moncton] ? Tim Hebert; Transcription of the 1686 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1686 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 15-60. at Beaubassin: Jean-Aubin MIGNAULT 36, Anne DUGAS 34; children by her first marriage to Charles BOURGEOIS: Charles BOURGEOIS 14, Claude 12, Anne 7; (by her second marriage:) Jean MIGNAULT 6, Cecile 21, Alexis 3 months; 2 guns, 8 arpents, 20 cattle, 4 sheep, 14 hogs. ? Tim Hebert; Transcription of the 1693 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1693 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 62-108 *at Beaubassin : Charles BOURGEOIS 22, Marie BLANCHARD 17, Marie 4 months; 1 gun *at Port-Royal : Guillaume BLANCHARD 42, Agate GOUJON 37, Rene 16, Anthoine 14, Jeanne 11, Anne 9, Jean 6, Elisabeth 4, Guillaume 3, Madeleine 1, Charles BOURGEOIS (son-in-law) 20, Marie BLANCHARD (his wife) 19, Jeanne 1(sic); 30 cattle 40 sheep, 15 pigs, 30 arpents, 3 guns ? Tim Hebert; Transcription of the 1698 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie1698 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 110-150 Charles BOURGEOIS 25; Marie BLANCHARD (wife) 18; Jeanne 5; Charles 3; Marie 2; 20 cattle, 8 sheep, 14 hogs, 6 1/2 arpents, 1 gun, 1 servant. ? Tim Hebert; Transcription of the 1700 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1700 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 151-173. Charles BOURGEOIS 27; Marie BLANCHARD (wife) 18; Charles 5; Pierre 1; Jeanne 7; Marie 4; 20 cattle, 18 sheep, 12 hogs, 9 arpents, 2 guns. ? Tim Hebert; Transcription of the 1701 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1701 Census Transcription. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 174-211. https://www.wikitree.com/wiki/Bourgeois-32 : Charles BOURGEOIS, his wife, 2 boys, 2 girls, 6 arpents, 20 cattle, 22 sheep, 10 hogs. 1 gun. ? Tim Hebert; Transcription of the 1703 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1703 Census Transcription. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 212-220. Charles BOURGEOIS, his wife, 3 boys, 2 girls, 1 arms bearer. ? Tim Hebert; Transcription of the 1707 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1707 Census Transcription. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 221-237. Charles BOURGEOIS and Marie BLANCHARD, 5 boys less than 14, 2 girls less than 12; 8 arpents, 15 cattle, 20 sheep, 12 hogs. ? Tim Hebert; Transcription of the 1714 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1714 Census Transcription. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 239-261. Charles BOURGEOIS and Marie BLANCHARD: Jeanne, Charles, Pierre, Honore, Michel, Jean-Baptiste, Jacques, Madeleine, Anne. ? Acadian Church Records, vol. II Author: Milton P. and Norma Gaudet Rieder; Metairie, LA: Authors, 1976 Note: Covers year 1712-1748. Also available as microfiche #6087649. Includes transcripts of Beaubassin, Acadia church registers, now at the Archives of the Mayor of La Rochelle, Charente Maritime, France. p. 129 See also: Karen Theriot Reader Charles Bourgeois at Geneanet. "Pedigree Resource File," database, FamilySearch https://familysearch.org/ark:/61903/2:2:SRXQ-1BX : accessed 2014-12-16), entry for Charles /Bourgeois/. | Bourgeois, Charles (I6138)
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15 | Ne pas confondre avec Barbe Bajolet (RIN 3358), épouse de Nicolas Bayol http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=7814 : Barbe Bajolet ID : I7814 Female Naissance 22 mai 1608 France Baptême 22 mai 1608 France Parents 1. Bajolet, Antoine I7815 Male Beaudinet, Jeanne I7816 Female Type : Mariés Mariages 1. Pesseley, Isaac (Pesselet, Pesselin) (1618 - 1645) I7813 Male ID : F4569 Type : Mariés Enfants : 1 Marriage 1641 LaRochelle, France Enfants Pesselet, Marie (Pessely) I7812 Female vers 1645 - 26 décembre 1707 2. Lefebvre, Martin I7817 Male ID : F4570 Type : Mariés Enfants : 0 Marriage 16 janvier 1647 La Rochelle, Charente Maritime,Aunis,F 3. Corporon, Savinien I7818 Male ID : F4571 Type : Mariés Enfants : 0 Marriage 16 janvier 1647 La Rochelle, Charente Maritime,Aunis,F https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Pesseley_Isaac&pid=83815 ID No: 83816 Prénom: Marie-Barbe Nom: Bajolet Sexe: F Occupation: Naissance: 1608 vers Paroisse/ville: Pays: France Décès: 1683 - âge: 75 Paroisse/ville: Acadie Pays: Canada Information, autres enfants, notes, etc. (note: naissance le 22 mai 1608 à Piney, Troyes qu'on trouve parfois n'existe pas dans les registres) Autres mariages de: Marie-Barbe Bajolet Savinien DeCourpon La Rochelle (Saint-Jean) (Charente-Marit Martin Lefebvre La Rochelle (Saint-Barthélemy) (Charente https://www.geni.com/people/Marie-Barb%C3%A9-Bayol/6000000002627549455: Marie-Barbe Bajol / Bajolet Also Known As: "Marie-Barbé Bajol", "Marie-Barbé Bajolet", "Barbe 'dit Bayol'", "Bajolet", "Bayon" Birthdate: 22 Mai 1608 (70) Birthplace: Piney, Aube, Champagne-Ardenne, France Death: 04 Août 1678 (70) Verrieres, Ardennes, Champagne-Ardenne, France Famille proche : Fille de Antoine Bajolet ou Bayole et Jeanne Beaudinet Épouse de Isaac Pesselet; Martin Lefebvre de Montespy et Savinien De Courpon Mère de Barbe Batchelder; Etienne Pesseley; Marguerite Pesseley; Perrette Pesseley; Jeanne Pesseley et 5 autres Sœur de Nicolas Bayol Demi-sœur de Nicolas Bayol Managed by: James Fred Patin, Jr. Last Updated: 24 mai 2018 https://www.findagrave.com/memorial/140113833/barbe-lefebvre#source: Barbe Bajolet Lefebvre BIRTH 22 May 1608 Piney, Departement de l'Aube, Champagne-Ardenne, France DEATH 1683 (aged 74–75) Port Royal, Annapolis County, Nova Scotia, Canada BURIAL Garrison Graveyard Annapolis Royal, Annapolis County, Nova Scotia, Canada MEMORIAL ID 140113833 · View Source https://www.wikitree.com/wiki/Bajolet-1: Barbe Bajolet was baptised on June 22 1608 at Piney, Champagne, France. [2] She was the daughter of Antoine Bajolet and Jeanne Baudinet.[1] Around 1629 she married Isaac Pesseley, in France. Between about 1630 and 1645, the couple had eight children: Etienne, Marguerite, Perrette, Jeanne, Charlotte, Henriette, Gilles, and Marie. Etienne, Marguerite and Perrette were baptised at Piney (Champagne) France.[1] Barbe married again at St-Barthélemy de La Rochelle, France on January 10 1647. Her spouse was Martin Lefebvre de Montespy. They had two children, both baptised at St-Jean-de-La-Rochelle: Louise (b. 29 Oct 1647) and Marie-Anne (born. 10 Oct 1649; baptised 18 april 1650).[1] Her third marriage took place on October 17 1654, at St-Jean de La Rochelle, Aunis, France. Her husband was Savinien de Courpon, widower of Olive de Laubaure. No children were recorded from this marriage[1] DNA. The Mothers of Acadia Maternal DNA project is conducting ongoing research to verify their origins. In 2010, Stephen White reported Barbe Bajolet had an X2b haplogroup. I don't know the details re how many of her descendants were tested to support this report. Lucie Leblanc Constantino reported one result here, interpreting the result as of European origin. Ongoing test results are also reported [ here]. As of July 2016, 7 descendants have reported a haplogroup X, of which three have a full sequence test, refining the haplogroup to X2b7. Most of the time, X haplogroup indicates European origins. Acadian haplogroup X belongs in Native American haplogroup X when mutations 8913G, 12397G, and 14502C are present. To date, these mutations are not found in the reported results. What month was Barbe Bajolet baptized? Every reference cited indicates that she was baptized on May 22, 1608. However, examination of the actual parish register shows that the baptism took place in June. http://s618661786.websitehome.co.uk/pitretrail/myline/paternal/IPesseley.htm: Notes for Barbe Bajolet: - Barbe Bajolet’s baptism is recorded: “was baptized Barbe, daughter of Antoine Baiole first muleteer to the Queen de Medecis and Jehanne his wife. Godfather Anthoine Contant. Godmothers Barbe, wife of Pierre Paisseley, and Jeanne widow of Jehan Paisseley” - Second husband Martin Lefebvre was born at St. Symphorien, Reims, France, and died 15 November 1651 at St. Jean du Perrot, La Rochelle, France. They were married 10 January 1647 at St. Barthelemy de La Rochelle, Aunis, France. He was Sieur de Montespy and Secretaire Ordinaire of the Money Chamber of King Louis XIV. - Third husband Savinien de Courpon was born (unknown), and died Bef. 1661. They were married 17 October 1654 at St. Jean de La Rochelle, Aunis, France. Admiral Savinien de Courpon was in the Caribbean between 1641 and 1648 where he was taken prisoner by the Turks. France arranged his release in exchange for a famous Corsaire who was detained in Marseilles. His wife at the time was the ex-Baronness Savigny. When she went to meet her husband upon his release on the Island of Saint-Martin, she found him in the company of another woman. The jealous wife stabbed him in the neck with a bayonet when he was asleep in a drunken stupor. De Courpon survived the attack and condemned her to be executed. Barbe Bajolet became the second wife of this widower of Nantes who was Captain of a vessel. (He was a retired Admiral of a fleet named 'Des 100 Associés' who transported supplies & goods between France and Acadia). With her third husband and the children of her two preceding marriages, Barbe Bajolet returned to Acadia. Her family settled on a fief which was conceded to them by Charles de la Tour. A few years later, widowed again, thrice-widowed Barbe asked a vessel from Boston to give passage for her and her family to Port-Royal. It would be soon after that her daughter Marie Pesseley would marry Jean Pitre. | Bajolet, 1ère arrivante Marie Barbe (I1137)
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16 | Ne pas confondre avec Marie-Barbe Bajolet (RIN: 1137) épouse de Isaac Pesseley | Bajolet (PetitPas), 1ère arrivante. Barbe (I3358)
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17 | Parrain: François Lahaise Marraine: Philomène Desjarlais | Gloutnay, Albina (I28)
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18 | Veuve de Jacques Guyet et en 1663 elle est nommée Étiennette Boullay. Une plaque commémorative est apposée dans l'église Notre-Dame à St-Cosme-en-Varais. | Boulay ou Boullay, Antoinette ou Étiennette (I783)
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19 | 115059 | Charon (Charron), Jeanne (I5527)
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20 | 1er arrivant. Première mention au pays: 1682 PRDH: 4866 http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Bigras_Francois&pid=39849: BIGRAS / BIGREAU / FAUVEL, François 240379 Statut Marié Date de baptême 08-09-1665 Lieu d'origine La Rochelle (St-Nicolas) (Charente-Maritime) 17300 Parents Mathurin Bigras ou Bigreau et Catherine Parenteau Métier du père Portefaix Date de mariage des parents 19-09-1660 Lieu de mariage des parents La Rochelle (St-Nicolas) (17300) Première mention au pays 1682 Occupation à l'arrivée Engagé de Louis Moreau Date de mariage 31-08-1693 Lieu du mariage Montréal (Notre-Dame) Conjoint Marie Brunet Décès ou inhumation Montréal, 26-07-1731 Remarques Sa mère Catherine Parenteau, b. le 18-12-1633 à La Rochelle (Ste-Marguerite). Son père Mathurin Bigras est décédé à 45 ans, le 03 et inhumé le 04-03-1678 à La Rochelle (St-Nicolas). Frères et soeurs baptisés à La Rochelle (St-Nicolas) : Catherine-1, née en 1661 et inhumée le 17-09-1661 ; Catherine-2, b. le 16-09-1662 ; Marguerite, b. le 30-09-1663 ; Pierre, né en 1667 et inhumé le 19-08-1671 ; François(e), b. le 08-09-1665 ; Mathurin, b. le 14-07-1669 et inhumé le 14-04-1676 ; Marie, b. le 28-05-1671 ; Anne, née le 09-06-1673 et b. le 28-06-1673. Ses grands-parents paternels sont François Bigras, saunier et laboureur, et Jacquette Cholet, décédée à 70 ans le 12 et inhumée le 13-09-1676 à La Rochelle (ND-de-Cougnes). Ses grands-parents maternels, Antoine Parenteau et Anne Brisson, se sont mariés le 23-01-1633 à La Rochelle (St-Barthélemy). Identification* DGFQ, p. 101 Chercheur(s) Jean-François Paboul ; Archange Godbout ; Lise Dandonneau Référence* AG-LAR, p. 24 Copie d'acte AD-17 numérisé Date de modification 2010-10-04 | Bigras dit Fauvel, 1er arrivant François (I528)
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21 | 1ère communion: 1890-01-29 à l'église St-Pierre, Plattsburgh Décès: https://www.genealogiequebec.com/membership/fr/deces Morte d'insuffisance cardiaque ou d'un infarctus. | Lefebvre, Rose Anna (I9)
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22 | A marié Françoise Commeaux le 27 juillet 1712 | Boudreau, Joseph (I1303)
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23 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | Boulet, Thomas Aimé (I6844)
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24 | Arpenteur royal. | Guion (Dion), Jacques Guyon (I2575)
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25 | Baptisée sous le nom de Lina Rachel | Boulet, Linda Rachel (I6846)
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26 | Boulanger. | Gervais, Pierre (I381)
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27 | Connue aussi sous le nom de Paillard | Saillard, Catherine (I382)
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28 | Couple sans enfant. | Binaudière, Marguerite (I2581)
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29 | Courriel reçu de M. Xavier Michel: https://archives.vendee.fr/ark:/22574/1294296/v0001.simple.selectedTab=record : Marie Pasqual, mariée par contrat du 17 juin 1637 (Louis Robert, notaire à Fontenay - solennités de LEglise Catholique Apostolique et Romaine) avec François Maupetit, marchand drapier demeurant au faubourg de Fontenay, fils de défunt François Maupetit et de Catherine Airaud, présente. | Pasqual, Marie (I1078)
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30 | Cultivateur | Boulet, Joseph Anselme (I6895)
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31 | Cultivateur. | Grinier, Charles (I135)
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32 | Dans l'acte de décès, il est écrit: ±enfant imbécille | Jacques, Augustin (I834)
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33 | DCD à l'âge de 15 mois, ce qui mettrait la naissance en juillet 1942...et non pas en juillet 1840 comme Joseph né le 22 juillet 1840. S'agit-il du même enfant? | Lefebvre, Joseph Aimé (Emmé) (I100)
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34 | Décédée le lendemain du décès de sa mère, Anne Ménard. Même document de décès. | Brunet dit Belhumeur, Marie Josephe (I2038)
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35 | Deviendra le frère Didace chez les Frères mineurs récollets à Québec. http://www.associationpelletier.ca/notre-association/ces-autres-pelletier-sans/george-pelletier.html : Quelqu'un a dit : ± La sainteté consiste à bâtir une maison intérieure pour y loger Dieu . Cela s'applique parfaitement à ce religieux récollet (franciscain) qui vécut en Nouvelle-France de 1657 à 1699. Un charpentier-menuisier fort habile, en même temps qu'un vrai saint, ce frère Didace! Voilà plus de trois siècles, malgré quelques éclipses, que la dévotion populaire ne cesse d'honorer ce saint de chez-nous et en obtient des faveurs nombreuses. Pour les Franciscains et pour Mgr André-Marie Cimicella, responsable du Comité des fondateurs de l'Église canadienne, le temps est venu d'introduire formellement la cause de béatification du frère Didace Pelletier. C'est Mgr de Saint-Vallier qui présenta lui-même les premiers Actes en 1701 et 1713. À la suite d'une neuvaine faite au tombeau de ce saint à Trois-Rivières, l'évêque de Québec qui avait été guéri d'une fièvre opiniâtre : ±Nous, Jean, Evêque de Québec, attestons... qu'au dernier jour de la neuvaine... nous fûmes soulagé et guéri... C'est le témoignage que nous devons à la vérité et que nous rendons bien volontiers pour marquer, au frère Didace notre reconnaissance... Georges Pelletier, originaire d'un faubourg de Dieppe (Normandie) émigre au Canada en 1654 et s'installe sur une terre à Sainte-Anne-de-Beaupré. L'été suivant, sa femme, Catherine Vanier, vient le rejoindre. Leur premier enfant naît le 28 juillet 1657 : il se nommera Claude, avant de devenir le frère Didace. Il aura deux soeurs, Marie-Madeleine et Catherine. C'est Mgr de Laval qui donne le sacrement de confirmation à Claude et à Madeleine en 1966. ±Claude devient un jeune homme fort et robuste, élevé par des parents pauvres en vérité de biens temporels, mais riches de vertus nous dit son biographe, le père Joseph Denys, Récollet. Un contemporain grave son portrait, très ressemblant aux dires du père Denys qui a sans doute commandé ce tableau. On y voit un homme de forte carrure, l'air bon et souriant, à la chevelure frisée et touffue, présentant une main large et solide de travailleur manuel. Dans la Nouvelle-France qui vient de naître, on a le plus grand besoin de bâtisseurs : tout est à faire! ±Bien que doué de beaucoup d'esprit et de pénétration pour tous les arts, Claude apprend le métier de charpentier. En 1676, on construit une nouvelle église de pierre à Sainte-Anne-de-Beaupré: Claude, alors âgé de 18 ans, y a sans doute travaillé. A-t-il fait partie de la ±Confrérie des menuisiers de Madame Sainte Anne, fondée à Québec en 1657? Son père Georges Pelletier devient le premier marguillier de Sainte-Anne (1669) et à partir de 1671, il assume les tâches de bedeau pour une vingtaine d'années. Le bâtisseur de Dieu Âgé de 21 ans, Claude Pelletier entre chez les Frères mineurs récollets à Québec dont le couvent Notre-Dame des Anges fait partie des actuels bâtiments de l'Hôpital Général de cette ville. En 1679, Claude revêt la bure franciscaine et portera désormais le nom de frère Didace, en l'honneur d'un saint de l'Ordre, Didace d'Alcala. Le récollet Joseph Denys est chargé de fonder des chapelles et églises conventuelles à Percé, Ile Bonaventure, Terreneuve, Montréal, Québec, Trois-Rivières : pour ces entreprises hardies à l'époque, il demande l'aide du frère Didace. Il passera vingt ans avec lui, devenant son confesseur, ami, supérieur et plus tard son biographe. Il avait vite remarqué le frère Didace pour son esprit de dévouement, son humeur égale, sa grande charité et ses talents de bâtisseur. Le père Denys avait aussi reconnu la sainteté de Didace par sa fidélité à ses voeux (au travers de grandes luttes intérieures), son obéissance héroïque dans les plus petites choses, sa pauvreté extrême et ses jeûnes, son amour ardent de la Vierge Marie. Mais le père Denys trouve que le frère Didace y va une peu fort et lui enjoint de se ménager : ±...lorsque je lui présentai qu'il ne pouvait vivre longtemps en ne donnant aucune relâche à la nature, le frère Didace me priait, étant son supérieur, de le laisser faire... aimant mieux mourir dix ans plus tôt et avoir la consolation d'avoir observé notre règle que de vivre dix ans plus tard et d'avoir à se reprocher de s'être épargné... ajoutant que la religion s'était passée de lui avant qu'il y fût et qu'elle s'en passerait bien encore après sa mort! L'église de Trois-Rivières C'est en travaillant à la construction de l'église des Récollets à Trois-Rivières que le frère Didace contracte une pleurésie qui l'emportera. Il meurt paisiblement en compagnie de ses confrères et de son vieux papa, récitant lui-même la prière des agonisants. On place sa dépouille dans la crypte du couvent : ce lieu est actuellement la propriété de l'Eglise épiscopalienne. Dès son décès, la ferveur populaire le canonise! On lui attribue des guérisons, prodiges, faveurs de toutes sortes. La première enquête canonique a lieu huit mois après son décès et son image circule partout. Deux siècles plus tard, en 1894, c'est le bon frère Frédéric de Guyvelde qui donne le meilleur coup de pouce à la cause en publiant une biographie du frère Didace Pelletier. Il fait imprimer 200 000 images qui sont distribuées dans toute la province. Depuis, on continue de le prier, surtout à Sainte-Anne-de-Beaupré où il est né et dans la région trifluvienne où il est décédé. On peut voir sa statue dans une niche de la façade de la basilique de Sainte-Anne. Bien des points historiques demeurent obscurs : mais comme le dit si bien René Bacon, o.f.m. : ±La cause du frère Didace pourrait bien, après tout, avoir davantage besoin d'intercesseurs et de croyants que d'historiens savamment documentés. Souhaitons que des fouilles archéologiques sérieuses aient lieu dans un avenir rapproché afin qu'on puisse retrouver, identifier et honorer la précieuse dépouille du saint frère Didace Pelletier. Lucie Bélinge Article publié à l'origine dans la revue Notre-Dame du Cap, numéro d'octobre 1992 dans la chronique Saints et Saintes. | Pelletier, Claude (I3962)
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36 | Dispense de 3 bans de mariage. Naissance du premier enfant 3 mois plus tard. | Famille: Francois Pierre ou Francois Marie Ratier / Marie Marguerite Charpentier (F118)
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37 | Dispense du 3 au 4e degré de consanguinité. | Famille: Vital Honoré Boulet / Odile Boulet (F1328)
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38 | Elle était institutrice et a pu signer à son mariage. Parrain: Charles Verner qui a pu signer. Marraine: Suzanne Cl...(illisible). | Baret, Sophie (I32)
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39 | Elle était institutrice et a pu signer à son mariage. Parrain: Charles Verner qui a pu signer. Marraine: Suzanne Cl...(illisible). | Baret, Sophie (I166)
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40 | Enfant née 3 mois après le mariage | Ratier, Marie Françoise (I1099)
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41 | Enfant née hors mariage mais reconnue lors du mariage des parents. Index FS: 117/150 Église St-Antoine de Lavaltrie Feuillet 70 de l'année 1860: Illégitime M-Alphonsine | Perreault, Marie-Alphonsine (I78)
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42 | Engagé dans le 22e régiment pendant la guerre 1914-1918. Aurait été traumatisé et aurait obtenu sa dispense. Voir dossier militaire ici: http://genealogieroy.ca/Livres/ErnestLefebvreDossierArmee.pdf | Lefebvre, Ancien combattant 1914-1918 Ernest (I26)
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43 | Farinier. | Bonin (Bounin), Nicolas (I2646)
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44 | Fille à marier. http://www.migrations.fr/FILLE_A_MARIER/FILLEAMARIER.htm#C0 http://www.memoireduquebec.com/wiki/index.php?title=Charlot_%28Marguerite%29 : Née vers 1626 ou 1632 dans la paroisse Saint-Jean-en-Grèves de Paris (France). Arrive en Nouvelle-France vers 1647. Mère de la lignée Loisel/Charlot d'Amérique. Épouse Louis Loisel à Ville-Marie (Montréal) le 13 janvier 1648 ; de cette union sont issus Jeanne Loisel (mariée à Jean Beauchamps), Françoise Loisel (mariée à François Pilet), Joseph Loisel (marié à Jeanne Langlois) et Barbe Loisel (mariée à Pierre Roussel). Décès en 1706 (3 octobre) à Pointe-aux-Trembles (Montréal). En 1729, elle avait 322 descendants. Crédits - Dictionnaire généalogique des familles du Québec (René Jetté, Presses de l'Université de Montréal-1983). Naissance d'une population - Les Français établis au Canada au XVIIe siècle (Presses de l'Université de Montréal, 1987). Pour le Christ et le Roy - La vie au temps des premiers Montréalais (sous la direction de Yves Landry, Libre Expression, Art Global, 1992) http://naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/autrespassagers/autrespassagersChampiChart.html#retourautrespassagersChampiChart: (François et Barbe GIRARDEAU), de St-Jean-en-Grève de Paris, Île-de-France; s 03-10-1706 Pointe-aux-Trembles (94 ans); selon Trudel, 16 ans de Paris, arrivée en 1647; 35 ans aux rec. 66 et 67; 57 ans au rec. 81; m 13-01-1648 Montréal avec Louis LOISEL; famille établie à Montréal; 8 enfants. (CI : 191; DGFQ : 740) Voir aussi: http://naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/immigrants/immigrants1647.html#margueritecharlot | Charlot, 1ere arrivante Marguerite Vers 1647. Navire inconnu. (I490)
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45 | Fille du Roy. De Normandie. http://www.migrations.fr/NAVIRES_DIEPPE/stlouis_dieppe1667.htm : Départ de Dieppe: le 10 juin 1667 Arrivée à Québec : 25 septembre 1667 2 mariages: 1: Mathieu Bruent en 1667 2. Yves--Luc Lucas dit St-Venan. Avant 1722, à Lachine. Aucun enfant BLANCHARD Marie 50 livres de dot Fille de Jean et Martine Lebas de la paroisse St Nicaise de la ville de Rouen, 76000; Seine-Maritime; Haute-Normandie. Née le 15/01/1647 paroisse Saint-Nicaise Rouen Inhumée le 29 juillet 1722 à Lachine Acte de sépulture Âgée d’environ 75 ans. 2 mariages: 1) BRUNET Michel Mathieu dit Létang, Habitant Laboureur Fils de Jacques et Jacqueline Rercheine ou Prohuie de Tourouvre, 61190; Orne; Basse-Normandie. (Perche) ou de la paroisse St Jean de la commune de Rai; 61270; Orne; Basse Normandie. (Perche) Né vers 1638 décédé le 17/12/1708 Contrat de mariage 14/04/1679? (Adhémar) à Québec. Mariage le 10/11/1667 à Québec Voir acte de mariage Au recensement de 1681, à Champlain; Mathieu est dit avoir 43 ans; Marie Blanchard son épouse, 34 ans. Ils ont alors 9 enfants; Michel, 13 ans; Jeanne, 11 ans; Marie-Anne, 9ans; Jean, 8 ans; Pierre, 6 ans; Marie, 4 ans; Catherine, 3 ans; Jacob, 1 ans; Catherine, 3 mois. Le couple possède une vache et vingt-et-un arpents de terre en valeur. Ménage établi à Champlain, 10 enfants. BRUNET Michel ca ../../1668 30/03/1750 Pointe-Claire |___x MOISAN Marie-Madeleine x 07/10/1692 Montréal 17/03/1675 Montréal 03/02/1713 Montréal |___xx EMEREAU Anne-Élisabeth xx 10/07/1713 Montréal 27/02/1686 La Prairie 19/06/1753 Pierrefonds BRUNET Jeanne ../../1670 |___xHUARD François x 12/04/1684 Champlain 01/05/1649 Amboise (37) 24/08/1722 Québec BRUNET Marie-Anne ../../1672 06/11/1747 Pointe-Claire |___x GODIN Laurent Sieur de Beauséjour x 26/06/1719 Pointe-Claire 10/08/1655 Montréal 01/05/1737 Montréal BRUNET Jean 03/01/1674 Cap-de-la-Madeleine 24/03/1723 Pointe-Claire |___x PERRIER Marie x 19/10/1694 Lachine 21/08/1670 Beauport 05/12/1740 Montréal BRUNET Pierre 13/02/1676 Cap-de-la-Madeleine BRUNET-L'ESTANG Marie, N° 503 25/10/1677 Cap-de-la-Madeleine 12/01/1756 Pierrefonds |___x BIGRAS-FAUVEL François, N° 502 x 31/08/1693 Montréal 08/09/1665 La Rochelle (17) BRUNET Jacques 30/07/1680 Champlain 01/12/1708 Montréal |___x VERRET Jeanne x 14/11/1701 Lachine 27/12/1675 Saint-Bernard BRUNET Catherine 05/11/1681 Champlain |___x LEVRON Joseph x 26/01/1750 Kingston ca ../../1691 Port-Royal (Acadie) BRUNET Marguerite 19/08/1683 Champlain 03/08/1699 Lachine BRUNET Mathieu 17/09/1688 Montréal 07/11/1706 Montréal 2)LUCAS Yves-Luc dit St Venan Maitre Tonnelier fils de François et Marie-Madeleine Beaudoin Né vers 1666 décédé le 03/05/1726 Mariage avant 1722 à Lachine Aucun enfant Sources: Yves Landry "Les Filles du roi au XVIIè siècle" ; Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca) le 17 mars 1998.; Généalogie Jocelyne Nicol-Quillivic ; http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Blanchard_Marie&pid=8532 : ID No: 8532 Prénom: Marie Nom: Blanchard Sexe: F Occupation: Fille du Roi Baptême: 15 janvier 1647 Paroisse/ville: St-Nicaise, Rouen, Seine-Maritime Pays: France Bapt./Source: Baptême le 15 janvier 1647. Source: FichierOrigine Inh.: 29 juillet 1722 - âge: 75 Paroisse/ville: Lachine, Montreal Pays: Canada Inh./Source: s 29 juillet 1722 Information, autres enfants, notes, etc. (CT 04-04-1679 Adhémar) avec Mathieu Brunet Fille de Jean et Martine Lebas Arrivée en 1667, apportant des biens estimés à 50 livres SANS POSTÉRITÉ avec Yves Lucas Famille Brunet-Letang/Blanchard au complet (10 enfants) vérifiée | Blanchard, 1ere arrivante Marie (I543)
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46 | Gisèle a été adoptée par ses grands-parents paternels (inscrits comme parents dans l'acte de mariage avec Marcel Roy) | Turcotte, Gisèle (I6776)
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47 | Habitait au 69 Bienville à la naissance Habitait au 110 rue Boyer à son décès (3ans et 7 mois) Parrain: J.B.Herménégilde. Jeannotte (père de Agénor) Marraine: Élodie Brodeur (2e épouse de Herménégilde) Enterré le 1912-08-30. Cercueil no 1429. Lot no N. 2477 | Jeannotte, Louis (I11)
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48 | http://cnl-gla.ca/lapierre-amerique/individual.php?pid=I380&ged=genealogiedeslapierredamerique http://mwlandry.ca/genealog/familygroup.php?familyID=F2352&tree=05 http://www.acadian-cajun.com/1671a.htm | Hébert, 1er arrivant Acadie Antoine (I1274)
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49 | http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?f=2&t=2160 : GAUTHEROT, François, et Edmée LE JEUNE François Gautherot naquit en France en 1612', probablement dans la province de Touraine. Il vint en Acadie en 1632, avec le commandeur de Razilly (voir l'Acadie des origines, p. 37-40). " En 1636, à La Hève, François épouse Edmée Lejeune, qui n'est âgée que de 13 ans. Durant les premières années de la colonie, en Acadie, les filles à marier sont très rares et elles se marient très jeunes. Edmée lejeune était née en 1623 en Acadie, probablement au village Micmac établi près du premier fort de Port-Royal. Son père, venu en Acadie en 1611 avec Poutrincourt et Biencourt, avait épousé une indienne de la tribu abénaquise des Micmacs (voir la notice sur la famille Lejeune). En 1636, Charles de Menou d'Aulnay, devenu gouverneur de l'Acadie après la mort du commandeur Isaac de Razilly, transporte la colonie de La Hève à Port-Royal, choisissant un nouveau site, sur la rive sud du bassin de Port-Royal, à l'embouchure de la rivière Dauphin (voir l'Acadie des origines, p. 45-49). L'année suivante, une fille, Marie, naît aux époux Gautherot, suivie, en 1638, par un fils, Charles. De 1638 à 1646, nous ne connaissons aucun enfant à François et à Edmée. Il est bien probable qu'ils eurent deux ou trois enfants durant cette période, mais comme les registres de Port-Royal pour 'cette période ont été perdus et que notre seule source de renseignements est le recensement de 1671, nous n'en trouvons aucune trace: ils ont dû mourir en bas âge: la mortalité infantile étant assez élevée à cette époque. En 1646, une fille, nommée également Marie (ou parfois Anne-Marie), vient augmenter la famille; puis, en 1648, un second fils, appelé Jehan. En 1652, un couple de jumeaux, François et Renée, compléteront la demi-douzaine d'enfants vivants. À part quelques appels aux armes auxquels François Gautherot doit répondre pour défendre Port-Royal attaqué par les Anglais, il passe l'été à cultiver son lopin de terre, À la fin de l'automne et en hiver, il se livre à la chasse, en compagnie des Micmacs, cousins de sa femme: ses fils deviendront presque tous coureurs de bois. En 1656, deux ans après la prise de Port-Royal par les Anglais, la fille aînée de François, Marie, épouse Jean Potet, dit La Fortune, Suisse de Lucerne. http://www2.umoncton.ca/cfdocs/cea/livr ... 31&cform=T chune https://www.gautreau.ca/nos-ancetres/francois/ : À ce jour, nous n’avons aucun indice du lieu d’origine de l’ancêtre acadien des Gautreau. Nous savons seulement qu’il porte un patronyme du vieux Poitou en France. ÉTABLISSEMENT François Gautreau serait débarqué à La Hève (Nouvelle-Écosse) le 8 septembre 1632 avec Isaac de Razilly et trois cents hommes d’élite. En 1634, il aurait pris pour femme une amérindienne prénommée Marie, de laquelle il eut deux enfants, Marie et Charles. Il convola en secondes noces avec Edmée Lejeune vers 1645. Elle lui donnera neuf enfants, quatre filles et cinq fils: Marie, Jean, François, Renée, Marguerite, Claude, Charles, Jeanne et Germain. La famille s’établit ensuite à Port-Royal où nous la retrouvons lors du premier recensement acadien de 1671. Au recensement de 1686, François et son épouse demeurent chez leur fils Claude. L’ancêtre François décède à Port-Royal avant le recensement de 1693. Les enfants de François Marie Née vers 1636, elle épouse Michel Dupeux-Dupuis à Port-Royal. Charles Né vers 1638, il marie à Québec Françoise Cousin le 13 octobre 1665. Cinq enfants naîtront de leur union: Mathurin, Charles, Guillaume, Marie-Anne et Françoise. Il établit sa famille à Charlesbourg près de Québec, où il mourra le 16 décembre 1714. Marie Née vers 1647, elle sera mariée à Claude Terriot, fils de Jean et de Perrine Bourg, à Port-Royal vers 1662. Elle meurt en 1732, âgée de 85 ans. Jean Né vers 1648. Nous perdons sa trace après le recensement de 1671. François Né vers 1652. Il est coureur de bois. Il épousera Marie-Sébastienne Brun, fille de Vincent et de Renée Breau en 1680 à Port-Royal. Il s’établit à Grand-Pré et décède avant 1693. Renée Jumelle de François, née vers 1652. Elle s’unit à un ingénieur du Roi, Jean de Labatte dit le Marquis, né en France. Marguerite Née vers 1655, elle se marie vers 1669 à Jacques Jacob Girouard dit Varennes. Claude Né vers 1659, il épouse vers 1685 Marie Terriau, fille de Bonaventure et de Jeanne Boudrot. Ils habitent avec les parents Gautreau en 1686 à Port-Royal. Ils s’établissent ensuite à la Rivière-des-Gasparaux. Claude décède à l’âge de 66 ans le 24 mars 1733. Le couple a eu huit enfants: Marie, Jacques, Anne, Élisabeth, Jean, Charles, Joseph et Catherine-Joseph. Charles Né vers 1661, il prend pour épouse Françoise Rimbaut vers 1684. Il s’établit aux Mines. Françoise Rimbaut décède à Grand-Pré le 27 mai 1712. Ils eurent onze enfants: François, Charles, Claude, Pierre, Anne, Madeleine, Marie, Jean, Marguerite, Isabelle et Claire. Jeanne Née vers 1664, elle épousera vers 1681 le tonnelier Pierre Lanoue, né en France. Germain Né vers 1668. Il ne figure qu’au recensement de 1671. Le Grand Dérangement La famille de François Gautreau sera dispersée lors du Grand Dérangement acadien de 1755. On retrouvera des descendants de François en Nouvelle-Angleterre, au Maryland et en Louisiane aux États-Unis; d’autres tenteront de retourner s’établir en France, à SaintMalo et à Belle-Isle-en-Mer; d’autres enfin réussiront à fuir et à s’établir au Canada, comme P’tit Pierre et P’tit Jean son frère qui fondent le Village des Gautreau près de Memramcook au sud de Moncton au Nouveau-Brunswick; ou comme Jean Gautreau qui se rend au Québec en passant par Montmagny. D’autres enfin gagneront les îles de Saint-Pierre-et-Miquelon. | Gaudreau (Goutherot), 1er arrivant François Vers 1632 (I3480)
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50 | http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?f=29&t=1884: Jean Pitre Son nom était probablement Jehan Pieter. Pour acceptation sociale ou par déformation il serait devenu Jean Pitre. Né vers 1636, ce pionnier est le premier ancêtre portant notre nom de famille qui a mis les pieds sur le continent nord-américain. Il est l'auteur de plusieurs des Pitre, Lepitre, Pieters, Pieter, Pietre, Peters, Peter, Peete, de l'Acadie, du Québec, du Canada et des État-Unis Le premier indice que l'on retrouve de notre ancêtre est au recensement de 1671 à Port-Royal, Acadie. Son métier était taillandier et il consistait à la fabrication d'outils et fers tranchants utilisés par les cultivateurs. Jean Pitre était flamand d'après son petit-fils Claude Pitre qui fit cette déclaration après sa déportation à Belle-Île-en-Mer, France en 1767. Cependant, dans son Dictionnaire généalogique des familles acadiennes Stephen White mentionne également l'avis du Père Clarence d'Entremont (généalogiste) qu'il était probablement anglais , d'après An account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets..., où il est dit que Peters, un forgeron en Angleterre.... était d'origine anglaise. . D'ailleurs, il y avait une population d'émigrés flamands en Angleterre à cette époque. Plusieurs hypothèses peuvent être amenées sur l'arrivée de Jean Pitre en Acadie. Il est spéculé qu'il est arrivé avec l'expédition anglaise du Colonel ThomasTemple le 1er mai 1657. Aucune liste des pionniers de cette expédition n'a été retracée cependant son arrivée coïncide avec l'apparition de notre ancêtre Jean Pitre en Acadie. D'un autre côté, Léopold Lanctôt suggère que Jean Pitre soit arrivé en premier lieu comme pionnier des colonies hollandaises de Fort Orange (maintenant Albany, N.Y.) ou Nouvelle Amsterdam (maintenant New York, N.Y.). Lorsque la Bretagne a pris possession des colonies hollandaises, le gouverneur Temple aurait recruté des hollandais pour s'établir en Acadie. Une autre histoire racontée sur les origines de Jean Pitre a été publiée dans le livre "The History of St. Anthony's Parish 1803-1980" sur les descendants de Jean Pitre à l'Île du Prince Edouard, dont la plupart ont pris le nom Peters. Ce compte-rendu suggère qu'il est arrivé à Permambuco au Brésil. Il se serait échappé des guerres hollandaises en Amérique du Sud en prenant un navire en direction de l'Acadie. Encore une autre source nous mentione un nommé Peter (peut-être le père de Jean Pitre ?) qui arriva durant l'occupation écossaise de 1621 à 1632. Cette histoire vue dans le livre The Acadian Miracle de DJ Leblanc, soutient que Peter aurait francisé son nom à Pitre et demeura en Acadie lorsque les Français reprennent possession en 1632. Malheureusement, ce ne sont que des théories et spéculations, et nous ne savons vraiment pas comment et quand Jean Pitre est arrivé en Acadie. Il aurait pu arrivé dans son enfance en compagnie de ses parents ou même né en Acadie de parents émigrés plus tôt puisqu'il existe très peu de documents archivés des années 1600. Nous le retrouvons en Acadie vers 1665 Port-Royal où siège aujourd'hui la ville d'Annapolis Royal en Nouvelle Écosse. Il aurait épousé Marie Pesseley cette année puisque l'année suivante, leur première enfant Marie est née. En 1671, l'Acadie est de nouveau une terre française et la population atteint 500 habitants. Au premier recensement en Acadie, nous pouvons noter l'information suivante sur notre ancêtre: Jean PITRE taillandier, 35, femme Marie Pesseley; Enfants: Claude 9 mois et 2 filles, Marie âgée de 5 ans et Catherine 3 ans; bétail 1, aucune terre labourée. Ce premier recensement voit notre ancêtre avec sa jeune famille. A cette époque, il ne possède aucune terre labourée et devra donc se concentrer sur ses aptitudes de forgeron pour subvenir aux besoins de sa famille. En 1678, sa famille grandit et il posséde deux acres de terres labourées et un bétail de plus pour les nourrir. C'est du cinquième fils François que notre lignée des Pitre se poursuit. François est énuméré au recensement de 1686 à l'âge de 4 ans. RECENSEMENT 1678 Jean Pitre & Marie Pesselet 2 acres & 2 bétails 4 garçons: 10 1668 Claude; 5 1673 Marc; 3 1675 (fils); 1 1677 Pierre 2 filles: 14 1664 Marie; 11 1667 Catherine; RECENSEMENT 1686 Jean PITRE âge 61; Marie PESELET âge 45 Claude âge 16; Marc âge 12; Pierre âge 9; Jean âge 6; François âge 4; fille (Marguerite) âge 2; fille (Jeanne) 1 mois En 1689, la guerre est déclarée entre la France et l'Angleterre. Les Bostoniens en profitent pour tenter une nouvelle invasion de l'Acadie. Admiral Phipps arrive à Port Royal en 1690 avec 700 soldats anglais. Le fort est défendu par 70 soldats français qui doivent capituler. http://www.chezsurette.com/index.html http://www.chezsurette.com/index.htmlLes habitants de Port Royal et Des Mines, sont enfermés dans l'église et sous menace du feu, ils sont forcés à prêter serment de fidélité à la Couronne d'Angleterre. Toutefois, ils refusent de s'armer contre leurs compatriotes français. Malgré la signature de la déclaration, pendant douze jours les américains détruisent l'Acadie. L'église et le presbytère sont rasés. Le bétail est détruit, les maisons sont pillés et 28 sont brûlés. Les pionniers sont dans une situation tragique et vont s'établir à Jemseg sur la rivière St-Jean. "Signing of the Oath" Peinture de Nelson Surette Notre ancêtre pionnier Jean Pitre est décédé à Port Royal quelques temps avant 1693 vers l'âge de 55 ans. Nous n'en connaissons pas l'histoire mais toutes ces misères auraient sûrement contribué envers son décès. Il laisse sa femme et neuf enfants dans la peine et la misère. Jeanne, la plus jeune, n'a que cinq ans. LES ENFANTS DE JEAN PITRE DIT BENEQUE et MARIE PESSELET 1. Marie PITRE née en 1666 à Port-Royal, elle épouse François Amirault en 1683 2. Catherine PITRE née en 1668 à Port-Royal, elle épouse Claude Bertrand en 1685 décédée avant le 17 janvier 1722 3. Claude PITRE né en fév. 1671 à Port-Royal, il épouse 1. vers 1696 Marie Comeau (Pierre l'aîné & Jeanne Bourg) 2. le 17 fév. 1710 à Port Royal Anne HENRY (Robert & Marie-Madeleine Godin) décédé au recensement de 1752 (Jan. 1) 4. Marc PITRE né en 1673 à Port-Royal, il épouse en 1693 Jeanne BRUN (Sébastien & Huguette Bourg) 5. son PITRE né en 1675 à Port-Royal 6. Jean PITRE né en 1680 à Port-Royal il épouse en 1698 Françoise BABIN (Antoine & Marie Mercier) 7. François PITRE né en 1682 à Port-Royal (dit NORDEST) il épouse le 27 juillet 1705 Anne PRÉJEAN (Jean & Andrée Savoie) décédé le 5 décembre 1725 à Port Royal 8. Marguerite PITRE née en 1683 à Port Royal, elle épouse 1701 Abraham COMEAU (Pierre l'aîné & Jeanne Bourg) décédée le 12 juillet 1747 9. Jeanne PITRE née en décembre 1685 à Port Royal, elle épouse en 1701 Jean-Pierre PIAT dit LA BONTÉ 10. Jeanne PITRE née en décembre 1688 à Port Royal Marie Pesseley Marie Pesseley aurait épousé Jean Pitre vers 1665 lorsque l'Acadie est occupée par l'Angleterre. Elle avait onze enfants lorsqu'elle perd son époux après vingt ans de marriage. Selon le recensement de 1686, on lui donne l'âge de 45 ans donc elle serait née vers 1641 probablement en Acadie. Elle est la fille d'Isaac Pesseley et Barbe Bajolet. Nul doute, qu'une veuve avec neuf enfants n'aurait pas eu la vie facile. Toutefois, elle n'est pas demeurée veuve longtemps puisque au recensement de 1693 on retrouve Marie Pesselet mariée à François Robin. Plusieurs de ses enfants demeurent toujours avec elle dont Claude l'aîné, âgé de 22 ans et notre ancêtre François qui a onze ans. Dix ans plus tard, au recensement de 1703, Robin et sa femme Marie Pesselet demeurent toujours ensemble sauf qu'ils sont seuls, les enfants ne sont plus au foyer. On retrouve Marie Pesselet de nouveau au recensement de 1707 où elle est énumérée sous le nom de la Veuve Robin. Sa dernière année puisqu'elle est décédée le 26 décembre 1707 à l'âge de 66 ans. Colonel Isaac Pesseley Selon le Père Godbout le père de Marie : ‘Isaac Pesseley du Comté Français de Champagne, est le premier époux de Barbe. Isaac Pesseley, Marchand de Piney, à trois lieues de Troyes dans le comté de Champagne, épouse Barbe Bajolet, née du même comté, fille d'Antoine Bajolet (premier Muletier de la Reine Marie de Médicis) et de Jeanne Beaudinet' Isaac Pesseley et Barbe Bajolet se seraient mariés vers 1629 puisqu'en octobre 1630 ils baptisent leur premier enfant Étienne. En 1633, on trouve la naissance de Marguerite; et puis en 1634 celle de Perrette. C'est sous la gouverne du Sieur d'Aulnay, en 1636 que le St-Jehan arrive. Il est le premier vaisseau qui transporte des familles complètes avec des femmes et enfants vers l'Acadie. Seul Isaac Pesseley est sur la liste des pionners qui débarqueront à Port-Royal. Rien ne semble confirmer de quelle façon sa famille arrive en Acadie. Toutefois, Isaac est nommé Major de Port-Royal, et ensuite Colonel qui lui donne une fonction défensive. On nous dit qu'Isaac Pesseley était un associé du Sieur de Rasilly qui décède en 1635 pour être remplacé par le Sieur d'Aulnay. Notre ancêtre Isaac Pesseley a été tué durant cette bataille de trois jours entre les Lieutenants Gouverneurs Sieur D'Aulnay et Charles Latour du 15 au 18 avril 1645 au Fort https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Pitre_Jean-Beneque&pid=83809: Information, autres enfants, notes, etc. Selon la déclaration à Belle-île-en-Mer de Claude Pitre, l'ancêtre des Pitre de l'Acadie était d'origine flamande. Cependant, le Père Clarence d'Entremont est d'avis qu'il est plus probable qu'il fût anglais en se rapportant à "An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets... London 1758, p. 105" ou il est dit que PETERS, un forgeron d'Angleterre, était d'origine anglaise S.A. White p.1319 ex 914 http://s618661786.websitehome.co.uk/pitretrail/myline/paternal/IPesseley.htm: 1er mariage: +Jean Pitre b: Abt. 1636; m: Abt. 1665 Port Royal, Acadia; d: Abt. 1689 Port Royal, Acadia *2nd Husband of Marie Pesseley: +Francois Robin b: Abt. 1643; m: Abt. 1690 Port Royal, Acadia; d: 18 October 1706 Port Royal, Acadia; burial: 19 October 1706 St. Jean Baptiste, Port Royal http://www.pitretrail.com/: Jean Pitre & Marie Pesseley Jean Pitre appeared in only the 1671, 1678 and 1686 censuses at Port Royal, Acadia. He is reported as being 35 in the first census which would put his birth at around 1636. His wife was Marie Pesseley, born c1645, the youngest child of Isaac Pesseley and Barbe Bajolet, both French. Going by Marie’s age and the ages of the children in the 1671 census, she and Jean were probably married at Port Royal c1665. Marie's parents had arrived in Acadia around 30 years earlier, but her mother returned to France after her father was killed on 16 April 1645 in the attack on Fort St. Jean. It is unknown if Marie was born in Acadia or if she was born after her mother had returned to France, but her grandson Claude Marc's declaration at Belle-Ile-en-Mer claimed Paris as her birthplace. After being widowed twice more, Barbe Bajolet, and certainly her two youngest children Marie Pesseley and Marie Anne Lefebvre, returned to Port Royal in 1661. Jean Pitre's occupation was listed as taillandier, which translates most closely as an edge-tool maker. He had no land and only one cow in the 1671 census, so the assumption is that he made his living providing sharpened tools for others. By 1678 he had two cows and two arpents of land under cultivation. The 1686 census listed his growing family of seven children who were still living with them, while the two eldest daughters had married and were settled nearby with their husbands. With the youngest child Jeanne born c1688, Jean Pitre probably died c1689 at the age of about 53. Widow Marie was only 44 with eight children and quickly remarried to Francois Robin c1690 and together they raised the remaining minor children. The Pitre children married into Amireau, Bertrand, Comeau, Henry, Brun, Babin, Prejean, and Piat. Family of Jean Pitre & Marie Pesseley 1 Jean Pitre b: Abt. 1636 "d'origine flamande"; d: Abt. 1689 Port Royal, Acadia +Marie Pesseley b: Abt. 1645 Port Royal, Acadia; m: Abt. 1665 Port Royal, Acadia [Isaac/Barbe Bajolet]; d: 26 December 1707 Port Royal, Acadia 2 Marie Pitre b: Abt. 1666 Port Royal, Acadia; d: Aft. 1726 +Francois Amireau dit Tourangeau b: Abt. 1644; m: Abt. 1683 Port Royal, Acadia; d: Aft. 1726 2 Catherine Pitre b: Abt. 1668 Port Royal, Acadia; d: Bet. 1706 - 1714 Acadia +Claude Bertrand b: Abt. 1651; m: Abt. 1685 Port Royal, Acadia; d: Abt. 1726 Acadia 2 Claude Pitre b: Abt. February 1671 Port Royal, Acadia; d: Bet. 1729 - 1750 Port Royal, Acadia +Marie Anne Comeau b: Abt. 1678 Acadia; m: Abt. 1696 Port Royal, Acadia [Pierre/Jeanne Bourg]; d: 9 July 1707 Port Royal, Acadia *2nd Wife of Claude Pitre: +Anne (Jeanne) Henry b: Abt. 1688 Mines, Acadia; m: 17 February 1710 Port Royal, Acadia [Robert/Marie Madeleine Godin]; d: 29 November 1757 Hospital general, Quebec 2 Marc Pitre b: Abt. 1673 Port Royal, Acadia; d: Aft. 1714 +Jeanne Brun b: Abt. 1676 Port Royal, Acadia; m: Abt. 1699 Acadia [Sebastien/Huguette Bourg]; d: Aft. 1714 2 infant Pitre b: Abt. 1675 Port Royal, Acadia; d: Aft. 1678 Port Royal, Acadia 2 Pierre Pitre b: Abt. 1677 Port Royal, Acadia; d: Aft. 1700 2 Jean Denis Pitre b: Abt. 1680 Port Royal, Acadia; d: Aft. 1724 +Francoise Babin b: Abt. 1681 Port Royal, Acadia; m: Abt. 1698 Port Royal, Acadia [Antoine/Marie Mercier]; d: Aft. 1724 2 Francois Pitre b: Abt. 1682 Port Royal, Acadia; d: 5 December 1725 Port Royal, Acadia +Anne Prejean b: Abt. 1687 Port Royal, Acadia; m: 27 July 1705 Port Royal, Acadia [Jean/Andree Savoie] 2 Marguerite Pitre b: Abt. 1683 Port Royal, Acadia; d: 12 July 1747 Port Royal, Acadia +Abraham Comeau b: Abt. 1680 Port Royal, Acadia; m: Abt. 1701 Port Royal, Acadia [Pierre/Jeanne Bourg]; d: Aft. 1739 2 Jeanne Pitre b: Abt. December 1685 Port Royal, Acadia +Jean Pierre Piat dit La Bonte b: Abt. 1671; m: Abt. 1701 Acadia 2 Jeanne Pitre b: Abt. 1688 Port Royal, Acadia; d: Aft. 1707 Theories of Jean Pitre’s origin According to the declaration at Belle-Île-en-Mer by his grandson Claude Pitre, the pioneer of the Acadian Pitre family is of Flemish origin. However, Père Clarence d'Entremont believes that it is "more likely that he was English" (Histoire du Cap-Sable), according to a report in An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets (published London 1758), "where it is said that Peters, a toolsmith in England... was of English origin." Excerpt from Dictionnaire Genealogique Des Familles Acadiennes (Stephen A. White), original in French. This mention of a blacksmith named John Peters in Acadia who came from England and the 1671 census showing Jean Pitre as a specialized sort of metalworker raises the theory of this being the same man. Stephen White says, "While there is no proof that the blacksmith and the edge-tool maker were one and the same, there is no real contradiction in supposing that they might have been, inasmuch as there were many Flemish artisans in England during the middle part of the seventeenth century, and one of them might have chosen to emigrate to Acadia sometime after the English capture of the colony in 1654." The publication, fully entitled, 'An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets Savage Nations, Now Dependent On The Government Of Cape-Breton' was from an original French manuscript letter written by a French Abbot. The Abbot was lived as a missionary for many years in Nova Scotia. He says in his letter that 'Except a few families from Boston or New England I could never learn there were above three of purely British subjects, who also, ultimately conforming both in the religious and civil institutions to the French, became incorporated with them. These families were the Peterses, the Grangers, the Cartys. These last indeed descended from one Roger John Baptist Carty, an Irish Roman Catholic. He had been an indented servant in New England, and had obtained at length his discharge from his master, with permission to remain with the French Acadians for the freer exercise of his religion. Peters was an iron-smith in England, and together with Granger, married in Acadia, and was there naturalized a Frenchman. Granger made his abjuration before M. Petit, secular-priest of the seminary of Paris, then missionary at Port-Royal (Annapolis). These and other European families then soon became united with the French Acadians, and were no longer distinguished from them.' Or was Jean Pitre really Jan Pietr from Holland? Leopold Lanctot theorizes that in about 1656 Jean emigrated to the American colonies founded by the Dutch, either to Fort-Orange (Albany, NY), or New Amsterdam (New York, NY). England had seized Acadia in 1654, renamed it New Scotland, and sent an expedition led by Sir Thomas Temple which arrived there on 1st May 1657. When war broke out between England and Holland in 1664, Bostonians seized Fort Orange and New Amsterdam. Temple then recruited the Dutch colonists for his new seignory, supposedly including Jan Pietr. (There is no list of settlers from this expedition but the timing allows for the possibility.) Another theory of Jean's origins appeared in The History of St. Anthony's Parish 1803-1980 (which includes the descendants of Jean Pitre in Prince Edward Island, most of whom have taken the name Peters). This account would have him in Permambuco, Brazil and escaping the Dutch wars in South America by hopping a schooner to Acadia. Excerpt from 1984 letter from Stephen White to Leo F. Peters: “The best direct evidence of Jean Pitre’s parentage and origin would have been the record of his marriage to Marie Pesseley. Without that one will have to be very lucky indeed to trace him in Europe, even with the area of research narrowed to Flanders. Even if you found a Jean Pitre born in Flanders in 1636, it would be impossible to be sure he was the same Jean Pitre who settled in Acadia without some positive evidence making the connection, such as a record showing his departure for Acadia. Such a record might be almost anywhere, if it exists at all.” He could have arrived in Acadia in 1666 on Le Saint Jean Baptiste from France to New France (Quebec), listed as Jean Pitran. His name may have originally been different from what we have in the 1671 census. But whatever his origins, there are today thousands of descendants across Canada, America and France who all trace their way back to Jean Pitre of Acadia. http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : PITRE, Jean, was originally Flemish and married Marie Pesseley, who came from Paris, according to his grandson Claude Pitre (Doc. ind., Vol. III, p. 28), as is mentioned in the preceding paragraph. The Parisian origin of Marie Pesseley is quite doubtful, and Father Clarence d'Entremont questioned the Flemish origin of Jean Pitre, because he had found mention of a blacksmith named John Peters in Acadia who came from England (Histoire du Cap-Sable [Eunice, Louisiana: Hébert Publications, 1981], Vol. III, p. 1050), and the 1671 census does show that Jean Pitre was a specialized sort of metalworker, an edge-tool maker (see DGFA-1, pp. 1318-1319). While there is no proof that the blacksmith and the edge-tool maker were one and the same, there is no real contradiction in supposing that they might have been, inasmuch as there were many Flemish artisans in England during the middle part of the seventeenth century, and one of them might have chosen to emigrate to Acadia sometime after the English capture of the colony in 1654. | Pitre dit Lajambe, 1er Arrivant Acadien Jean Beneque (I1134)
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51 | http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?f=29&t=1884: Colonel Isaac Pesseley Selon le Père Godbout le père de Marie : ‘Isaac Pesseley du Comté Français de Champagne, est le premier époux de Barbe. Isaac Pesseley, Marchand de Piney, à trois lieues de Troyes dans le comté de Champagne, épouse Barbe Bajolet, née du même comté, fille d'Antoine Bajolet (premier Muletier de la Reine Marie de Médicis) et de Jeanne Beaudinet' Isaac Pesseley et Barbe Bajolet se seraient mariés vers 1629 puisqu'en octobre 1630 ils baptisent leur premier enfant Étienne. En 1633, on trouve la naissance de Marguerite; et puis en 1634 celle de Perrette. C'est sous la gouverne du Sieur d'Aulnay, en 1636 que le St-Jehan arrive. Il est le premier vaisseau qui transporte des familles complètes avec des femmes et enfants vers l'Acadie. Seul Isaac Pesseley est sur la liste des pionners qui débarqueront à Port-Royal. Rien ne semble confirmer de quelle façon sa famille arrive en Acadie. Toutefois, Isaac est nommé Major de Port-Royal, et ensuite Colonel qui lui donne une fonction défensive. On nous dit qu'Isaac Pesseley était un associé du Sieur de Rasilly qui décède en 1635 pour être remplacé par le Sieur d'Aulnay. Notre ancêtre Isaac Pesseley a été tué durant cette bataille de trois jours entre les Lieutenants Gouverneurs Sieur D'Aulnay et Charles Latour du 15 au 18 avril 1645 au Fort https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Pesseley_Isaac&pid=83815: ID No: 83815 Prénom: Isaac Nom: Pesseley Sexe: M Occupation: Naissance: 1600 estimé Paroisse/ville: Pays: France Décès: Paroisse/ville: Pays: Information, autres enfants, notes, etc. Seon Archange Godbout p.185/186 Isaac Pesseley faisait partie de la recrue de 1636 pour l'Acadie. Il s'embarque le 1er avril de cette année sur le St-Jean, à la suite de Nicolas Le Creux, Sieur du Breuil. Isaac Pesseley, qui n'existe plus en 1646, fut d'abord marchand à Piney, Aube, en Champagne, puis major à Port-Royal. Il y figure aux informations contre La Tour, du 14 juillet 1640. Il épousa Barbe Bajolet, native de Piney à 3 lieues de Troyes. fille d'Antoine Bajolet, premier muletier de Marie de Médicis, et de Jeanne Baudinet. Ils eurent 6 enfants. http://s618661786.websitehome.co.uk/pitretrail/myline/paternal/IPesseley.htm: Notes for Isaac Pesseley: - Isaac Pesseley was a merchant. He arrived in Acadia on the Saint-Jehan in 1636. His death was probably due to the assault on Fort Saint Jean where d'Aulnay lost many men. - 1671 Port Royal: Barbe Baiolet, widow of the late Savinien de Courpon, 63. Of her 8 children 2 are in Acadia and 6 are in France. The two in Acadia are married: Marie Pesselet 26 and Mariane LeFebvre 21. She owns 1 cow, 6 sheep. http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?p=16829: Heureusement pour l'Acadie, le rôle du saint-Jehan, qui partit de La rochelle le premier avril 1636, à été conservé. Ce vaisseau , commandé par le capitaine Pierre Saunic, débarqua à la Hève 78 personnes, parmi lesquelles figurent les noms de Nicolas bayolle, de Dijon, et d'issac Pesselin, de Champagne. Ce Pesselin, ou plutôt Pessely, major de Port-royal, était marié à Barbe Bajolet. Après le décès d'Issac survenu en 1645 ou 1646, Barbe se remaria avec martin Lefebvre, secrétaire ordinaire de la Chambre des deniers du roi, et leur fille Marie-Anne , née en 1650, épousera quelque vingt ans plus tard Etienne Comeau, fils de l'ancêtre Pierre Comeau et de Rose Bayols. De nouveau veuve, Barbe épousera, en 1654, Savinien de Courpon, qui élèvera les enfants Pesseley et Lefebvre. | Pesseley, 1er arrivant Isaac (I1136)
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52 | http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?f=29&t=1884: Marie Pesseley Marie Pesseley aurait épousé Jean Pitre vers 1665 lorsque l'Acadie est occupée par l'Angleterre. Elle avait onze enfants lorsqu'elle perd son époux après vingt ans de marriage. Selon le recensement de 1686, on lui donne l'âge de 45 ans donc elle serait née vers 1641 probablement en Acadie. Elle est la fille d'Isaac Pesseley et Barbe Bajolet. Nul doute, qu'une veuve avec neuf enfants n'aurait pas eu la vie facile. Toutefois, elle n'est pas demeurée veuve longtemps puisque au recensement de 1693 on retrouve Marie Pesselet mariée à François Robin. Plusieurs de ses enfants demeurent toujours avec elle dont Claude l'aîné, âgé de 22 ans et notre ancêtre François qui a onze ans. Dix ans plus tard, au recensement de 1703, Robin et sa femme Marie Pesselet demeurent toujours ensemble sauf qu'ils sont seuls, les enfants ne sont plus au foyer. On retrouve Marie Pesselet de nouveau au recensement de 1707 où elle est énumérée sous le nom de la Veuve Robin. Sa dernière année puisqu'elle est décédée le 26 décembre 1707 à l'âge de 66 ans. | Pesseley, 1ère arrivante Acadienne Marie (I1135)
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53 | http://memoireduquebec.com/wiki/index.php?title=Pelletier_%28Catherine%29 : Née en 1661 à Château-Richer. Mère de la lignée Morel/Pelletier d'Amérique. Épouse Guillaume Morel dans la seigneurie de la Côte-de-Beaupré (59) en 1679 ; de cette union sont issus Françoise Morel (mariée à Louis Tremblay), Anne Morel (mariée à Charles Gariépy) et Marie-Josèphe Morel (mariée à Joseph Savard). Fille de Georges Pelletier et de Catherine Vanier. Décès en 1690 à l'Hôtel-Dieu de Québec. Crédits - Dictionnaire généalogique des familles du Québec (René Jetté, Presses de l'Université de Montréal, 1983) Toutes les catégories: Femmes | Lignée | Pelletier, Catherine (I3963)
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54 | http://naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/autrespassagers/autrespassagersRemRin.html#retourautrespassagersRemRin : RENAUD, Marie (Vincent et Marie MARTIN), b 14-11-1632 Ste-Marguerite de La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime); selon Trudel, d’Aunis, arrivée en 1648 avec son père; probablement repassée en France vers 1650 avec son mari et leur fils Jacques; m 08-04-1649 Québec avec Pierre BLUSSON; famille établie à Québec; 1 enfant. (CI : 204 ; DGFQ : 118, 974) 1648 Québec 1650 France | Renault, 1ère arrivante (avec ses parents) Marie Retournée en France vers 1650 (I2482)
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55 | http://www.familycentral.net/index/family.cfm?ref1=4365:9825&ref2=4365:9826: Antoine BAJOLET Birth: Abt 1580of Piney, Aube, France Marriage: Abt 1600of Poitou, France Father: Mr. BAJOLET Mother: Mrs. BAJOLET | Bajolet, Antoine (I1148)
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56 | http://www.familycentral.net/index/family.cfm?ref1=4365:9825&ref2=4365:9826: Jeanne BAUDINET Birth: Abt 1582of Piney, Aube, France Father: Mr. BAUDINET Mother: Mrs. BAUDINET | Beaudinet, Jeanne (I1149)
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57 | http://www.fichierorigine.com/app/recherche/detail.php?numero=360059 NOISEUX / LOISEUX, Étienne 360059 Statut Marié Date de naissance Vers 1702 Lieu d'origine Paris (Seine) 75056 Parents Martin NOISEUX et Marguerite Amblard Métier du père Marchand boucher Date de mariage des parents 00-02-1699 Lieu de mariage des parents Paris (75056) Date du contrat de mariage 08-02-1699 Notaire Me Louis Raymond et Demasle Première mention au pays 1724 Occupation à l'arrivée Soldat des troupes de la Marine, cie Cavagnal Date de mariage 22-10-1725 Lieu du mariage Ste-Foy Conjoint Jeanne-Geneviève Mallet Date de décès Entre 1744 et 1748 Remarques Au mariage de ses parents, son père résidait rue Verbois, paroisse St-Nicolas-des-Champs à Paris. Sa mère résidait rue St-Martin dans la même paroisse. Le 20-09-1722, son frère Martin, et ses parents, demeuraient rue Neuve St-Martin paroisse St-Nicolas-des-Champs au moment de son contrat de mariage avec Marie-Anne Ancelé (f. André Ancelé et Marie Besu) devant le notaire Gabriel Mesnil à Paris; était présente Marguerite sa sœur. Ses grands-parents paternels sont François Noiseux, marchand boucher, et Marguerite Raportebled. Ses grands-parents maternels sont André Amblard, bourgeois de Paris, et Marie Tourin. À l'inventaire des biens de son père dressé par Me Jean Sainfray et Mahault le 22-10-1734, il est dit que Jean et Étienne Noiseux, absents depuis plusieurs années sont représentés par Jean-Claude Gouillart, conseiller du roi. Identification* DGFQ, p. 851 Chercheur(s) Jean-Paul Macouin Dossier d'archives numérisé Date de modification 2017-07-26 | Noiseux, Étienne (I1374)
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58 | http://www.fichierorigine.com/dossiers/360074.pdf Voir le fichier JeanRatierMarieMorin360074.pdf http://www.fichierorigine.com/recherche?numero=360074: RADIER / RATIER / DUBUISSON, Jean 360074 Statut Marié Date de naissance Vers 1641 Lieu d'origine Migré (Charente-Maritime) 17234 Parents Pierre RATIER et Ozanne Chat Métier du père Sergier Première mention au pays 1662 Occupation à l'arrivée Domestique Date de mariage 16-02-1672 Lieu du mariage Trois-Rivières Conjoint Marie Rivière Décès ou inhumation Québec (Hôtel-Dieu), 21-05-1703 Remarques Jean passe en premier un cm du 11-06-1663 greffe Étienne Rousseau, avec Marie Michellet, soeur de Suzanne (Antoine et Jacquette Vinet). Les actes suivants sont à Migré (St-Benoît). Sa soeur Marie est né et b. le 02-03-1643. Sa mère Ozanne Chat, citée Chassé en 1672. Son père Pierre, m.2 par cm du 13-05-1663 greffe Étienne Rousseau, avec Suzanne Michellet, dont Louise, née et b. le 19-11-1664 et d/s le 22-07-1681, avec témoin : Noël Templet, son beau-père. Ses grands-parents paternels sont Jean Ratier et Marie Morin, dont trois enfants sont nés et baptisés : Pierre (père du pionnier), le 13-06-1613 et d/s le 28-03-1671 ; Jean, le 25-02-1616 et Jacques, le 21-11-1620. Identification* DGFQ, p. 967 https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_anciens_m%C3%A9tiers: Serger ou Sergier ou Sergetier : tissait la laine pour en faire de la serge (tissu de laine croisée). http://geneablogique.blogspot.com/2011/04/metier-dantan-le-sergettier.html: Métier d'Antan : Le Sergettier Sur les différents actes, les métiers des personnes concernées sont généralement citées. Je trouve intéressant de les recenser, et les centraliser. C'est très parlant d'une époque de voir ces anciens métiers... Je commence donc par le Sergetier, ou le Serger, ou le Sergier. Le sergetier fabrique des serges, via une technique particulière de tissage à l'aide de sa machine, la serge. Le mot "serge" vient du grec serikos qui veut dire "fait de soie". "À l'origine, la serge est un tissage de soie mais il existe différentes serges telles que la serge de coton (toile de jean denim), la serge de laine (twill, pied de poule), gabardine, whipcord, etc" (Source : Wikipédia). Chercheur(s) Christian Siguret ; Lise Dandonneau Référence* DBC, vol. 2, p. 573 Dossier d'archives numérisé Date de modification 2017-07-21 | Ratier, Jean (I1125)
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59 | http://www.fichierorigine.com/recherche?numero=243428 : UENNEVILLE, Jean-Baptiste 243428 Statut Marié Date de baptême 30-07-1659 Lieu d'origine Rouen (St-Nicolas) (Seine-Maritime) 76540 Parents Pierre QUENNEVILLE et Jeanne Sacquespée Métier du père Maître savetier Date de mariage des parents 18-06-1646 Lieu de mariage des parents Rouen (St-Nicolas) (76540) Première mention au pays 1676 Occupation à l'arrivée Bedeau Date de mariage 20-11-1686 Lieu du mariage Montréal (Notre-Dame) Conjoint Louise Lauzon Décès ou inhumation Montréal, 31-05-1723 Remarques En 1646, ses parents sont Pierre Quesneville et Jeanne Saguispier, nés à Rouen (St-Nicolas), nommée Jeanne Saye en 1674. Ses frères et soeurs sont baptisés à Rouen (St-Nicolas): Pierre, 06-03-1647; Jeanne, 08-10-1649; Philippe, 01-05-1652 ; Jean (pionnier), 14-06-1653 ; Robert, 09-09-1655 ; Marie-1, 23-02-1657; Jeanne-Anne-Angélique, 30-07-1664 ; Marie-2, 03-07-1679. Le mariage de ses parents est non filiatif. Identification* DGFQ, p. 954 Chercheur(s) Archange Godbout ; Éric Mardoc ; Lise Dandonneau Référence* OFC, p. 39 Date de modification 2015-01-09 | Queneville, Jean-Baptiste (I2244)
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60 | http://www.fichierorigine.com/recherche?numero=360060 Voir remarque plus bas: NOISEUX / LOISEUX, Jean 360060 Statut Marié Date de naissance Vers 1700 Lieu d'origine Paris (Seine) 75056 Parents Martin et Marguerite Amblard Métier du père Marchand boucher Date de mariage des parents 00-02-1699 Lieu de mariage des parents Paris (75056) Date du contrat de mariage 08-02-1699 Notaire Me Louis Raymond et Demasle Première mention au pays 1726 Occupation à l'arrivée Migrant Date de mariage 05-02-1726 Lieu du mariage Longueuil Conjoint Marie-Anne-Françoise Menesson Date de décès Après 1734 Remarques Au mariage de ses parents, son père résidait rue Verbois, paroisse St-Nicolas-des-Champs à Paris. Sa mère résidait rue St-Martin dans la même paroisse. Le 20-09-1722, son frère Martin, et ses parents, demeuraient rue Neuve St-Martin paroisse St-Nicolas-des-Champs au moment de son contrat de mariage avec Marie-Anne Ancelé (f. André Ancelé et Marie Besu) devant le notaire Gabriel Mesnil à Paris; était présente Marguerite sa sœur. Ses grands-parents paternels sont François Noiseux, marchand boucher, et Marguerite Raportebled. Ses grands-parents maternels sont André Amblard, bourgeois de Paris, et Marie Tourin. À l'inventaire des biens de son père dressé par Me Jean Sainfray et Mahault le 22-10-1734, il est dit que Jean et Étienne Noiseux, absents depuis plusieurs années sont représentés par Jean-Claude Gouillart, conseiller du roi. Identification* DGFQ, p. 851 Chercheur(s) Jean-Paul Macouin Dossier d'archives numérisé Date de modification 2017-07-26 | Amblard, André (I1378)
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61 | http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=10527 https://wc.rootsweb.com/cgi-bin/igm.cgi?op=GET&db=rhetumines&id=I47 http://doucetfamily.org/Genealogy/G03.htm#03-G11001 | Hébert, Jean (Le Jeune) (I1263)
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62 | http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=1576 Mariages 1. Pelleret, Simon I31851 Male ID : F228770 Type : Mariés Enfants : 1 Marriage Enfants Pelleret, Henriette I10493 Female vers 1641 - avant 1693 2. Landry, René dit l'Aîné (1618 - ?) I1575 Male ID : F1177 Type : Mariés Enfants : 5 Marriage 1645 Enfants Landry, Marie-Marguerite I7569 Female vers 1646 - ? Landry, Marie I7571 Female vers 1650 - 1719 Landry, Madeleine I1574 Female vers 1655 - 17 février 1740 Landry, Pierre I7572 Male vers 1658 - ? Landry, Claude I7574 Male vers 1663 - 12 décembre 1740 | Bourg (Bourque), Perrine (I1289)
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63 | http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=31848 | Bourgeois, 1ère arrivante Acadie Marie (I1283)
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64 | http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=8071 | Hébert, 1er Arrivant Acadie Jacques (I1278)
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65 | http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=8071 | Juneau, 1ère arrivante Acadie Marie (I1279)
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66 | http://www.genealogie-acadienne.net/?action=indiDetails&I=8842: Marie-Anne Doucet ID : I8842 Female Naissance vers 1661 Port-Royal, Acadie Décès 3 novembre 1710 Grand-Pré, Acadie (Rg Grand-Pré) Sépulture 4 novembre 1710 Grand-Pré, Acadie (Rg Grand-Pré) http://doucetfamily.org/Genealogy/G03.htm#03-G11001 | Doucet, Marie-Anne (I1262)
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67 | http://www.genealogie.org/ancetres/amyot.htm: Philippe Amyot était originaire de la région de Soissons. En 1627, il épouse, à Estrées, Anne Convent, fille de Guillaume Convent et d’Antoinette de Longval. En 1635, il vient en Nouvelle-France avec son épouse et deux enfants, Jean, né vers 1625, et Mathieu, né vers 1628. Le 26 août 1636, il fait baptiser à Québec un troisième fils, Charles. Son séjour en terre d’Amérique sera de courte durée. En effet, il décède en 1639. Son fils, Mathieu Amyot, devait se signaler par son activité débordante. L’intendant Talon obtint pour lui des lettres d’anoblissement du Roy Louis XIV, en 1668. Ce dernier omis cependant de les faire enregistrer au Conseil Souverain, se disant sans doute, à l'instar de nos ancêtres, que c'est dans le coeur que se situe la véritable noblesse plutôt que sur un bout de papier. Les descendants des Amyot peuplent aujourd’hui toute l’Amérique. http://genealogistes-associes.ca/ancetres/amyot.php : L'ancêtre des familles Amyot auxquelles sont venus se greffer les noms de Villeneuve et Vincelotte s'appelait Philippe et, quoi qu’on ait pu prétendre au sujet de son origine, en France, il semble qu’elle soit demeurée inconnue. On a prétendu et répété qu’il venait de Chartres, en Beauce, mais selon Archange Godbout, outre le fait qu’aucun contrat connu n’indique l’origine de Philippe Amyot, l’affirmation du généalogiste Cyprien Tanguay a été le point de départ d’une série d’affirmations qui n’auraient dû prendre place dans son dictionnaire qu’à titre d’hypothèses. Voici selon Godbout, l’origine de ± l’erreur : Le 7 août 1673 se mariait à Sainte-Anne, un Jean Amiot, serrurier, originaire de l’évêché de Chartres, avec Marguerite Poulin en présence de Georges Pelletier, Julien Mercier et Philippe Maufils. Tanguay crut reconnaître en ce personnage un fils de Philippe Amiot, et conclu que le père était ± natif de Chartres . Puisqu’en l’absence de documents officiels il faut se contenter d’hypothèses, Godbout en propose une autre appuyée celle-là sur l’origine présumée d’Anne Convent, femme de Philippe Amyot, dont les parents vivaient peut-être à Bersy-le-Sec, ± arrondissement et canton de Soisson , en Picardie. Imaginons que c’est de là que vers 1636, Philippe Amyot part, à destination de la Nouvelle-France. Il n’est pas seul. Sa femme, Anne Convent, l’accompagne ainsi que leurs deux enfants. Jean l’aîné, aurait vu le jour vers 1625 et Mathieu vers 1628. Une première fois les noms de Philippe et d’Anne apparaissent aux registres, à Québec, le 26 août 1636. Ce jour-là on baptise Charles, troisième et dernier enfant du couple. On remarque la présence de Marie Rollet et celle de Charles Huault de Montmagny, successeur de Champlain à la tête de la colonie, débarqué à Québec au mois de juin précédent, avec près de cinquante hommes, femmes et enfants. Après la naissance de Charles, le nom de Philippe Amyot disparaît. Est-il mort ici ? Est-il retourné en France pour ne plus revenir ? On se sait qu’une chose : le 7 septembre 1639, Anne Convent fait procéder à l’inventaire des biens qu’elle possédait en communauté avec Philippe Amyot. À la lecture de cette énumération, on constate que cette famille était à l’aise, qu’elle connaissait le confort et un certain luxe. Alors que les colons ont d’habitude un ± méchant lit, ceux-là possédaient ± un lit traversin, une parie de draps ciel de lit, rideaux dessus de toile. Le ciel de serge verte . Ils avaient encore deux coffres, des chemises et des habits comme on n’en voyait pas beaucoup. Mathieu, âgé d’environ 10 ans, possède un habit, un pourpoint en drap du Berry, une casaque, etc. Monsieur de Puiseaux doit huit francs à Anne Convent ou à Philippe Amyot et ± le Grand Sévestre en doit autant… L’inventaire dressé, Anne Convent se remarie, le 26 septembre, avec Jacques Maheust auquel elle donnera trois enfants. En 1666 elle épousera Etienne Blanchon dit Larose. Le sort des enfants Amyot est particulièrement intéressant. Pendant que le petit Charles accompagne sa mère dans sa nouvelle existence, Jean et Mathieu Amyot quittent Québec pour une vie d’aventure. Jean Amyot, que l’on surnommera Antaïok, est vraisemblablement le premier des deux adolescents à devenir ± donné des Jésuites. Il les accompagne au ± pays des Hurons et il se taille une réputation d’excellence parmi les jeunes interprètes dont les coups d’éclat servent d’exemple à leurs contemporains. Jean Amyot est un coureur d’élite. C’est un garçon pieux, dévoué à Saint-Joseph. En 1648, il s’apprête à se marier. On lui a concédé une terre aux Trois-Rivières, ville devant laquelle il se noie, le 23 mai, en même temps que François Marguerie, un autre interprète réputé. Les témoins du drame sont nombreux et impuissants. Le corps d’Amyot sera repêché devant Sillery et inhumé dans la chapelle Saint-Joseph, le 10 juin suivant. Mathieu Amyot aurait vécu comme l’avait fait Jean, jusqu’en 1650 alors que, le 22e jour de novembre, le père Barthélémy Vimont consacrait l’union de ± Mathieu Amyot dit de Villeneuve et Marie Miville, fille de Pierre Miville et de Charlotte Maugis. Amyot, comme on le voit, porte déjà le surnom que plusieurs ont cru lui avoir été attribué après qu’une terre lui ait été concédée par Jean Juchereau, dans la seigneurie de Maure, ± au-dessus de la pointe vulgairement appelée la pointe Villeneuve en 1665. Colons prospères, Mathieu et Marie Miville ont possédé plusieurs terres dont une sur la Grande-Allée, à Québec, avait été donnée au couple par Pierre Miville à l’occasion du mariage de sa fille. En 1667, Jean Talon réclamait pour ce colon et d’autres, des lettres de noblesse qui furent accordées par le roi, mais révoquées deux ans plus tard, faute d’avoir été enregistrées. Mathieu Amyot ± de Villeneuve et Marie Miville ont eu 15 enfants : 7 filles et 8 garçons. Charles Amyot connut une adolescence semblable à celle de ses frères, mais il en tira profit différemment. Plutôt que de devenir colon, comme Mathieu, il devint marchand, à Québec. De nombreux voyages consacrés à la traite et des transactions reliées à la pêche à l’anguille auraient dû assurer sa prospérité. Cependant, Amyot mourut prématurément au mois de décembre 1669, à l’âge de 33 ans. Il laissait une femme, Geneviève de Chavigny de Berchereau, qu’il avait épousée le 2 mai 1660, et deux des trois enfants qu’elle lui avait donnés. C’est cette femme qui a obtenu, au moins de novembre 1672, en considération des services rendus par son mari, une terre à laquelle elle donna le nom de Vincelotte. Geneviève de Chavigny convola avec Jean-Baptiste Couillard de Lespinay au mois d’octobre 1686. La descendance des Amyot dit Vincelotte serait éteinte. Source : Nos Racines No. 100 https://www.wikitree.com/wiki/Amiot-6 : Philippe Amiot 1 ( - 1636) aussi connu sous le nom de Amyot 2, 3, 4, Hameau. Naissance: Vers 1601, il naît à Soissons, Picardie, France 7, 8. Mariage: Vers 1626, il épouse Anne Couvent fille de Antoinette de Longueval et de Guillaume Couvent "dit" Estrée à Brécy (St-Michel) (Aisne), France 1, 7, 9. Migration en Nouvelle-France: Sieur Mathieu Amiot de Villeneuve, Jean Amiot, Anne Couvent et Philippe Amiot immigrent en Nouvelle-France à l'été 1635 3, 4. C'est en cette même année qu'ils laissent leur fils Jean, âgé de 11 ans, au service des Jésuites, en Huronnie où il servit comme "donné" de 1636 à 1645. Décès: Entre le 26 août 1636 et le 26 septembre 1639, il décède à Québec, Canada 4, 10. Liste des enfants connus d'Anne Couvent et de Philippe Amiot: Jean Amyot (1625 - 1648) Sieur Mathieu Amiot de Villeneuve (1629 - 1688) 3, 5 Jean Amiot (1635 - 1648) 3 Charles Amiot (1636 - 1669) 2, 4, 6 Biography He was born in Picardie around 1600. In around 1625 he got married in Brécy (St-Michel) (Aisne) in Soissonais with Anne Couvent the daughter of Guillaume Couvent and Antoinette de Longueval . We don't know much about the life of Philippe and Anne Couvent in France . We have found an act of sale from Antoine Courand notary . In this act of sale of the Notary Courand 20th january 1626 , we find out that Philippe Amyot bought the house of Antoinette Longueval in Estrée . Must have been a big house . According to the act , the house had 14 rooms and 32 acres of land. (32 arpents de terre ) In the spring of 1635 Philippe Amyot and his wife, their two sons , Mathieu and Jean, boarded a ship in Dieppe destination New France .In the beginning of the summer they arrived in Kébec. It was during the time of M.Champlain. I was not there , but I presume that M.Champlain was on the roads whit his straw hat , his whip and his wagon and his pair of bulls to greet these new arrivals , the minute they arrived .In those days it's was not often that a contingent of new arrivals landed . Usually it occurred only once a year . What did philippe Amyot do in Kébec ? We don't know .When he died we still don't know ? However its certain that he died in the year 1639 . The burial act was not registered in the record of Quebec . Certain allege that he died by drowning , and because his body was never found , they never registered his death . Other presumed that they just simply forgot to re-enter his burial act when they reconstructed the parish register after the fire in the chapel Notre-Dame de la Recouvrance in 1640 . Notary Audouart 7th September 1639 inventoried of the possesion of Philippe Amyot In September 1639 , Anne Couvent , the widow of Philippe Amyot , married Jacques Maheu ; they had two sons and one daughter . She became a widow once again in July 1663 and married for a third time, a man by the name of Etienne Blanchon "dit" La rose .( Notary contract Bequet the 5th may , 1666 ) She was 65 and Etienne 35 . ( Notary Duquet 10th January 1676 inventoried of Etienne Blanchon & Anne Couvent ) The 5th January 1674, she gives to the children of her son Mathieu, an estate located in the base ville (lower town) of Québec . ( Act of Bequet ) Unfortunately this property will later be dispute between Marie Minville and her Children . Anne Convent died in 1674. ( Notary Becquet 23th Febuary 1674 Testament of Anne Couvent ) Sources 1. Tanguay - Volume 1, p. 138, 403 2. Tanguay - Volume 1, p. 6 3. Drouin Rouge, Tome III (PÉF) - p.1357 4. Noblesse Québécoise - Table 14 5. Tanguay - Volume 1, p. 6, Volume 2, p. 30 6. Drouin Rouge, Tome III (PÉF) - p.1359 7. Drouin Rouge, Tome III (PÉF) - p.1357 (Soissons) 8. Tanguay - Volume 1, p. 6 (Chartres) 9. Noblesse Québécoise - Table 14 (vers 1625) 10. Drouin Rouge, Tome III (PÉF) - p.1359 (avant le 26 septembre 1639) | Amiot dit Villeneuve, 1er arrivant Philippe (I1158)
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68 | http://www.leveillee.net/ancestry/jeanrattier.htm: À l'été de 1695, sa propre femme, Marie Rivière, est trouvée coupable de vol de chaudières chez les veuves Gourdeau, Beaulieu et Pellerin Saint-Amant. Sa fille Charlotte est complice du larcin. La mère est d'abord condamnée à être battue de verges, puis les autorités adoucissent la peine pour ne pas mettre le bourreau dans une position intenable. Malgré tout, le 5 juillet, vers 8 h du matin, sous les rires et les quolibets, le bourreau Rattier est forcé de mettre sa propre épouse au carcan en pleine place publique. Sa fille Charlotte s'en tire avec 15 jours d'enfermement à l'Hôpital général. Elle épousera, l'année suivante, Daniel Boit, originaire de la région de Bordeaux. Charlotte est la seule de la famille à s'en sortir. Tous les autres vivront une vie de gibier de potence. Bientôt, la maison du bourreau devient un lupanar fréquenté par les soldats. | Ratier, Marie Charlotte (I1123)
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69 | http://www.leveillee.net/ancestry/jeanrattier.htm: Il fait une chaleur humide sur Québec, ce mardi 25 juin 1698. Marguerite Rattier a chaud. Elle est la fille du bourreau de Québec. La canicule lui porte sur les sens. Elle a 26 ans. Elle est plantureuse, c'est-à-dire belle et désirable, selon les canons de l'époque. En compagnie de sa copine, Marie Lafrance, la belle Marguerite se rend chez la Rochebelle, une femme de mauvaise vie dont la maison fait bordel et taverne. Marguerite a soif. Elle vend les deux pains que sa mère l'a envoyée chercher chez le boulanger Villeray. Elle achète de l'eau-de-vie et en offre à la ronde. Puis, à la fin de la journée, éméchée, elle va s'allonger près des remparts. C'est le lieu de rendez-vous des filles légères et des soldats de la garnison en goguette. Au petit matin, Marguerite, toujours couchée au pied des remparts, est arrêtée par un sergent et des soldats de la garde. Des voisins ont porté plainte pour conduite immorale. La jeune femme caniculaire avoue tout bonnement avoir passé la nuit avec non pas un mais trois soldats. Ils l'ont honorée, chacun leur tour, à plusieurs reprises. D'autres femmes ont participé à la joyeuse sauterie. L'interrogatoire de Marguerite Rattier est conservé aux Archives nationales du Québec. On y apprend que les autorités de la colonie étaient préoccupées par la propagation de la syphilis, appelée aussi le ± vilain mal . Pas de crainte à y avoir avec Marguerite : elle est saine comme une pucelle. On sait que Marguerite Rattier sera relâchée après des remontrances et probablement un séjour en prison. Elle continuera sa vie de débauche. La petite histoire perd sa trace au début du XVIIIe siècle. | Ratier, Marie Marguerite (I1121)
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70 | http://www.migrations.fr/700fillesduroy_3.htm : 2)ARCOUET Jean Arcouet dit Lajeunesse, habitant. Fils de Pierre marchand drapier et Elisabeth Martin de la paroisse St-Pierre de la ville de Marennes, 17320; Charente-Maritime; Poitou-Charentes. (Saintonge) Soldat de Carignan, Cie Laubias Né vers 1646 décédé le 07/08/1727 et inhumé le 9 à Champlain Adjure le calvinisme le 19/06/1665 Québec Soldat de la garnison de Trois-Rivières Veuf d’Élisabeth Pépin fille de Guillaume Pépin dit Tranchemontagne et Jeanne Méchin. Elle décède le 30 et inhumée le 31 décembre 1697 à Champlain. (11 enfants). Contrat et mariage le 16/11/1671 Trois Rivières Marié en même temps qu’André Marsil et Marie Lefebvre. Contrat de mariage le 27/06/1701 Notaire François Trottain dit Saint-Seurin Mariage le 18/07/1701 à Batiscan Acte de Mariage Ménage établi à Champlain. Aucun enfant. Sources : Tanguay, vol.1, p.11, 472. Il ne fait pas mention du deuxième mariage; Jetté, p.19, 872, 673; Drouin, vol.1, p.19; Dumas, p.281; Landry, p.339; Sulte, Hist., vol.5, p.62(2); B.R.H. 1909, p.19; DBAQ, t1, p.50-51; Langlois, p.208 ; | Arcouet, 1er arrivant Jean Soldat de Carignan, cie Laubias (I2468)
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71 | http://www.migrations.fr/700fillesduroy_3.htm : JAVELOT Anne 200 livres de dot Fille de feu André (marchand) et de feue Séphora Lescure. Née le 14/06/1636 et baptisée le 19/08/1636 temple calviniste de La Rochelle17000; Charente-Maritime; Poitou-Charentes. Sur son acte de baptême le nom est écrit JAVELIOT Voir acte de baptême Décédée le entre le 10/03/1669 et le 24/10/1669 Contrat de mariage annulé avec Jean Gariguet ( 24/08/1666, Becquet ) 1 mariage: LEBŒUF Jacques Fils de feu André et de Marie Clémence GAZEAU Baptisé le 14 avril 1643 à paroisse Notre-Dame, Ciré d'Aunis 17290, Charente-Maritime, Poitou Il est confirmé le 01/05/1664 au Cap-de-la-Madeleine Contrat de mariage le 03/01/1667, notaire Gilles Rageot Mariage le 24/01/1667 à Québec Acte de mariage Un enfant Jean-Baptiste : 13/10/1667 Québec, mariage avec Angélique Gauron Jacques Leboeuf se remarie le 29/10/1669 avec Antoinette Lenoir. Il est décédé le 28/11/1696 Batiscan | Gavelode (Javelot), Anne (I2462)
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72 | http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Israel_Lefebvre&pid=1491165&lng=fr https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/img/acte/4922772 | Famille: Israel Lefebvre / Marie Diane dite Célina Loisel (F4)
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73 | http://www.unicaen.fr/mrsh/prefen/notices/14061pm.pdf: (Voir FrancoisMaupetitMariePasqual.pdf) | De Raimcourt, Anne (I1082)
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74 | https://dna-explained.com/2016/09/18/radegonde-lambert-16211629-16861693-european-not-native-52-ancestors-132/ : Radegonde Lambert (1621/1629-1686/1693), European, Not Native, 52 Ancestors #132 Posted on September 18, 2016 The first Acadians began arriving on the island of Nova Scotia in eastern maritime Canada in 1604, settling in 1605 near to what is today Annapolis Royal. acadian-map By Mikmaq – Own work, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=1351882 Today, the original location of Port Royal is a national historic site known as the Habitation at Port-Royal. After it’s destruction in 1613, Port Royal was re-established about 6 miles away as Annapolis Royal (Fort Anne), shown below, but was still called Port Royal at that time. acadian-fort-anne-port-royal By paulhami – http://www.flickr.com/photos/paulhami/3455802235/in/photostream/, CC BY-SA 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=7920932 This drawing shows Port Royal in 1753. Even half a century after Radegonde Lambert’s death, this village is still very small. acadian-port-royal-1753 The first decade in “New France” was difficult, at best, with many false starts. Most of the men that settled in this region were interested in fishing and fur trading, not farming. Politically, the land in Canada was subject to the political winds in Europe, so the “ownership” of the region was not only disputed, but changed hands, being ruled by the French, the Scots and the British. Ships came and went. Many settlers died. Those settlers that lived, male or mostly male, intermarried with the Micmac Indians. Beginning in about 1610, some French women may have arrived with their husbands, but the dates are uncertain, as are the number of woman. Because of this, most of the early births are presumed to be a result of a marriage, “legal,” meaning Catholic and blessed by the church, or not. I’m guessing that young men with no available European women, not to mention no priests for many years, didn’t much care about the sacraments nearly as much as they cared about female company. Radegonde’s Birth Radegonde Lambert was probably born between 1621 and 1629. It’s believed by some that she was born in Cap-du-Sable, according to the compiled records of professional genealogist, Karen Theroit Reader, assuming Radegonde is the daughter of Jean Lambert, which may not be a safe assumption at all. However, Jean Lambert is the only Lambert male in Acadia at that time, so if Radegonde was born in Acadia, it would have been to Jean. Cap-du-Sable, meaning Sandy Cape, is an island off the far southern tip of Nova Scotia that was settled by Acadians who migrated from Port Royal in 1620. The men who lived on this island specialized in the fur trade. Radegonde in the Records The first actual peek we get of Radegonde Lambert is in the 1671 Census, in Port Royal. Thankfully, the women are listed by their birth surnames. Thank you, Acadians! Without this information, we would surely be lost. You can see the original script of the entire 1671 census at this link. acadians-1671-census In case you can’t read the entry for Radegonde’s husband, Jean Blanchard, it says that he is a laborer, living in Port Royal, Acadia, age 60. His name is spelled Jehan and his wife is Radegonde Lambert, age 42. They have 6 children and 3 are married. They have 5 arpens of land under cultivation, 12 cattle and 9 sheep. An arpent of land is about .84 acres. From this census, we see that Radegonde is born in 1629. However, and in genealogy, it seems like there is always a “however,” in the 1686 census, Radegonde’s age is given as 65, which would put her birth year as 1621. In the 1693 census, she no longer appears, so she died sometime between 1686 and 1693, between the ages of 57 and 72, depending on what year she was actually born and in which year she died. Radegonde’s Mother Many of researchers believe that Radegonde Lambert’s mother was Micmak (Mi’kmaq). Why? Primarily because if she was the daughter of Jean Lambert, one of the earliest settlers, it was believed that his wife had to be Indian because there were no French women in Acadia at that time. Stephen A. White, one of the premier Acadian researchers, tells us the following about Radegonde (information in parenthesis is my note): Possible parents—JEAN LAMBERT and Un-identified MicMac Indian. The Indians honored de La Tour (a fur trader) and he married the daughter of one of their Chiefs. Because there were no French girls his men also settled with Indian women. Among the men who did this were Jean Lambert and a man called Lejeune. In subsequent years there were a good number of Metis living in this area with the names of Lambert and Lejeune. Jean Lambert, born in France about 1595, probably came to Acadia on the Jonas out of the port of Dieppe, Normandy. It left 25 February1610 and arrived in Port Royal at the end of May. They had a long stormy crossing. They ate all of their normal rations and some of the food meant for the colony. Jean Lambert remained in North America, for the rest of his life. This makes him the earliest permanent settler of our European ancestors. Jean Lambert’s sons remained with the Micmacs. His possible daughter Radegonde Lambert, probably born in 1628 or 1629 at Cap-de-Sable, married a French colonist, Jean Blanchard. REF: “Dictionnaire Genealogique Des Familles Acadiennes” by Stephen White. Vol. l p., “143” Adding fuel to the fire for Radegonde to be Native, another genealogist, Alexandre Alemann, the ex-director of the Drouin Institut, assembled a list of those he believed to be Native – and Radegonde was on that list. A second story about the origins of Radegonde Lambert claims that she was French, and came to Acadia with her husband, Jean Blanchard. The following excerpt is from “The Origins of the Pioneers of Acadia” by Stephen A. White in relation to depositions taken in France after the deportment of the Acadians from Canada in 1755: It is well known that there is very little original documentation that provides data regarding the places of origin of the earliest settlers of the French colony of Acadia. None of the colony’s parish registers for the seventeenth century survive, except one slim record book containing the sacramental entries for Beaubassin from 1679 to 1686. Additionally, there are but a couple of extant notarial records from the same period. And, unfortunately, the various Acadian censuses, beginning in 1671, make no mention of places of origin, unlike the detailed enumeration made in the small neighbouring colony of Plaisance in Newfoundland in 1698. (For more information about the early records of Acadia and Plaisance, see the bibliography of the present writer’s Dictionnaire généalogique des familles acadiennes, Première partie, 1636 à 1714 [hereinafter DGFA-1] [Moncton: Centre d’études acadiennes, 1999], Vol. I, pp. xvii-xxv, xxxix-xl, xlv-l.) On the level of racial origins, there is a source that provides a considerable amount of information. This is the series of fifty-eight depositions of the heads of the Acadian families that were taken down on Belle-Île-en-Mer between February 15th and March 12th, 1767, pursuant to an order from the parliament of Brittany at Vannes. The deponents were required to provide under oath, in the presence of witnesses including other Acadians, the local parish priests, and the Abbé Jean-Louis LeLoutre, former Vicar General of the diocese of Québec and “director” of the Acadian families settled on Belle-Île, all the details they could regarding their own civil status and that of their immediate families, plus their direct-line genealogies back to their first ancestors who came from Europe, “with indication of the places and dates as much as they can remember.” The depositions were intended to take the place of the registers of the parishes in Acadia that had been lost “during the persecution by the British.” In practical terms, they would also furnish the French authorities a means of identifying those who, as refugees from said persecution, were entitled to the King’s bounty and protection. Two sets of the depositions were made up in 1767. One set of copies was left on Belle-Île, and the other was sent to the district court at Auray. Both sets have been carefully preserved, the latter of the two being now housed in the departmental archives at Rennes. LAMBERT, Radegonde, came from France with her husband Jean Blanchard, according to Jean LeBlanc, husband of her great-granddaughter Françoise Blanchard (Doc. inéd., Vol. III, p. 43). The deposition of Françoise’s nephews Joseph and Simon-Pierre Trahan is to the same effect (ibid., p. 123). Both depositions mistakenly give Guillaume as the ancestor’s given name. Jean LeBlanc’s makes an additional error regarding the name of Jean Blanchard’s wife, calling her Huguette Poirier. The censuses of 1671 and 1686 meanwhile clearly show that she was named Radegonde Lambert (see DGFA-1, pp. 143-144). The source of these errors is probably a simple confusion arising from the fact that Jean LeBlanc’s wife’s grandfather Martin Blanchard had a brother Guillaume who was married to a woman named Huguette, as this writer explained in an article published in 1984 (SHA, Vol. XV, pp. 116-117). This Huguette was not named Poirier, however, but Gougeon, although her mother, Jeanne Chebrat, had married a man named Jean Poirier before she wed Huguette’s father Antoine Gougeon, and all her male-line descendants in Acadia were Poiriers. Unfortunately, we do not know just what questions Jean LeBlanc asked in trying to establish the Blanchard lineage, but he might certainly have had the impression that Huguette was a Poirier from the fact that so many of her relatives were Poiriers, including her grandnephew Joseph, who was also on Belle-Île in 1767 (see Doc. inéd., Vol. III, pp. 13-15). It’s not surprising that the husband and nephews of Radegonde Lambert’s great-granddaughter were confused, three generations by marriage (the husband) and 4 generations by birth (nephews) later. Most people today who aren’t genealogists can’t tell you their grandmothers’ maiden names. Did they perhaps have at least part of that story correct? Did Radegonde come to Acadia with her husband instead of being born there to Jean Lambert and his wife, either Micmac or European? The quick answer is that we don’t know the exact circumstances of when or how Radegonde arrived, and probably never will. But we do have a very important clue about where she was born. Radegonde’s DNA Several descendants of Radegonde Lambert through all females have had their mitochondrial DNA tested. Mitochondrial DNA is passed from the mother to both genders of their children, but only females pass it on. In Radegonde’s case, her DNA, for several years, also proved as puzzling as the records regarding her birth and mother’s ethnicity. No one but Radegonde’s descendants seems to match her DNA. It’s like Radegonde wanted to play a joke on all of her descendants. And a fine job she did too! Fortunately, that question has now been resolved, and Radegonde’s DNA, haplogroup X2b4, which is exceedingly rare – as in chicken’s teeth rare – is found only in Europeans, to date, and not in any Native people. Haplogroup X2b4 was born sometime around 5,500 years ago, in Europe, and given that the Native people migrated to the Americas sometime between 10,000 and 15,000 years ago across the land bridge from Asia into what is now Alaska, it would be impossible for X2b4, born in Europe, to be found among the Micmac women in 1621-1629. There were no European women in Canada in the early 1600s, early enough to be considered Micmac and be bearing children with French men by 1621. I wrote an article recently about the evidence supporting the fact that Radegonde was indeed European, based on her mitochondrial DNA. However, the question of whether Jean Lambert is her father, or if she came to Acadia with her husband still remains. Radegonde’s Children Karen Theroit Reader provides Radegonde’s children, as shown below. In two census records, in both 1671 and 1678, Radegonde and her husband, Jean Blanchard, are living next door to their son, Guilliame Blanchard who was age 35 in 1686. Madeleine Blanchard born about 1643, probably in Port Royal, died 1678-1684 and married Michel Richard. She had 10 children. Anne Blanchard was born about 1645, probably in Port Royal, died after 1714 in Beaubassin and married first to Francois Guerin, having 5 children, then to Pierre l’aine Gaudet, having 9 children. Martin Blanchard was born about 1647, probably in Port Royal and died after July 4, 1718 in Cobeguit. He married first to Marie Francoise Le Blanc having 3 children, then to Marguerite Guilbeau having 8 children. The three children, above, would have been the three that were married by 1671. The three below would have been the children still at home. Guillaume Blanchard, born about 1650, probably in Port Royal, died before October 18, 1717 and married Huguette Gougeon, having 12 children. Bernard Blanchard born about 1653, probably in Port Royal and died after the 1671 census but before the 1686 census. Marie Blanchard born about 1656, probably in Port Royal, died after 1701, married to Pierre le jeune Gaudet, having 10 children. Sadly, at least one and probably two of Radegonde’s children died before her, but as adults. She probably stood in the Garrison Cemetery overlooking the bay and buried these adult children, just as she buried the babies that had probably died decades earlier. The youngest child of Radegonde was born in 1656, according to the 1671 census, in which Radegonde was shown to be age 42. This certainly makes me wonder why Radegonde had no children in her last 15 years of fertility. The most likely explanation is twofold. First, this suggests that perhaps she was born closer to the 1621 date, which would make her 50 in 1671. If that was the case, then that would only leave 7 or 8 years of infertility to explain, not 15. Jean Blanchard was age 60 in 1671. It’s possible that Radegonde was actually 60 instead of 42, although that’s a stretch in terms of the census taker not realizing that her age was in error. There’s a pretty big difference between 42 and 60. After all, there were only 392 people in total in that census, in all locations, including children, so about 65 families. Clearly, the census taker knew Radegonde and was unlikely to make an 18 year error. More likely Radegonde had several children that died, some of which were probably born after Marie. If Radegonde’s first child actually was Madeleine, and her first child did not die, then Radegonde’s marriage date would have been roughly 1642 which would suggest her birth year was closer to the earlier 1621 as opposed to 1629. If Radegonde lost any children before Madeleine’s birth, that would push her marriage year back further, and possibly her birth year as well. Radegonde’s Burial The early burials in Port Royal took place in Fort Anne where an Acadian and English garrison cemetery are located. You can visit both on St. George Street at the Fort Anne National Historic Site, today. acadians-garrison-graveyard-port-royal Garrison Graveyard location courtesy of FindAGrave. Radegonde’s daughter-in-law, Huguete Gougeon Blanchard, wife of Guilliame Blanchard is shown at FindAGrave as being buried in this Garrison cemetery which was established in 1632. She died in 1717. Guilliame Blanchard is reportedly buried at Amherst, but this makes little sense since he and his wife died the same year and presumably lived together in the same place prior to death. Amherst is not close to Port Royal, located just south of Moncton on the connecting peninsula to the mainland. Therefore, it’s more likely that the family is buried in the Garrison Cemetery known then as the Saint-Jean-Baptiste Cemetery. acadians-saint-jean-baptiste-cemetery Before the cemetery in Port Royal became the British garrison graveyard in 1710, it was the Saint-Jean-Baptiste parish cemetery and was used by the Acadian community of Port Royal and by the French Garrison. acadians-cemeteries-at-port-royal When the British took the fort in 1710, they destroyed all of the headstones, except for 2, which are still standing today. Unfortunately, neither is for Radegonde. acadians-garrison-graveyard I hope to visit Radegonde in the Saint-Jean-Baptiste Parish Cemetery, aka the Garrison cemetery, someday soon. I know she is there, even though her grave is no longer marked, and was probably originally only marked with a wooden cross. Acknowledgements: I would like to thank cousin Paul LeBlanc for pointing me in the right direction with my Acadian research, for hosting the Acadian Rootsweb list, and for telling me that, “If you’re related to one Acadian, you’re related to all Acadians.” https://gw.geneanet.org/monartque?lang=en&n=lambert&oc=0&p=jeanne+radegonde: Married 1 January 1641, Port Royal (Annapolis) Nouvelle Écosse, to Jean Blanchard 1611-1686..1693 (Parents : Guillaume Blanchard 1590-1671 & Huguette Poirier) with F Madeleine Blanchard 1642-ca 1680 married about 1658 to Michel Richard Dit Sansoucy 1630-1687 F Anne Blanchard 1645-1714/ married in 1658 to François I Guérin 1635- Anne Blanchard 1645-1714/ married in 1672 to Pierre Gaudet 1654-1741 Anne Blanchard 1645-1714/ married to Pierre Gaudet M Martin Blanchard 1647-1699/ married in 1671 to Françoise Leblanc 1653-1677..1686 M Guillaume Blanchard 1650-/1717 married (1_AB_1673) to Huguette Agathe Gougeon Guillaume Blanchard 1650-/1717 married in 1672 to Huguette Goujon 1657- M Bernard Blanchard 1653- F Marie Blanchard married about 1675 to Pierre Gaudet ca 1650 Voir: https://www.acadienouvelle.com/etc/gensdici/2016/06/19/jean-blanchard-radegonde-lambert/ : | Lambert, 1ère arrivante. Radegonde (I1313)
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75 | https://dna-explained.com/2016/09/18/radegonde-lambert-16211629-16861693-european-not-native-52-ancestors-132/: Possible parents of Radegonde Lambert: JEAN LAMBERT and Un-identified MicMac Indian. The Indians honored de La Tour (a fur trader) and he married the daughter of one of their Chiefs. Because there were no French girls his men also settled with Indian women. Among the men who did this were Jean Lambert and a man called Lejeune. In subsequent years there were a good number of Metis living in this area with the names of Lambert and Lejeune. Jean Lambert, born in France about 1595, probably came to Acadia on the Jonas out of the port of Dieppe, Normandy. It left 25 February1610 and arrived in Port Royal at the end of May. They had a long stormy crossing. They ate all of their normal rations and some of the food meant for the colony. Jean Lambert remained in North America, for the rest of his life. This makes him the earliest permanent settler of our European ancestors. Jean Lambert’s sons remained with the Micmacs. His possible daughter Radegonde Lambert, probably born in 1628 or 1629 at Cap-de-Sable, married a French colonist, Jean Blanchard. REF: “Dictionnaire Genealogique Des Familles Acadiennes” by Stephen White. Vol. l p., “143” | Lambert, Jean (I1314)
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76 | https://filrougeinc.com/le-marqueur-famille/thiboutot-boucher/ : Née à Château-Richer le 26 février 1663, Marie est l’aînée de la famille de Galeran Boucher et Marie Leclerc (Clerc). Marie n’a que 12 ans lorsque le 4 septembre 1675, elle signe un contrat de mariage avec Jacques Thiboutot. Quelques mois après le décès de Jacques, Marie épouse à Rivière-Ouelle François Autin, lequel est originaire de La Ferté-Gaucher en Seine-et-Marne, située au centre nord de la France. Huit enfants naissent de cette union. Les descendants de François et de Marie Boucher perpétuent le nom des Autin en Amérique. Galeran Boucher, père de Marie, devient maçon comme son père, le pionnier percheron Marin Boucher. Galeran et sa famille s’établissent à Rivière-Ouelle avant février 1673 soit juste après son mariage. Son frère Pierre Boucher y forme la première société de pêche aux marsouins. | Boucher, Marie (I6319)
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77 | https://gw.geneanet.org/genealogia11?lang=en&pz=jean&nz=locas&ocz=0&p=toussaint&n=huneau&oc=1: Assassinat de leur fille Marie-Thérèse le 13 septembre 1690. https://hoguegirardin.wordpress.com/tag/hunault/: We are descended on the Hogue side from their daughter Marie Therese who married Guillaume Leclerc. Marie Therese was married at the age of thirteen, bore seven children, and died tragically at the age of 26, when her youngest was but two months old! Surprisingly, Guillaume did not marry again. Marie Therese’s death in Lachenaie was at the hands of the Iroquois. On August 5, 1698, shortly before her death, there had been a serious attack by the Iroquois, known as the Lachine Massacre. The church record of her burial on August 17, 1689 tells us that she was “tuée cruellement dans la grange” (killed cruelly in the barn). | Huneau (Henault), Marie Thérèse (I1053)
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78 | https://gw.geneanet.org/jacquesdespres2?lang=en&pz=jonathan&nz=despres&ocz=0&p=geoffroy&n=lefebvre&oc=1 | Lefebvre, Geoffroy (I278)
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79 | https://gw.geneanet.org/jacquesdespres2?lang=en&pz=jonathan&nz=despres&ocz=0&p=jeanne&n=millet&oc=1 | Millet, Jeanne (I279)
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80 | https://gw.geneanet.org/jacquesdespres2?lang=en&pz=jonathan&nz=despres&ocz=0&p=urbain&n=gervaise | Gervaise, Urbain (I295)
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81 | https://sentieracadie.ca/fr/ancetres-acadiens/patronymes-acadiens/item/186-cormier : Le 8 janvier 1644, Robert Cormier, maître charpentier de navire à La Rochelle, son épouse Marie Péraud et leur fils Thomas s'engagent sur le navire Le Petit Saint-Pierre afin de venir travailler au fort Saint-Pierre en l'île du Cap-Breton. C'est ainsi que l'histoire de la famille Cormier en Amérique débute. Vers 1668, Thomas Cormier, alors âgé d'environ trente-deux ans, épouse Marie-Madeleine Girouard, fille de François Girouard et de Jeanne Aucoin. D'abord établis à Port-Royal, Thomas et Marie-Madeleine figurent parmi les premiers colons de Beaubassin, où leur fils Pierre est né le 25 mars 1682. Celui-ci se marie vers 1702 à Catherine LeBlanc, fille de Jacques LeBlanc et de Catherine Hébert. L'aîné des onze enfants de Pierre et de Catherine est nommé d'après son père. Pierre Cormier fils convole à Grand-Pré le 17 juillet 1730 avec Cécile Thibodeau, fille de Jean Thibodeau et de Marguerite Hébert. Ces derniers sont les ancêtres de tous les Cormier du sud-est du Nouveau-Brunswick. Source : Centre d'études acadiennes de l'Université de Moncton https://www.wikitree.com/wiki/Cormier-28 : Timeline c1636 birth, in France 1644 father Robert signs contract to work at Fort St-Pierre 1654 British capture Port-Royal; French settlement ceases[14] c1668 marriage to Marie Madeleine Girouard 1667-70 Treaty of Breda cedes Acadia to the French; settlement resumes.[15] Available farmland decreases; some leave Port-Royal to establish new villages such as Beaubassin (1671)[16] c1670 birth, daughter Marie Madeleine c1671 residence, in Port-Royal c1672 birth, son François c1674 birth, daughter Anne c1676 birth, son Alexis 1676-78 Michel Leneuf des Vallières is awarded a large (1000 square miles) seigneury at Beaubassin. “The grant specified that he leave undisturbed any settlers there, together with their lands they used or had planned to use for themselves”. La Vallière builds his homestead on an island (Tonge’s Isand)[17][18] 1679 residence, in Beaubassin c1680 birth, son Germain 1682 birth, son Pierre, in Beaubassin 1682 Eleven men are subpoenaed for refusing to accept the contracts of concessions including Thomas Cormier.[18] 1684 birth, daughter Claire, in Beaubassin 1686 birth, twin daughter Marie, in Beaubassin 1686 birth, twin daughter Agnès, in Beaubassin c1688 birth, daughter Jeanne b1693 death Biographie Une des plus grandes familles acadiennes a débuté avec un pionnier, Thomas Cormier. [1] Thomas est né vers 1636 en France, le fils de Robert Cormier et de Marie Péraud.[3] Son père était maître charpentier de navire à La Rochelle, France. En 1644, la famille s’est engagée à prendre le navire Le Petit Saint-Pierre, afin de venir travailler au fort Saint-Pierre, Acadie (St Peter's, Cape Breton, Nova Scotia, Canada). "C'est ainsi que l'histoire de la famille Cormier en Amérique débute."[2] Le sort de la famille de Thomas est inconnue, mais en 1671, il vivait à Port-Royal, Acadie (Annapolis Royal, Nova Scotia).[5] Comme son père, il était charpentier. Vers 1668, Thomas a épousé Marie Madeleine Girouard, fille de François Girouard et de Jeanne Aucoin.[3] Vers 1770, les terres cultivables commençant à manquer, certains Acadiens quittent la région de Port-Royal pour fonder de nouveaux villages.[7] Thomas et Marie Madeleine figuraient parmi les premiers colons de Beaubassin[2] Leur ferme etait située à Ouescoque (Pointe Amherst).[8] Entre 1670 et 1688 environ, Thomas et Marie Madeleine ont eu 10 enfants: Marie Madeleine, François, Anne, Alexis, Germain, Pierre, Claire, les jumeaux Marie and Agnès, et la benjamine Jeanne. Leur fille Anne avait épousé Michel Haché dit Gallant (un agent du sieur). Le recensement indique que Thomas et Madeleine avaient 40 arpents de terres cultivées (environ 34 hectares), 30 bovins, 10 moutons et 15 porcs. Thomas était l'un des colons les plus prospères.[12] Vers 1687 il y avait un différend entre les Poiriers et les Cormiers sur la remise en état par Toussaint Doucet et sa femme Marie Poirier de la frontière de la Grande Ouescoque marais de la rive sud. Ce différend a été réglé par la suite avec les mariages entre Cormiers avec Poiriers.[8] Thomas est mort avant 1693.[3] Les 17 petit-fils de Thomas qui se sont mariés ont eut des grandes familles qui ont assuré que le nom Cormier est aujourd'hui un des plus commun en Acadie[1]. Ses 6 filles et 25 petites-filles se marieront dans d’autres grande familles acadiennes, y compris LeBlanc, Arsenau, Haché-Gallant, Boudrot, Richard, Doucet, Landry, Poirier, Comeau, Chiasson, Theriot, Bourg, Cyr, Hébert, Thibodeau, Bourgeois, Dupuis, and Babin.[3] Sources ? 1.0 1.1 1.2 1.3 Massignon, Geneviève. "Les parlers français d'Acadie, enquête linguistique", Librairie Klincksieck, Paris, 1962, 2 tomes.p. 43 (Cormier); p42-58(other large families ? 2.0 2.1 2.2 2.3 White, Stephen A. La généalogie des trente-sept familles hôtesses des "Retrouvailles 94", Les Cahiers de la Société historique acadienne, vol. 25, nos 2 et 3 (1994). (Cormier) ? 3.0 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 3.8 3.9 White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print. p. 400,401 ? Ship List ? 5.0 5.1 Archange Godbout, "Origine des Cormier",Mémoires de la Société généalogique canadienne-française, Vol 4, 1951, pp179-180. ? Tim Hebert; Transcription of the 1671 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie. 1671 Census Transcribed. The original census can be found at Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752” Images 3-14. Thomas CORMIER, carpenter, 35, wife Madeline GIROUARD 17; Child: 1 daughter 2; cattle 7, sheep 7. ? 7.0 7.1 Les familles pionnières Pioneer Families, in 1755 l'Histoire et les Histoires, University of Moncton ? 8.0 8.1 8.2 8.3 Surette, Paul. Atlas of the Acadian Settlement of the Beaubassin 1660 to 1755. Tintamarre and Le Lac. Tantramar Heritage Trust. 2005, p5-6 (claiming the marsh at Ouescoque); p9 (dispute with the Poiriers); p44,45 (location of Ouescoque Amherst point). ? Clarence-J. d’Entremont, “Jean Campagna, The Sorcerer,” Yarmouth Vanguard, Tuesday, May 29, 1990. Link to article : Jean Campagna the Sorcerer Jean Campagna le sorcier ? Link to the 35-page manuscript of the depositions, interrogations and other proceedings. “Procès de Jean Campagna, prisonnier, 45 ans, laboureur, natif d'Angoulins en Aunis, demeurant à Beaubassin en Acadie, accusé de sorcellerie, 26 septembre 1684 - 28 juin 1685“, Bibliothèque et Archives nationales du Québec, accessed at https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3372917 ? Tim Hebert; Transcription of the 1686 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1686 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 15-60. Thomas CORMIER 55, Magdelaine GIROUARD 37; children: Magdeleine 18. Francois 16, Alexis 14, Marie 12, Germain 10, Pierre 8, Angelique 4, twins Marie and Jeanne 1; 4 guns, 40 arpents, 30 cattle, 10 sheep, 15 hogs. ? 12.0 12.1 Cormier, Stephen. Acadians in Grey, Cormier Appendix. ? Tim Hebert; Transcription of the 1693 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1693 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 62-108 Madeleine GIROUARD (widow of Thomas CORMIER) 39, Alexis 16, Germain 13, Pierre 11, Claire 9, Marie 7, Agnes 7, Jeanne 5; 16 cattle, 4 sheep, 12 pigs ? William I. Roberts, 3rd, “SEDGWICK, ROBERT,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? In collaboration, “MORILLON DU BOURG,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? Pioneer Families, in 1755 l'Histoire et les Histoires, University of Moncton ? J.-Roger Comeau, “LENEUF DE LA VALLIÈRE DE BEAUBASSIN, MICHEL (d. 1705),” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 2, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed January 13, 2021, http://www.biographi.ca/en/bio/leneuf_de_la_valliere_de_beaubassin_michel_1705_2E.html. ? 18.0 18.1 Clark, Andrew Hill, Acadia The Geography of Early Nova Scotia to 1760. Madison: University of Wisconsin Press, 1968. p141 (Bourgeois founder); p141-142 (seigneury of Beaubassin) | Cormier Rossignol, 1er arrivant avec ses parents Thomas 8 jan 1644 sur le navire Le petit St-Pierre (I6101)
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82 | https://sentieracadie.ca/fr/content_page/11-patronymes-acadiens/231-girouard : Les Girouard en Acadie ont pour ancêtre François, né en France vers 1621, qui arrive en Acadie vers 1640. François épouse vers 1647 Jeanne Aucoin, de qui il eut cinq enfants, dont Jacques (ou Jacob), né vers 1648. Ce dernier épouse peu avant le recensement de 1671 Marguerite Gautrot, fille de François Gautrot et d'Edmée Lejeune. Nous comptons au moins quatorze enfants dans la famille de Jacques et de Marguerite. Pierre, leur deuxième fils, voit le jour à Port-Royal vers 1673. Il se marie, en premières noces vers 1697 à Marie Comeau, fille de Jean Comeau et de Françoise Hébert, qui lui donne six enfants. Neuf autres sont issus du second mariage de Pierre, survenu à Grand-Pré le 14 novembre 1709 avec Marie Doiron, fille de Jean Doiron et de Marie Trahan. Louis Girouard, né à Grand-Pré vers 1716, est au nombre des enfants du deuxième lit. Vers 1736, Louis épouse Marie Thibodeau, fille de Charles Thibodeau et de Françoise Comeau. Nous retrouvons cette famille à Malpèque, à l'île Saint-Jean, en 1752. Après la chute de Louisbourg, ils se réfugient à la baie des Chaleurs et par la suite sont emmenés comme prisonniers à Halifax, où Marie Thibodeau semble être décédée. https://www.wikitree.com/wiki/Girouard-34 : François "dit La Varanne" Girouard Born about 1621 in Francemap Son of [father unknown] and [mother unknown] [sibling(s) unknown] Husband of Jeanne Aucoin — married about 1647 in Acadie, Nouvelle-Francemap DESCENDANTS descendants Father of Jacques Girouard, Marie Girouard, Marie Madeleine Girouard, Germain Girouard and Anne Charlotte Girouard Died about 1693 at about age 72 in Port-Royal, Acadie, Nouvelle-Francemap Profile managers: Jacqueline Girouard private message [send private message], Acadians Project WikiTree private message [send private message], Annette Cormier private message [send private message], and Roland Arsenault private message [send private message] Profile last modified 25 Nov 2022 | Created 4 May 2011 | Last significant change: 25 Nov 2022 09:44: EditBot WikiTree edited the Biography for François Girouard (abt.1621-abt.1693). (Correcting acadian-cajun_com) [Thank EditBot for this | 1 thank-you received] This page has been accessed 14,134 times. The Acadian flag. François Girouard is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA Contents [hide] 1 Discussion 2 Biography 3 Timeline 4 Biographie 5 Sources 6 Acknowledgements Discussion NOTICE: this profile is protected by the Acadian Project because of frequent duplication, variant name spellings and attempts to add unsourced parents. Please contact the Acadian Project before making any substantive changes. Thanks for helping make WikiTree the best site for accurate information. Parentage: In some trees François' parents are listed as François Girouard and Geraldine Marie Vienneau. Stephen White does not list them in his DGFA nor in the corrections. Until we have proof, we will not enter parents on his profile. Aboard the Saint Jehan: This information is posted in his biography and is questionable. Please post anything that verifies he came with Aulnay on the Saint Jehan. Thanks! "with d'Aulnay de Charnisay aboard the St. Jehan, shown on the La Rochelle Admiralty Records. (needs clarification, he is not on the ship list of 1636 posted here. Please post a source if one is available. NOTE: Could not find any other ship lists from that era." Biography Flag of France François Girouard migrated from France to Acadia. Flag of Acadia François GIROUARD dit La Varanne was born in France around 1621 in a location unknown to us, but some assume La Chaussée in the present day département of la Vienne (ancient province of Poitou).[1] However, there isn't any reliable source yet found to prove this claim. François arrived in Acadie around 1640 and was married around 1647 to Jeanne Aucoin, daughter of Martin Aucoin and Barbe Minguet and sister of Michelle Aucoin (married to Michel Boudrot).[2] According to the 1767 depositions of their descendants, Jeanne came to Acadia with her husband François, but it's unclear if that means they were already married when they came.[3] He arrived in Acadie with d'Aulnay de Charnisay aboard the St. Jehan, as shown on the La Rochelle Admiralty Records. (needs clarification, he is not on the ship list of 1636 posted here Please post a source if one is available. NOTE: Could not find any other ship lists from that era. Between about 1648 and 1660, the couple had five children: Jacques (dit Jacob), Marie, Marie-Madeleine, Germain, and Anne (Anne-Charlotte). [4] Around the time of their daughter Marie-Madeleine's birth (1654), Port-Royal was captured by Robert Sedgwick, who led 300 British soldiers and volunteers.[5] Although the commander of Port Royal left for France, most Acadians, including the Girouards remained in Acadia. They were permitted to retain their land and belongings and were guaranteed religious freedom. Dunn[5] describes life in Acadia during the 16 years of nominal British rule: "During the years of British rule, most of the Port-Royal population moved upriver away from the town. Using the agricultural practices initiated under D'Aulnay, the Acadians dyked and cultivated extensive salt marshes along the river and raised livestock. Through necessity, residents had reached an accommodation with New England traders who had become their sole source for the goods that they could not produce themselves... New England traders exchanged their goods for Acadian produce and furs... There were seventy to eighty families in the Port-Royal area in 1665." When their youngest child Anne was 7 years old (1667), the British had ceded Acadie to France and French settlement resumed.[6] At the time of the first Acadian census in 1671, fifty-year-old François, listed as a plowman (laboureur), and forty-year-old Jeanne were living with their 5 children. Six arpents of their land were cultivated and they had 16 cattle, 6 sheep.[7] By 1678, their farmland had increased to 15 arpents and they owned 18 head of cattle. [8] They were counted again in the 1686 census.[9] The family homestead was located about 15 km east of the Fort on the south shore of the Dauphin (Anapolis) River near present-day Tupperville Nova Scotia.[10][11] François died before the census of 1693. [4] [12] Timeline c1621 birth, in France 1632 Treaty Saint-Germain-en-Laye cedes Acadia to France; Razilly brings ~300 elite men[13] 1636 D'Aulnay brings the first French families to settle permanently[14] c1640 Arrival in Acadia c1647 marriage to Jeanne Aucoin c1648 birth, son Jacques (dit Jacob) c1650 birth, daughter Marie c1654 birth, daughter Marie-Madeleine 1654 British capture Port-Royal; French settlement ceases[15] c1656 birth, son Germain c1660 birth, son Anne (Anne-Charlotte) 1667-70 Treaty of Breda cedes Acadia to the French; settlement resumes[16] b1693 death Biographie "Les Girouard en Acadie ont pour ancêtre François, né en France vers 1621, qui arriva ici vers 1640. François épousa vers 1647 Jeanne Aucoin, de qui il eut cinq enfants, dont Jacques (ou Jacob), né vers 1648."[4] Sources ? Karen Theriot Reader François dit la Varanne at Geneanet citing: Arsenault, H&G, p. 567 (Port Royal) : "Spelled GIROUARD, but under variants also listed GIROIR. Born in 1621, doubtlessly originally from La Chausse'e, department of Vienne in the Loudun region of France (footnote cites Massignon). He arrived in Acadia around 1640, married around 1647." ? White, Stephen A. La généalogie des trente-sept familles hôtesses des Retrouvailles 94, online articles, Les Cahiers de la Société historique acadienne, vol. 25, nos 2 et 3 (1994), GIROUARD, page 1 ? White, Stephen A. Origins of the Pioneers of Acadia. According to the Depositions Made by Their Descendants at Belle- Ile-en-Mer in 1767 Stephen White] "GIROUARD dit LA VARANNE, François, came from France with his wife Jeanne Aucoin, according to two depositions, one made by his great-grandson Pierre Richard (Doc. in?d., Vol. II, p. 191), and another made by Louis Courtin, husband of his great-great-granddaughter Marie-Joséphe Martin (ibid., Vol. III, p. 27). Both of these depositions erroneously call the Girouard ancestor Jacques, instead of François, probably because the deponents presumed that he had borne the same first name as his elder son, to whom they were both connected. François is the name that one finds, however, in three Acadian censuses and in his younger son's marriage record in the register of Beaubassin (see DGFA-1, pp. 718-719). ? 4.0 4.1 4.2 Stephen A. White, Patrice Gallant, Hector-J. Hébert, Dictionnaire Généalogique des Familles Acadiennes (Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999) p.718-719 ? 5.0 5.1 Dunn, Brenda. A History of Port Royal/Annapolis Royal, 1605-1800. Halifax, N.S. : Nimbus Pub., 2004. 286 p Pages 23-24 : (1654 Capture of Port-Royal) Pages 25-27;29 : (the English period 1654-1670) ? In collaboration, “MORILLON DU BOURG,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? Tim Hebert; Transcription of the 1671 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie. 1671 Census Transcribed. The original census can be found at Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752” Images 3-14. (Note: there are discrepancies between the transcription and the original census. Transcription: 12 sheep, no land listed. Original census and DGFA : 6 sheep, 8 arpents of land.) Francois GIROUARD, 50, wife Jeanne AUCOIN 40; Children (3 married): Jacob 23, Marie 20, Marie Magdeleine 17, (not married): Germain 14, Anne 12; cattle 16, sheep 12. ? Tim Hebert; 1678 Port Royal Acadian Census noting that the correlations for this census were done by Rev. Clarence J. d'Entremont, Fairhaven, Massachusetts.1678 Census at Port-Royal : Francois Girouer & Jeanne Aucoin; 15 acres, 18 head of cattle; Germain Girouer 22 (1657) ? Tim Hebert; Transcription of the 1686 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1686 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 15-60. Francoise GIROUARD 70, Jeanne 55; they had 5 children whom this census shows below; 1 gun, 5 arpents, 13 cattle, 16 sheep, 8 hogs. ? 1707 homestead location of their son Jacques Girouard. In Au Coeur de l'Acadie Acadian Settlement on the Annapolis River 1707 Map Parks Canada ? Circa 1609 Map of Port Royal showing rivière du Dauphin. Map originally published in Canada: the Empire of the North by Agnes C. Laut ? Tim Hebert; Transcription of the 1693 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1693 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 62-108 at Port-Royal: Jean AUCOIN (widow of Francois GIROUARD) 60, Julien LORD (son-in-law) 41, Charlotte GIROUD (wife) 33, Alexandre 17, Jacques 14, Pierre 12, Marie 6, Madeleine 1; 20 cattle, 40 sheep, 10 pigs, 20 arpents, 2 guns ? George MacBeath, Biography – RAZILLY, ISAAC DE – Volume I (1000-1700) – Dictionary of Canadian Biography Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20 ? Geneviève Massignon, Les parlers français d'Acadie, enquête linguistique (Paris: Librairie Klincksieck, 1962) Page 32 : first French families in Acadia Pages 36,67 : Girouard family ? William I. Roberts, 3rd, “SEDGWICK, ROBERT,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? In collaboration, “MORILLON DU BOURG,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 See also: http://www.francogene.com/genealogie-quebec-genealogy/085/085527.php Acknowledgements Tamara Stevens Maurice Manuel Angela Richardson Shaunna Fuellbrandt Raymond Girouard Sandra Gifford Girouard-4019 | Girouard, 1er arrivant François Vers 1640 en Acadie (I6103)
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83 | https://wc.rootsweb.com/cgi-bin/igm.cgi?op=GET&db=rhetumines&id=I2161 | Hébert, Marguerite (I1300)
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84 | https://www.acadienouvelle.com/chroniques/2016/01/17/racines-acadiennes-germain-doucet-dit-la-verdure-capitaine-darmes-de-pentagouet/: La famille Doucet est l’une des premières à s’établir en Acadie, dans les années 1630. Germain Doucet était un militaire. Son lieu d’origine, cité au testament de Charles Menou d’Aulnay, a été l’objet de nombreux débats, où différents chercheurs ont tenté de localiser son patelin. Conans en Brie, ou Couperans en Brie? On savait au moins qu’il était de la Brie. Mais la Brie était un immense territoire qui rejoignait presque les limites de Paris. De plus, les limites de cette région pouvaient varier selon les époques. Jean-Marie Germe a peut-être trouvé la bonne localité, en proposant Coupru en Brie, un petit village du sud du département de l’Aisne, qui est traversé d’un ru du nom charmant de ±Ravin des morts. Malheureusement, les registres de cette paroisse, qui auraient pu nous conrmer que Germain y était originaire, ne sont conservés qu’à partir de 1674, soit près de 40 ans après son départ. S’il était déjà ofcier militaire à son arrivée, nous aurons sûrement l’occasion de trouver des documents à son sujet dans les archives françaises dans les années à venir. Mais les archives de ce département ont été durement touchées durant les grandes guerres au cours des derniers siècles. René F. Perron a suggéré qu’il était peut-être un ±servant d’armes de l’ordre de Malte, mais la démonstration reste à faire. Germain Doucet est d’abord mentionné au fort Pentagouët, sur la rivière actuelle de Penobscot dans le Maine. Le 14 juillet 1640 lors d’une enquête, il est cité ±capitaine d’armes de Pentagouët. Il y serait resté de 1635 à 1645. Germain Doucet était le bras droit de Menou d’Aulnay. Après le décès de celui-ci, il est nommé subrogé tuteur de ses enfants. En août 1654, il est capitaine commandant lors de la reddition de Port-Royal, quand le fort tombe aux mains des Anglais et de Robert Sedgwick. Selon les articles de reddition, Germain doit rentrer en France. Il n’est probablement pas revenu en Acadie. Mais ses enfants seraient restés (ou revenus) sur place. Accueil (https://www.acadienouvelle.com/) Chroniques (https://www.acadienouvelle.com/chroniques/) Racines acadiennes – Germain Doucet dit La Verdure, capitaine d’armes de Pentagouët Racines acadiennes – Germain Doucet dit La Verdure, capitaine d’armes de Pentagouët On ne connaît pas les noms de ses deux épouses. Sa première femme n’est peut-être pas venue en Acadie. On connaît trois enfants de ce couple. Germain se serait remarié en Acadie, puisqu’il est qualié de beau-frère de Jacques Bourgeois en 1654. Comme on a longtemps cru qu’il n’a eu qu’une épouse, plusieurs ont déduit que Jacques Bourgeois était originaire du même endroit que Germain Doucet – comme soutient la biographie de Jacques Bourgeois dans le Dictionnaire biographique du Canada. Mais ce deuxième mariage semble s’être produit en Acadie, donc cette théorie ne tient plus la route. Jusqu’à récemment, on lui connaissait quatre enfants: Pierre, Marguerite, Germain, et une lle dont on ignore le prénom. Mais c’était avant l’arrivée de la généalogie génétique. Lorsque les premiers descendants de Pierre à Germain Doucet se sont manifestés pour tester leur chromosome Y (transmi inchangé de père en ls), on leur a rapidement reconnu une signature typiquement européenne, appartenant au haplogroupe R-L21. Mais lorsque les descendants de Germain à Germain on fait le même test, les résultats furent tout autre. Ces derniers sont plutôt du haplogroupe C-P39, une signature amérindienne. Les dispenses de consanguinité dans les registres paroissiaux quelques générations plus tard ne laissent rien ltrer de cette adoption. Germain (ls) épousa une Acadienne, Marie Landry lle de René Landry l’aîné et Perrine Bourg. La famille Doucet acadienne compte donc deux souches distinctes. L’une d’origine française, l’autre amérindienne https://acadienouvelle-6143.kxcdn.com/wp-content/uploads/2016/01/doucet2.jpg http://le-coing-des-dugas.over-blog.com/article-3800036.html: On peut retracer la lignée des Doucet jusqu'à Germain Doucet, le premier à arriver en Acadie. En 1632, il habitait à La Hève (Halifax), il était militaire et enseignant pour d'Aulney. En 1640 il fut honoré et reçut le titre de Capitaine en armes de Pentagouet. Il était marié à Marguerite. Après la perte d'une bataille contre les Anglais il retournait en France laissant sa fille Marguerite et son fils Pierre en Acadie. C'est cette Marguerite que notre ancêtre, Abraham, a épousée. | Doucet, 1er Arrivant Germain dit Laverdure (I1282)
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85 | https://www.acadienouvelle.com/chroniques/2016/03/20/la-famille-lejeune/ : Les Lejeune sont arrivés tôt en Acadie. D’ailleurs, ce sont deux familles, plutôt qu’une, qui sont arrivées en 1642 et en 1651. La première ne perpétua pas son nom après la troisième génération. De la seconde descendent donc la plupart des Lejeune acadiens. Les deux familles étaient sans doute originaires de la même région. Elles utilisaient toutes deux le sobriquet ±Briard, qui signifie ±originaire de Brie, une grande région située à l’est de Paris. Les deux pionniers, s’ils sont parents, ne peuvent être au mieux que cousins. De la première famille – reconstituée par le chercheur André-Carl Vachon – on ne connaît que les noms des enfants: Jean Lejeune, et ses soeurs Edmée et Catherine Lejeune. S’ils sont arrivés en 1642, ils sont sans doute accompagnés de leurs parents, car l’aînée n’a alors qu’environ 18 ans. Ils n’ont peut-être pas transmis leur nom jusqu’à nos jours, mais l’apport de cette famille demeure très important. Edmée Lejeune est la matriarche des Gautreau acadiens, et Catherine Lejeune est la matriarche des Savoie acadiens. On sait qu’Edmée et Catherine étaient soeurs, grâce aux analyses génétiques (mitochondriales) qui démontrent qu’elles ont la même signature européenne (U6a7a1), ce qui sous-entend qu’elles avaient la même mère. Ces résultats confirmentles dispenses déjà évoquées par Stephen White (1999) dans son dictionnaire. M. Vachon croit par ailleurs que Jean Lejeune est le frère de Catherine et Edmée. Les descendants de cette dernière ont vraisemblablement hérité de la concession de Belle-Isle qu’avait d’abord obtenue Jean Lejeune. Comme les enfants de Jean Lejeune ne demeuraient plus dans la région, il l’a peut-être vendue ou laissée à son beau-frère (François Gautrot). | Lejeune Briard, Inconnu (I3482)
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86 | https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/acte/5163091 | Lefebvre, Marie Blanche Évelina (I71)
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87 | https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/img/acte/2353821 FS: 534/659 | Famille: Joseph Loisel / Catherine Shink (Schink) (F22)
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88 | https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/img/acte/4319613 | Loisel, Louis (I70)
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89 | https://www.genealogiequebec.com/membership/LAFRANCE/img/Tag/d1p_001110028.JPG Marraine de Joseph Hormisdas? | Perreault, Marie-Louise (I83)
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90 | https://www.naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/autrespassagers/autrespassagersMaMarcea.html#retourautrespassagersMaMarcea : MAILLOUX, Michel (Jacques, marchand et Jeanne ARNAUD), n 14 b 15-12-1641 par. St-Pierre de Brie-sous-Matha, ar. St-Jean-d'Angély, Saintonge (Charente-Maritime); s 02-07-1728 St-Vallier; son frère Pierre m avec Anne DELAUNAY l'a précédé au pays; arrivé en 1670 avec sa femme et leurs enfants : Barthélemie et Anne; 1er m 09-02-1659 St-Pierre de Brie-sous-Matha avec Jeanne MERCIER; famille établie à St-Vallier; 7 enfants; 2e m ct 03-09-1702 LePailleur (p-ê annulé) avec Madeleine GROLEAU; famille étalie à S0t-Vallier; aucun enfant. (DGFC, 1 : 405; 5 : 467; DGFQ : 755, 756; FO : no 242686) Remarques : Actes suivants à Brie-sous-Matha (St-Pierre). Leur fils Michel, b 02-02-1660. Deux filles sont pionnières en Nouvelle-France: Barthélémie et Anne. Ses frères et soeurs b : Pierre MAILLOU dit DesMoulins (pionnier) n vers 1632 (rec. 1667); Jeanne, 14-06-1633; Jean, 19-11-1635; Jacques, 04-07-1638 et Marie, 04-09-1644. Son père Jacques MAILLOU, laboureur 69 ans, s 05-04-1677. Ses parents cités de Brie-sous-Archiac. Ses grands-parents paternels Michel MAILLOU, laboureur à bras et Louise PARENTEAU, de Louzignac. | Maillou Desmoulins, 1er arrivant. Navire inconnu Michel 1670 (I3985)
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91 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Bourg_Antoine&pid=8164 : ID No: 8164 Prénom: Antoine Nom: Bourg Sexe: M Occupation: Naissance: 1609 vers Paroisse/ville: Pays: Bapt./Source: Né vers 1609 (Rc PR 1671 62 ans, 1686 95 ans(sic); laboureur (S White) Décès: Paroisse/ville: Pays: Inh./Source: décédé entre 5 oct 1687 et Rc 1693 (S. White) Information, autres enfants, notes, etc. Décès en Acadie entre le 5 octobre 1687 et le recensement de 1693. (Claude Fontaine) Note: 5 oct 1687: Antoine Bourg fait sa marque à l'attestation en faveur de l'oeuvre du gouverneur d'Aulnay; il est donc arrivé en Acadie avant 1650, l'année de la mort d'Aulnay (ANF, Col C11D, vol. II, fol 85) (S. White) Perrine Bourg née vers 1626 (Rc PR 1671 45 ans, 1686 74 ans (sic) veuve, 1693 67 ans, marié vers 1640 à Simon Pelletret et mariage 2 vers 1645 avec René Landry l'ainé Note de S.A. White: Nous n'avons pas pu déterminer s'il y avait un lien de parenté entre Perrine Bourg et Antoine Bourg. L'absence de dispense de consanguinité lors des mariages de Charles Savoie petit-fils de Marie à Antoine Bourg, avec Francoise Martin, petite-fille de Jeanne Pelletret (Rg. PR 16 janvier 1730) et de Michel Bourg, petit fils de Francois à Antoine Bourg, avec Brigitte Martin, aussi petite-fille de Jeanne Pelletrer (Réhab Rg St-Suliac, 7 juillet 1764), semble nous montrer que Perrine et Antoine n'étaient pas frère et soeur http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : BOURG, Antoine, came from France, according to Joseph LeBlanc dit Le Maigre, widower of Antoine's great-granddaughter Anne Bourg (Doc. ind., Vol. II, p. 175). Another deposition, that of Jean Melanson, who was a grandson of Antoine's son Bernard, mistakenly indicates that it was Bernard who came from France (ibid., Vol. III, p. 22). | Bourg, 1er arrivant. Acadie Antoine (I2238)
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92 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Doucet_Marguerite&pid=19096: ID No: 19096 Prénom: Marguerite Nom: Doucet Sexe: F Occupation: Naissance: 1625 vers Paroisse/ville: Conflans-en-Brye Pays: France Décès: 19 septembre 1707 - âge: 82 Paroisse/ville: Port-Royal, Acadie Pays: Canada Inh./Source: Rg 20 septembre 1707 - Veuve Dugast, mère de Claude Dugast, morte d'hier #2admin Information, autres enfants, notes, etc. Elle dut inhumée le 20 décembre 1707 à Port-Royal, Acadie. According to Stephen White, the name of the wife or wives of Germain [Doucet] has never been known. Several early writers, such as Bona Arsenault... and Adrien Bergeron... have stated that the wife was Marie Bourgeois, given the documented fact that Germain Doucet and Jacques (Jacob) Bourgeois were brothers-in-law. In his notes, Stephen White states: 'It is not possible that the mother of the childlren of Germain Doucet is a sister of Jacques Bourgeois' wife, as certain authors have proposed, being given that the in-laws of Jacques Bourgeois didn't get married until 1627. There exists the possibility that Germain Doucet nevertheless married in second nuptials, to a daughter of Guillaume Trahan who gave him no surviving children; but it is as possible that such a second wife is the sister of Jacques Bourgeois and not the sister of his wife.'" http://stephenwhite.acadian-home.org/frames.html : DOUCET, Marguerite, came from France with her husband Abraham Dugas, according to her great-grandson Alain LeBlanc (Doc. ind., Vol. III, p. 50). This deposition does not name her, but Marguerite is identified as Abraham's wife and ultimately widow by four Acadian censuses between 1671 and 1700 and by her burial record in the register of Port-Royal (see DGFA-1, p. 526). https://www.wikitree.com/wiki/Doucet-23 : Marguerite "Judith" [uncertain] Doucet aka Laverdure Born about 1625 in Francemap ANCESTORS ancestors Daughter of Germain Doucet and Unknown Unknown [uncertain] Sister of Pierre Doucet, Marie Doucet [half] and Germain Doucet [half] Wife of Abraham Dugas — married about 1647 in Port-Royal, Acadie, Nouvelle-Francemap DESCENDANTS descendants Mother of Marie Dugas, Claude Dugas, Anne Dugas, Martin Dugas, Marguerite Dugas, Abraham Dugas, Madeleine Dugas and Marie Dugas Died 19 Dec 1707 at about age 82 in Port-Royal, Acadie, Nouvelle-Francemap Profile managers: Acadians Project WikiTree private message [send private message], Jacqueline Girouard private message [send private message], John DeRoche private message [send private message], Lisa Trudeau private message [send private message], Lianne Lavoie private message [send private message], Annette Cormier private message [send private message], and Roland Arsenault private message [send private message] Profile last modified 30 Mar 2022 | Created 14 Apr 2010 This page has been accessed 16,109 times. The Acadian flag. Marguerite Doucet is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA Contents [hide] 1 Discussion 2 Biography 2.1 DNA 3 Research Notes 3.1 Timeline 4 Biographie 5 Sources Discussion NOTICE: this profile is protected by the Acadian Project because of frequent duplication, attempts to add unsourced parents or is an historically important person, in the Top 100 highly viewed Acadian profiles. Please contact the Acadian Project before making any substantive changes. Thanks for helping make WikiTree the best site for accurate information. According to Stephen White[1]: "It is not possible for the mother of Germain Doucet's children to have been a sister of Jacques Bourgeois wife, as some writers have claimed, considering that Bourgeois' father and mother-in-law were only married in 1627. It is nevertheless possible that Germain Doucet married secondly Guillaume Trahan's daughter, who subsequently gave him no children who survived in Acadia, but it is also possible that his second wife was Jacques Bourgeois's sister and not his wife's sister." Biography Flag of France Marguerite Doucet migrated from France to Acadia. Flag of Acadia Marguerite Doucet is the ancestral matriarch of the Acadian Dugas family. She was born around 1625 based on censuses, and likely in France since there wasn't a permanent settlement of families in Acadie at the time of her birth.[2][3] Marguerite was the daughter of Germain Doucet and and an unknown mother. See discussion regarding the identity of her mother. Marguerite married Abraham Dugas around 1647.[2] Between about 1648 and 1667, the couple had eight children: Marie, Claude, Anne, Martin, Marguerite, Abraham, Madeleine, and Marie.[2] The family lived together in Port Royal in 1671[4] when she used the name Marie Judith. By 1678 the family had only three children living at home. [5] In 1686, all the children had grown and gone, and Abraham and Marguerite were a couple living alone[6]. Their solitude did not last long, however, because by 1693 their oldest son Claude was living with them along with his wife and 10 children. Perhaps they were tending to the family homestead as by now Abraham was 74. The farm had grown significantly to 26 arpents[7]. After about 50 years of marriage, Abraham died before the 1700 Census, as Marguerite is now a widow still living in Port Royal with her son Claude and his family.[8]. Marguerite died on December 19 1707 at Port-Royal. She was buried at the St-Laurent Chapel.[2][9] DNA The Mothers of Acadia Maternal DNA project is conducting ongoing research to verify their origins. As of May 2020, Stephen White reported that Marguerite Doucet had a Haplogroup T2b. Ongoing test results are also reported here. Six descendants have consistently reported a T2 haplogroup, indicating European origins. Descendants According to the act of the marriage rehabilitation of their daughter Marguerite David (Rg Bailly [Caraquet] Halifax June 4, 1769), Alexandre David and Marguerite Theriot belonged to the "parish of Beaubassin". But the only Thériot family who lived in Beaubassin at the time of Alexander David's marriage with Marguerite Theriot would have been that of Jean Theriot and Madeleine Bourg. This finding leads us to conclude that Marguerite Thériot was to be the daughter of these. This is confirmed by the result of a DNA test mitochondrial of a descendant of Marguerite who suggests that she was descended from the maternal side of Marguerite Doucet (and Abraham Dugas). Yet, Marguerite Doucet was the mother of Marie Dugas who had as daughter Élisabeth Melanson, who was the mother of Madeleine Bourg, wife of Jean Thériot. Indeed, we find that Madeleine Bourg's children were the only Theriot of their generation whose maternal lineage goes back to Marguerite Doucet. The wife Alexander David could only be one of his children. (google translation[10] Research Notes According to researchers Suzette Leclair and K.G. Gauthier, the absence of dispensations in several marriage records of descendants of Pierre, Marguerite and Germain Doucet could indicate that Pierre and Marguerite weren't siblings, nor siblings of Germain. See article "Les Doucet d'Acadie: second regard sur les registres" [11] Another article by Suzette Leclair "The Doucet Family Out of Acadia: When DNA and Genealogy Collide"[12] See also, by Roberta Estes, “Germain Doucet and Haplogroup C3b.” [13] Timeline c1625 birth, in France 1632 Treaty Saint-Germain-en-Laye cedes Acadia to France; Razilly brings ~300 elite men[14] 1636 Arrival of the first families to settle permanently[15] c1647 marriage to Abraham Dugas c1648 birth, daughter Marie 1649 birth, son Claude 1654 birth, daughter Anne 1654 British capture Port-Royal; French settlement ceases[16] 1656 birth, son Martin 1657 birth, daughter Marguerite 1661 birth, son Abraham 1664 birth, daughter Madeleine 1667 birth, daughter Marie 1667-70 Treaty of Breda cedes Acadia to the French; settlement resumes[17] 1671 residence Port-Royal 1686 residence Port-Royal 1690 Phipps captures and sacks Port-Royal, coerces inhabitants' oaths of allegiance to English Crown, sets up local Peacekeeping Council and leaves within 12 days.[18][19][20] Seaman from two ships later loot and burn between 28 and 35 homes/habitations including the parish church.[21]” 1693 Port-Royal raid with looting and burning.[21] 1693 residence Port-Royal 1697 Treaty of Ryswick restores Acadia to France; Port-Royal is its capital[21] 1700 Abraham's death 1701 death, in Port-Royal Biographie Marguerite est née vers 1625 en France.[2] Elle épousa Abraham Dugas vers 1647.[2] Entre 1648 et 1667 environ, le couple a eu huit enfants: Marie, Claude, Anne, Martin, Marguerite, Abraham, Madeleine, et Marie.[2] Marguerite est décédée le 19 décembre 1707 à Port-Royal et a été inhumée le lendemain dans le “cimetière du haut de la rivière de la chapelle de Saint-Laurent .[9][2] Mère Selon Stephen White[2]: "Il n'est pas possible que la mère des enfants de Germain Doucet soit une soeur de la femme de Jacques Bourgeois comme certains auteurs font prétendre, étant donné que les beaux-parents de ce dernier ne se sont mariés qu'en 1627. Il existe néanmoins la possibilité que Germain Doucet se soit marié en deuxième noces à une fille de Guillaume Trahan qui ne lui a donné aucun enfant survivant, mais il est aussi possible que sa seconde femme soit la soeur de Jacques Bourgeois et non pas la soeur de sa femme." Descendants Selon l'acte de la rehabilitation du mariage de leur fille Marguerite David (Rg Bailly [Caraquet] Halifax 4 juin 1769), Alexandre David et Marguerite Thériot appartenaient à ±la paroisse de Beaubassin. Or, la seule famille Thériot qui habitait Beaubassin à l'époque du mariage d'Alexandre David avec Marguerite Thériot aurait été celle de Jean Thériot et de Madeleine Bourg. Cette constatation nous amène à conclure que Marguerite Thériot devait être la fille de ces derniers. Ceci est confirmé par le résultat d'un test de l'ADN mitochondrial d'un descendant de Marguerite qui suggère qu'elle descendait du côté maternel de Marguerite Doucet (et d'Abraham Dugas). Or, Marguerite Doucet était la mère de Marie Dugas qui avait comme fille Élisabeth Melanson, qui était la mère de Madeleine Bourg, épouse de Jean Thériot. En effet, nous trouvons que les enfants de Madeleine Bourg étaient les seuls Thériot de leur génération dont la lignée maternelle remonte à Marguerite Doucet. L'épouse d'Alexandre David ne pouvait alors être qu'une de ses enfants. Sources ? White, Stephen A. English Supplement to the Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton NB: Centre D'Études Acadiennes, 2000, p 112 ? 2.0 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 2.8 White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D’études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print. p. 526. ? (A statement at Belle-Ile-en-Mer by one of the descendants of Marguerite indicating that she and her husband Abraham came from France) Declarations de Belle-Ile-en-Mer, Acadian-Home.org Statement of Alain LeBlanc, 7 March 1767. Brother Jerôme Lepré, S.C., Statement of Alain LeBLANC Village of Kerledant Sauzon Parish: On 7 March 1767 appeared Alain LeBLANC, living at Kerledant, Sauzon Parish, who, in presence of Joseph BABIN, Pierre DOUCET, Louis COURTIN and Simon P. DAIGRE, all Acadians living on this island, witnesses, states that he was born at the Mines, St. Charles Parish, in 1731, son of Claude LeBLANC and Jeanne DUGAST; Claude LeBLANC was son of Rene and Anne BOURGEOIS, and Rene LeBLANC, son of Daniel who came from France with his wife and settled at Port Royal. They died there. Jeanne DUGAST was the daughter of Abraham DUGAST and Marie GUILBAUD. Abraham DUGAST was issue of another Abraham who came from France with his wife, settled at Port Royal and died there. ? Tim Hebert; Transcription of the 1671 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie. 1671 Census Transcribed. The original census can be found at Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752” Images 3-14. Abraham DUGAST, gunsmith, 55, wife Marie Judith [sic] DOUCET 46; Children: Claude 19, Martin 15, Abraham 10, Marie 23, Anne 17, Margueritte 14, Magdeleine 7, Marie 5; cattle 19, sheep 3. ? Tim Hebert; 1678 Port Royal Acadian Census noting that the correlations for this census were done by Rev. Clarence J. d'Entremont, Fairhaven, Massachusetts.1678 Census Abraham Dugast & Marguerite Doucet 12 acres 20 cattle 1 gun ? Tim Hebert; Transcription of the 1686 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1686 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 15-60. vAbraham DUGAS 70, Marguerite DOUCET 50. ? Tim Hebert; Transcription of the 1693 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1693 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 62-108 Abraham DUGAST 74, Marguerite DOUCET his wife 66, Claude their son 44, Francoise BOURGEOIS his wife 34, Marie their daughter 17, Claude 16, Francoise 14, Joseph 13, Marguerite 11, Anne 10, Jeanne 9, Agnes 7, Francois 5, Magdeleine 4, Cecile 1; 20 cattle, 30 sheep, 15 hogs, 26 arpents, 4 guns. ? Tim Hebert; Transcription of the 1700 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1700 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 151-173. Marguerite DOUCET, widow of Abraham DUGAST; Claude DUGAST 51; Marguerite BOURG (wife age not reported); Claude 23; Francois 12; Joseph 2; Marguerite 18; Anne 17; Jeanne 16; Agnes 14; Madelaine 11; Cecille 8; Marguerite 3; 40 cattle, 25 sheep, 28 arpents, 3 guns. ? 9.0 9.1 Nova Scotia Archives, "An Acadian Parish Remembered - The Registers of St. Jean-Baptiste, Annapolis Royal, 1702-1755," register RG 1 volume 26 page 345; online database with images, Marguerite Dugast burial 19 December 1707, accessed 23 Sep 2019 ? White, Stephen A. Dictionnaire généalogique des familles acadiennes, "Ajouts et corrections"; Publication: University of Moncton, Centre d'études acadiennes; Online p. 188 ? Suzette Leclair et K.G. Gauthier, "Les Doucet d'Acadie: second regard sur les registres", L'entraide généalogique, Sherbrooke :Société généalogique des Cantons de l'Est, vol 37, no 4, Automne, 2014 p. 6-13 https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4018819?docref=-yzvkUVW0gnzoZlovojL_w ? Suzette Leclair, The Doucet Family Out of Acadia: When DNA and Genealogy Collide, at GenInfo.org http://geninfo.org/Pillard/Doucet-DNA.htm ? Roberta Estes, “Germain Doucet and Haplogroup C3b.” DNAeXplained – Genetic Genealogy, posted 18 September 2012, accessed at https://dna-explained.com/2012/09/18/germain-doucet-and-haplogroup-c3b/. ? George MacBeath, Biography – RAZILLY, ISAAC DE – Volume I (1000-1700) – Dictionary of Canadian Biography Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20 ? Massignon, Geneviève. "Les parlers français d'Acadie, enquête linguistique", Librairie Klincksieck, Paris, 1962, 2 tomes. ? William I. Roberts, 3rd, “SEDGWICK, ROBERT,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? In collaboration, “MORILLON DU BOURG,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed November 20, 2013 ? C.P.Stacey, “PHIPS, SIR WILLIAM,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003, accessed November 20, 2013 ? Biography of William Phipps ? C.Bruce Fergusson,“LA TOURASSE, CHARLES,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003, accessed November 20, 2013 ? 21.0 21.1 21.2 Dunn, Brenda. A History of Port Royal / Annapolis Royal 1605-1800. Nimbus Publishing, p 40,43 (1693 PR raid); p44-45 (1697 Treaty of Ryswick); p52-53(1702 Queen Anne’s War); p61-62 (Blockade of PR); p 71-73(1707 Attack on PR); p82-85(1710 Siege of PR). See also: www.grandesfamilles.org Les Grandes Familles, Online Database. Denis Beauregard, Dictionnaire généalogique de l'ancienne Acadie. http://www.francogene.com/dgaa/index.php Find A Grave: Memorial #154345004 | Doucet, 1ère arrivante Acadie Marguerite Louise (I1284)
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93 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Dugas_Marguerite&pid=1060256: ID No: 1060256 Prénom: Marguerite Nom: Dugas Sexe: F Occupation: Naissance: 1657 vers Paroisse/ville: Pays: Décès: Paroisse/ville: Pays: Inh./Source: décès avant recensement 1686 (S. White) Information, autres enfants, notes, etc. | Dugas, Marguerite (I1304)
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94 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Pitre_Claude&pid=84183: ID No: 84183 Prénom: Claude Nom: Pitre Sexe: M Occupation: Naissance: février 1671 vers Paroisse/ville: Port Royal, Acadie Pays: Canada Bapt./Source: ex 914 Décès: Paroisse/ville: Pays: Information, autres enfants, notes, etc. | Pitre dit Lajambe, Claude (I1132)
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95 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Pitre_Claude&pid=84183: ID No: 84184 Prénom: Marie Nom: Comeau Sexe: F Occupation: Naissance: 1678 estimé Paroisse/ville: Pays: Décès: 09 juillet 1707 - âge: 29 Paroisse/ville: Port Royal, Acadie Pays: Canada Inh./Source: ex 914 Information, autres enfants, notes, etc. | Comeau, Marie (I1133)
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96 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Sigouin_Jean&pid=46394: Enfant naturelle née avant mariage. | Sigouin, Louise (I904)
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97 | https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogy=Henri_Shink&pid=1176713&lng=en: ID No: 1176713 Firstname: Henri Name: Shink Schinck Gender: M Occupation: Born: 1756 Parish/City: Gelnhausenen Country: Germany Death: 13 July 1841 - Age: 85 Parish/City: Ste-Philomène Country: Canada Burial/Source: D 13 et S 14 henry Schinq veuf de Félicité Cliche âgé 94 ans reg Information, Other Kids, Notes, etc. soldat du Hesse-Hanau (Jaeger) Kornrumpff co. Chasseur 21 ans en 1777, né à Gelnhausen Source Virginia Demarce citée par Dominique Ritchot sur le groupe de discussion Québec-Hessians de Rootsweb (13-03-2007) prdh Famille Jean-Henri Schinck et Félicité Cliche au complet (6 enfants nés avant 1800) vérifiée | Shink (Schink), 1er arrivant Jean-Henri (I150)
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98 | https://www.wikitree.com/wiki/Aucoin-10 : Jeanne Aucoin aka Girouard Born about 26 Nov 1630 in Cougnes, La Rochelle, Aunis, Francemap Daughter of Martin Aucoin and Barbe Minguet Sister of Nicolas Aucoin, Michelle Aucoin and Jean Aucoin [half] Wife of François Girouard — married about 1647 in Acadie, Nouvelle-Francemap DESCENDANTS descendants Mother of Jacques Girouard, Marie Girouard, Marie Madeleine Girouard, Germain Girouard and Anne Charlotte Girouard Died 18 Apr 1718 at about age 87 in Annapolis Royal, Acadie, Colony of Nova Scotiamap Profile managers: Jacqueline Girouard private message [send private message], Acadians Project WikiTree private message [send private message], Lianne Lavoie private message [send private message], and Annette Cormier private message [send private message] Profile last modified 28 Jul 2022 | Created 4 May 2011 This page has been accessed 12,150 times. The Acadian flag. Jeanne Aucoin is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA NOTICE: this profile is protected by the Acadian Project because she is an historically important person - matriarch of Aucoin/Girouard family. Please contact the Acadian Project before making any substantive changes. Thanks for helping make WikiTree the best site for accurate information. Biography Flag of France Jeanne Aucoin migrated from France to Acadia. Flag of Acadia Jeanne Aucoin is the ancestral matriarch of the Acadian Aucoin/Girouard family. Jeanne was baptized on November 26, 1630 at the parish of Sainte-Marguerite at La Rochelle, Aunis (today Charente-Maritime), France. Her parents were Martin Aucoin and Barbe Minguet and her god-parents were Arnaud Gyon and Jeanne Riou.[1] According to the 1767 depositions of their descendants, Jeanne came to Acadia with her husband François, but it's unclear if that means they were already married when they came.[2] Around 1647 Jeanne married François Girouard. Between about 1648 and 1660, Jeanne gave birth to five children: Jacques (dit Jacob), Marie, Marie-Madeleine, Germain, and Anne (Anne Charlotte).[1]. They raised their family in Port Royal as they were found there in 1671[3], 1678[4], 1686[5] and1693.[6] Jeanne Aucoin, widow of Girouer le Pere, passed away in Apr 1718, aged more than 90 years and was buried 18 April 1718 at Port Royal, Acadia.[7][8] DNA. The Founding Mothers of Acadia Maternal DNA project is conducting ongoing research to verify their origins. Stephen White reports that Jeanne Aucoin had a Haplogroup H. Ongoing test results are also reported here. Five descendants have consistently reported H haplogroup, indicating European origins. Her sister Michelle (6 reports) also has H Haplogroup. Biographie Jeanne Aucoin a été baptisée le 26 novembre 1630 à La Rochelle, Aunis, France. Ses parents étaient Martin Aucoin et Barbe Minguet. Elle a épousé François Girouard vers 1647. Enfants: Jacques Girouard Marie Girouard Marie Madeleine Girouard Germain Girouard Anne Charlotte Girouard Jeanne est décédée en avril 1718 et l'inhumation a eu lieu le 18 avril 1718 à Annapolis Royal.[1] Sources ? 1.0 1.1 1.2 Dictionnaire Généalogique des Familles Acadiennes; Stephen A. White; Publication: 2 vols., Moncton, New Brunswick: Centre d'Études Acadiennes, 1999 pp. 40-41 (Aucoin); NOTE ALSO corrections ? Declarations de Belle-Ile-en-Mer, Acadian-Home.org Arrival with Husband, "Origins of the Pioneers of Acadia by Stephen A White. AUCOIN, Jeanne, came from France with her husband François Girouard, according to two depositions, one made by her great-grandson Pierre Richard (Doc. in-d., Vol. II, p. 191), and another made by Louis Courtin, husband of her great-great-granddaughter Marie-Josèphe Martin (ibid., Vol. III, p. 27). Jeanne's baptismal record (November 26, 1630) has been traced in the records of the parish of Ste-Marguerite at La Rochelle in France. ? 1671 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie The original census can be found at 1671 Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 3-14. Francois GIROUARD, 50, wife Jeanne AUCOIN 40; Children (3 married): Jacob 23, Marie 20, Marie Magdeleine 17, (not married): Germain 14, Anne 12; cattle 16, sheep 12. ? 1678 Port Royal Census: :Tim Hebert 1678 Port Royal Acadian Census transcription noting that the correlations for this census were done by Rev. Clarence J. d'Entremont, Fairhaven, Massachusetts. Francois Girouer & Jeanne Aucoin, 15 acres 18 cattle, Germain Girouer 22 ? Acadian Census, at Port-Royal, Acadie. The original census can be found at 1686 Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Image 15-61 Francois Girouard 65, Jeanne 55, they had 5 children whom this census shows below, 1 gun, 5 arpents, 13 cattle, 16 sheep, 8 hogs. ? Acadian Census, at Port-Royal, Acadie The original census can be found at 1693 Acadian Census microfilm C-2572 of the National Archives of Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 62- Jean AUCOIN (widow of Francois GIROUARD) 60, Julien LORD (son-in-law) 41, Charlotte GIROUD (wife) 33, Alexandre 17, Jacques 14, Pierre 12, Marie 6, Madeleine 1; 20 cattle, 40 sheep, 10 pigs, 20 arpents, 2 guns ? An Acadian Parish Remembered The Registers of St. Jean-Baptiste, Annapolis Royal, 1702-1755 Jeanne Aucoin burial RG 1 volume 26 page 361 https://novascotia.ca/archives/acadian/archives.asp?ID=1547 ? Library and Archives Canada, Fonds de la paroisse catholique Saint-Jean-Baptiste (Port-Royal, N.-É.)-1870 C-1870 (image 207) https://heritage.canadiana.ca/view/oocihm.lac_reel_c1870/207?r=0&s=5 See also: http://www.francogene.com/genealogie-quebec-genealogy/085/085527.php Baptism Record for Jeanne Aucoin, Parish of Sainte-Marguerite, La Rochelle, France: | Aucoin, 1ère arrivante Jeanne (I6104)
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99 | https://www.wikitree.com/wiki/Aucoin-53 : Martin Aucoin Born about 1595 in Francemap Son of [father unknown] and [mother unknown] [sibling(s) unknown] Husband of Barbe Minguet — married about 1620 in Francemap Husband of Marie (Salle) Sallé — married 20 Jan 1632 in Saint-Barthélémy, La Rochelle, Aunis, Francemap DESCENDANTS descendants Father of Nicolas Aucoin, Michelle Aucoin, Jeanne Aucoin and Jean Aucoin Died before 1671 before about age 76 [location unknown] Profile managers: Acadians Project WikiTree private message [send private message], Lianne Lavoie private message [send private message], Joanna Richmond private message [send private message], and David Lewis private message [send private message] Profile last modified 17 Nov 2022 | Created 21 Jul 2011 | Last significant change: 17 Nov 2022 20:25: Gisèle Cormier removed Suzanne Barboteau (abt.1570-abt.1604) as mother of Martin Aucoin (abt.1595-bef.1671). [Thank Gisèle for this | 1 thank-you received] This page has been accessed 21,447 times. The Birth Date is a rough estimate. See the text for details. The Acadian flag. Martin Aucoin is an Acadian. Join: Acadians Project Discuss: ACADIA NOTICE: this profile is protected by the Acadian Project because of frequent duplication, variant name spelling, attempts to add unsourced parents or is an historically important person and in Top 100 highly-viewed Acadian profiles. Please contact the Acadian Project before making any substantive changes. Thanks for helping make WikiTree the best site for accurate information. He was not the son of Martin Aucoin and Suzanne Barbot / Barboteau. Contents [hide] 1 Biography 2 Research notes 3 Biographie 3.1 Timeline 4 Sources Biography Flag of France Martin Aucoin migrated from France to Acadia. Flag of Acadia Martin Aucoin was born around 1595-1600, in France. [1] His parents are unknown. [2] Martin Aucoin became a joiner, or carpenter.[2][3] He married twice. His first wife was Barbe Minguet whom he married around 1620. The couple had two daughters Michelle Aucoin and Jeanne Aucoin, who would eventually migrate to Acadia.[2][3] It has been indicated that their eldest daughter Michelle, who was born about 10 years prior to Jeanne, may have been from a prior relationship. No record of Michelle's baptism has been identified, though Jeanne was baptised at Ste. Marguerite de La Rochelle. A son of Martin named Nicolas Aucoin was buried at Saint-Barthélemy on 30 Jan 1632, and is believed to be the son of Martin and Barbe as he died just 10 days after Martin married Marie Sallé. [3] Following the death of his first wife Barbe Minguet, Martin Aucoin married Marie Sallé on 20 January 1632 at the church of Saint-Barthélemy in La Rochelle.[4][5][3] The couple had at least one son, Jean Aucoin, who was baptized on 15 Nov 1632 at Saint-Barthélemy de La Rochelle. Sadly, Jean died when he was only 7 months old and was buried at Saint-Barthélemy on 25 Jun 1633.[2][3] It is unknown whether Martin Aucoin ever travelled or migrated to Acadie in Nouvelle-France. His eldest daughter from his first marriage, Michelle Aucoin had migrated to Acadie before 1642; and his second daughter Jeanne Aucoin also migrated to Acadia by the mid-1640s, marrying François Girouard there in about 1647.[2][3] Martin's second wife Marie Sallé did migrate at some point to Acadie, where she remarried, probably sometime after 1651 to Jean Claude. She was recorded in the 1671 census, but by that time was again a widow.[2][3] Since no record of death has been identified for Martin Aucoin, and the date of Marie Sallé's remarriage in Acadie is unknown (although believed to be after 1651), it is unknown when and where Martin died, but is only certain to be some years prior to 1671, by which time his wife's second husband had also died.[2][3] Research notes Parents of Martin Aucoin are unknown Note by genealogist Stephen A. White in corrections for DGFA p. 41 citing an article by J. Nerrou, ±Recherches sur la famille Aucoin: Du nouveau, p 29r, 29v, dans F.-R. Perron, Acadie: Recherche des promoteurs et recruteurs en France, suite no 7, Paris, 2000.: (Translation) Mr. Nerrou proposes another generation of ancestors of Aucoin by identifying the carpenter from La Rochelle with the son of Martin Aucoin and Susanne Baboteau who was baptized near La Rochelle on the 26th April 1595. Unfortunately, the basis for this conclusion is not explained in his article. Note by genealogist Marcel Walter Landry: (Translation) Some researchers have since proposed that Martin Aucoin (the elder) was the son of Martin and Susanne Barboteau, born in 1595. Except that this is not the Aucoin family, but the Angevin family (or Langevin ), from the parish of Cougne. We do not explain what makes such a connection possible, nor how these Angevins would have become Aucoins. We must therefore avoid adding this additional generation for lack of evidence, even if these names are now circulating on the internet. Note by genealogist Karen Theriot Reader: There are many who claim that this Martin AUCOIN was baptized on 26 Apr 1695 at Laleu, Charente Maritime, France (near La Rochelle), son of Martin AUCOIN & Susanne BARBOTEAU. The record in Latin is found here (right page last entry): http://www.archinoe.net/v2/ark:/18812/6141b016b7722fcdf2c62fccb5bb7af1 However, others assert that that was Martin Angevin, from another family altogether. Children of Martin Aucoin. Stephen White has made substantial corrections to his 1999 genealogy of the two Aucoin families (see corrections linked to his ”Dictionnaire Généalogique des Familles Acadiennes” (DGFA)). Based on these corrections, Martin Aucoin and his wife Barbe Minguet are the parents of sisters Michelle and Jeanne Aucoin, who used to be recorded separately. Martin and his second wife Marie Sallé no longer have a son listed as Martin, who married Marie Gaudet.[3] In 2003 revisions to the DGFA, it has been indicated that the family's eldest daughter Michelle Aucoin, who was born about 10 years prior to Jeanne, may have been from a prior relationship (Michelle (peut-être issue d'une alliance antérieure) n v 1621).[3] A Francois is listed in some family trees as a child of Martin Aucoin and Barbe Minguet and the father of Martin Aucoin who married Marie Gaudet. See further details of this debate under his profile. Biographie Martin Aucoin (1595 - avant 1671) Père et mère: Inconnus. Il n'a pas été prouvé qu'il était le fils de Martin Aucoin et de Suzanne Barbot / Barboteau. 1° Mariage: Vers 1620, à un endroit inconnu, Martin Aucoin âgé d'environ 25 ans épouse Barbe Minguet âgée d'environ 20 ans. Enfants connus / Known children; Barbe Minguet & Martin Aucoin Michelle Aucoin (1621 - 17 déc. 1706 Jeanne Aucoin (26 nov. 1630 - 18 avril 1718) Nicolas Aucoin Martin Aucoin était un menuisier.[2] 2° Mariage: Le 20 janvier 1632 à St-Barthélemy de La Rochelle, France, Martin Aucoin âgé d'environ 37 ans épouse Anne Marie Salé âgée de 20 ans, fille de Jean Denys/Denis dit Salé et de Françoise Arnaud. Le couple a eu un fils Jean, qui est né le 15 nov 1632 à St-Barthélemy de La Rochelle. [2][3] Enfants connus / Known children; Marie Salé & Martin Aucoin Jean Aucoin (15 nov 1632 - 25 juin 1633) Décès: Il décède entre 1651 et 1671. (Sa seconde épouse Marie Sallé, dans le recensement de 1671, était identifiée comme étant la veuve de Jean Claude, avec qui elle se serait remariée après 1651.) Timeline 1595 birth c1620 marriage to Barbe Minguet c1621 birth, daughter Michelle 1630 birth, daughter Jeanne in La Rochelle France 16xx birth, son Nicolas, died in La Rochelle 1632 1632 marriage to Marie Sallé, in Stt-Barthelemy La Rochelle France 1632 birth, son Jean, in St-Barthélemy de La Rochelle before 1671 death Sources ? No date or location of birth given by Stephen White. Age based on 1st marriage around 1620. ? 2.0 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 2.8 Stephen A. White, ”Dictionnaire Généalogique des Familles Acadiennes” ("DGFA") (Moncton, New Brunswick: Centre d'Études Acadiennes, 1999) pp. 40-41 NOTE ALSO corrections ? 3.00 3.01 3.02 3.03 3.04 3.05 3.06 3.07 3.08 3.09 3.10 Dictionnaire généalogique des familles acadiennes - Ajouts et corrections. Centre d'Études Acadiennes. Université de Moncton, New Brunswick. Available online at DGFA - Ajouts et corrections 09-02-2017 accessed 13 Mar 2022. ? La Charente Maritime. Les Archives départementales. Image 85 of 92 for La Rochelle, Mariage Paroisse Saint-Barthélémy 1630-1650. ? Dictionnaire généalogique des familles acadiennes - Ajouts et corrections. Centre d'Études Acadiennes. Université de Moncton, New Brunswick. Available online at DGFA - Ajouts et corrections 09-02-2017 accessed 13 Mar 2022. Translation of third note: Arnaud Gyon's signature in Martin Aucoin's marriage certificate with Marie Sallé is the same as that affixed on the baptismal certificate of Jeanne Aucoin, daughter of Martin Aucoin and Barbe Minguet. This assures us that it is the same Martin Aucoin in both acts, even if there is no mention of widowhood in his marriage certificate with Marie Sallé. See Also: Aucoin Genealogy Denis Savard, "Racines acadiennes" column in the periodical Acadie Nouvelle, issue of 10 April 2016: “Martin Aucoin and Martin Aucoin” at Racines acadiennes. Karen Theriot Reader Martin Aucoin Karen Theriot Reader Marie Sallé Francogene Nos Origines | Aucoin, Martin (I3247)
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100 | https://www.wikitree.com/wiki/Barbier-44: Guillaume Barbier Born [date unknown] in Francemap Son of [father unknown] and [mother unknown] [sibling(s) unknown] Husband of Liesse (Wilbert) Hubert — married [date unknown] [location unknown] DESCENDANTS descendants Father of Jeanne Barbier Died [date unknown] in Francemap | Barbier, Guillaume (I770)
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