2. | 1er arrivant Gilles Lauzon, 1653 La Grande Recrue sur le navire Le St-Nicolas est né en vers 1630 à Caen (fils de Pierre Lauzon et Anne Boivin); est mort le 21 sept 1687 à Notre-Dame-de-Montréal; a été enterré le 21 sept 1687 à Notre-Dame-de-Montréal. Notes:
PRDH: 49558
Maître-Chaudronnier.
Marin Janot a été témoin du mariage. L'acte de mariage est d'ailleurs à la même page que celui de Marin Janot.
http://naviresnouvellefrance.net/html/vaisseaux2/engages/engagesLauLec.html#lauzongilles:
(Pierre et Anne BOIVIN), de St-Julien, v. et ar. Caen, év. Bayeux, Normandie (Calvados); s 21-09-1687 Montréal (60 ans); engagé en 1653; avancée salariale de 127L St-Nazaire; embarqué dans le Saint-Nicolas; arrivé 16-11-1653 Montréal; gratification de 500L pour promesse de demeurer dans la colonie 15-02-1654; achat d'une maison 30-03-1655 (ct Closse); concession de 30 arpents 20-08-1655 dans l'enclos de Ville-Marie; nombreuses autres transactions, ventes, échanges, etc.; marguillier de la paroisse en 1669; chaudronnier en 1659; confirmé 24-08-1660 Montréal; 35 ans au rec. 66; 38 ans au rec. 67; 40 ans au rec. 81 à Montréal; sait signer; m 27-09-1656 Montréal avec Marie ARCHAMBAULT; famille établie à Montréal; 13 enfants. (AUGER-53 : 79, 80; CI : 296; DGFQ : 664)
Le Saint-Nicolas
1653
Québec
http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_pers.php?id=102:
FICHE D'UNE MAISONNÉE
Maisonnée Lauzon - Archambault (en 1681)
En 1681, Gilles Lauzon, chaudronnier et habitant, réside sur sa terre située au nord de la petite rivière (la rue Saint-Antoine actuelle) allant vers la terrasse Sherbrooke. Il y exploite 45 arpents de terre mis en culture. Son épouse, Marie Archambault, vient de donner naissance à leur douzième enfant, leur neuvième fille nommée Jeanne. Le couple célèbre cette même année le mariage de leur fille Catherine.
Fils de Pierre Lauzon et d’Anne Boivin, Gilles Lauzon naquit vers 1630 à Caen. C’est en France qu’il apprit le métier de chaudronnier et acquit le titre de maître. Il s’embarqua pour le Canada en 1653, avec la Grande Recrue, comme engagé pour cinq ans. Moins de deux ans après son arrivée, il acheta un premier lot de terre et une maison de bois près de ce qui allait devenir la place d’Armes. Puis, il acquit une concession de 30 arpents de terre sur le bord du fleuve à l’est de la ville et un arpent à Villemarie adjacent à sa demeure. Il entreprit le dur travail du défrichement. Passablement établi, le 27 novembre 1656, Lauzon épousa Marie Archambault, âgée de douze ans, fille de Jacques Archambault et de Françoise Toureault, arrivée dans la colonie depuis cinq ans.
Lauzon partagea peut-être pour un temps ses énergies entre le travail de la terre l’été et la chaudronnerie l’hiver, en ville. En 1658, il acquit par échange la terre qu’il possèdera jusqu’à son décès. Un an plus tard, il vendit sa maison en ville, conserva une partie de l’emplacement et s’installa pour de bon sur sa terre. Lauzon participa à la milice dès 1663. Il fut marguillier de la paroisse de Notre-Dame de 1670 à 1672. Il ne délaissa pas pour autant son métier de chaudronnier. D’ailleurs en 1673, il prenait comme apprenti Laurent Tessier, fils d’Urbain Tessier dit Lavigne.
Marie Archambault mourra le 8 août 1685 et Gilles Lauzon décèdera deux ans plus tard. Le couple aura eu 13 enfants.
http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=120403&type=bien#.XBQbwWhKjcc:
Texte de la plaque
Hommage à notre ancêtre Gilles Lauzon
Né à Caen en Normandie, il arriva en Nouvelle-France à l'automne 1653 avec la Grande Recrue à l'âge de 22 ans. Maître-chaudronnier, il vécut sur ce site avec son épouse, Marie Archambault, et ses 13 enfants. Il fut inhumé à Montréal le 21 septembre 1687.
Association des Familles Lauzon d'Amérique 30 mai 1992
350e anniversaire de Montréal
http://genealogie.quebec/info/index.php?no=14936:
Gilles Lauzon 1, 2, 3 (1631 - 1687)
# 14936 (Ajouter une note)
Signature de Gilles Lauzon: 1660
Il est aussi connu sous le nom de Gilles Lauson 4. Il est aussi connu sous le nom de Gilles Sanson 2.
Il est le fils de Pierre Lauzon 5 et Anne Boivin 5.
Il naît vers 1631 à Saint-Julien, Caen, Calvados, Basse-Normandie, France 10, 11, 4, 6, 7, 8, 9. Il épouse Marie Archambault, fille de Jacques Archambault et Françoise Tourault le 27 novembre 1656 à Notre-Dame, Montréal, Île de Montréal, Québec, Canada 1, 10, 12, 13, 14, 2, 4. Il est inhumé le 21 septembre 1687 à Montréal 5.
Pierre Chauvin dit Le Grand Pierre, Jacques Boivin dit Panse et Gilles Lauzon déclarent que Pierre Bissonnet a déclaré avoir une femme en France en 1660 15. Marie Lauson, Françoise Lauzon, Marguerite Lauzon, Michelle Lauzon, Marie Archambault et Gilles Lauzon vivent en 1666 à Montréal 4. Il est chaudronnier et habitant en 1666 à Montréal 4. Gilles Lauzon, Pierre Laurent, François Jacob, Marie Lauson, Françoise Lauzon, Catherine Lauzon, Marguerite Lauzon et Marie Archambault vivent en 1667 à l'Île de Montréal, Québec, Gilles Lauzon possède huit bestiaux et quarante arpents de terre en valeur 2. François Jacob fut domestique de Gilles Lauzon en 1667 sur l'Île de Montréal 2. Gilles Lauzon fut domestique de Pierre Laurent en 1667 sur l'Île de Montréal 2. Il est maître chaudronnier vers 1681 à Montréal 1, 5, 6.
Anne Lauzon, Madelaine Lauzon, Louise Lauzon, Paul Lauzon, Séraphin Lauzon, Michel Lauzon, Marie Archambault et Gilles Lauzon résident à Montréal en 1681 1. Gilles Lauzon possède un fusil, trois bêtes à cornes et quarante arpents de terre en valeur en 1681 1.
Gilles Lauzon est témoin du baptême de Marie-Josèphe Sicard en 1709 à Rivière-des-Prairies, Île de Montréal 16.
http://www.biographi.ca/fr/bio/lauson_gilles_1F.html:
AUSON, GILLES, colon montréalais, ancêtre de tous les Lauzon du Canada et des États-Unis, né dans la paroisse de Saint-Julien de la ville de Caen (France) en 1631, fils de Pierre Lauson et d’Anne Boivin, décédé à Montréal en 1687.
Lauson exerçait le métier de chaudronnier, dans lequel il était passé maître quand il débarqua au Canada, en 1653, avec la grande recrue emmenée de France par Chomedey de Maisonneuve. Décidé à s’établir à Ville-Marie, Lauson achetait d’Urbain Tessier, dit Lavigne, en mars 1655, 50 perches de terre et une maison. À cette propriété vinrent s’ajouter, par concessions de Maisonneuve, le 20 août suivant, 30 arpents ± au dessoubs du costeau Saint-Louis et un arpent ± dans l’enclos de la ville . Désormais en mesure de faire vivre une femme et des enfants, Lauson épousa, à Ville-Marie, le 27 novembre 1656, Marie Archambault, âgée de 12 ans, fille de Jacques Archambault et de Françoise Toureault. Bon citoyen, Lauson s’enrôla en 1663 dans la milice de la Sainte-Famille et occupa, du 5 janvier 1670 au 11 janvier 1672, la charge de marguillier de la paroisse de Montréal.
Marie Archambault décéda le 8 août 1685, laissant 13 enfants ; Lauson fut inhumé le 21 septembre 1687.
André Vachon
R.-J. Auger, La Grande Recrue de 1653 (Montréal, 1955), 79s.— L. Lauzon, Un Pionnier de Ville-Marie, Gilles Lauzon et sa postérité (Québec, 1926).
Bibliographie de la version révisée :
Bibliothèque et Arch. nationales du Québec, Centre d’arch. de Montréal, CE601-S51, 27 nov. 1656, 21 sept. 1687.
http://lequebecunehistoiredefamille.com/capsule/Lauzon/genealogie:
Généalogie
Généalogie des Lauzon
À l’origine, le nom de famille Lauzon désignait un homme travaillant dans une lauzière, endroit où l’on produisait des dalles de pierre plates (les lauzes) pour les toits. Le patronyme était donc associé au métier de couvreur. Lauzon pouvait aussi désigner l’habitant de la commune d’Auzon dans la Haute-Loire.
Au 129e rang des patronymes les plus répandus chez nous, le nom est cousin avec Lauzier (895e rang), Lauzière (1300e rang) et Lauzé (1700e rang). En France, les Lauzé devancent les Lauzon, dont la présence demeure très marginale (au-delà du 150 000e rang!)
Aux États-Unis, certaines lignées ont modifié leur nom en Lozon, Loson ou Lanzon.
On compte aujourd’hui quelque 9300 Lauzon au Québec. Près de 30% d’entre eux habitent dans les Laurentides.
Les Lauzon descendent de 3 pionniers, dont Gilles Lauzon, époux de Marie (Marie-Anne) Archambault, ancêtre de la très grande majorité d’entre eux. Les deux autres, Daniel Lauzon et Pierre Laurent dit Lauzon, n’arrivent en Amérique qu’en 1755.
Aucun Lauzon ne descend du célèbre Jean de Lauson, gouverneur de la Nouvelle-France de 1651 à 1656, qui a donné son nom à la ville de Lauzon, près de Québec.
LES PIONNIERS DES LAUZON
Fils de Pierre Lauzon et Anne Boivin, le pionnier Gilles Lauzon voit le jour vers 1630 dans la paroisse Saint-Julien de Caen, en Basse-Normandie. Maître-chaudronnier, il joint la Grande Recrue de Maisonneuve en 1653, une entreprise de colonisation visant à sauver Ville-Marie des Iroquois.
Le 20 juin, avec plus de 100 personnes, l’ancêtre monte à bord du navire Saint-Nicolas-de-Nantes à Saint-Nazaire. Il a en poche 127 livres, 7 sols et 10 deniers, une avance sur les gages qu’on lui promet une fois arrivé en Nouvelle-France. Or, après le départ, le bateau prend l’eau et doit rebrousser chemin pour ne pas sombrer. Craignant que les colons (furieux et craintifs) se désistent, Maisonneuve les cantonne alors de force sur une île pendant 3 semaines, le temps d’effectuer les réparations.
Le 20 juillet, le Saint-Nicolas reprend la mer pour une difficile traversée de 2 mois où 6 passagers perdront la vie. Arrivés fin septembre, retenus à Québec tout le mois d’octobre, les colons débarquent enfin à Ville-Marie (les pieds dans la neige!) le 16 novembre 1653.
En 1654, Gilles Lauzon reçoit une somme de 500 livres de Maisonneuve même si son engagement de 5 ans n’est pas terminé. En mars 1655, il devient propriétaire d’un terrain et d’une maison de bois de 400 pieds carrés dans l’actuel Vieux-Montréal (où se trouve aujourd’hui l’édifice de la New York Life, aux abords de la Place d’Armes). Le pionnier Urbain Tessier dit Lavigne lui vend la propriété. Ce dernier est l’époux de Marie Archambault.
Le 27 novembre 1656, Lauzon prend pour épouse la sœur de celle-ci, également prénommée Marie (ou Marie-Anne). Née à Dompierre-sur-Mer en France en 1638, elle est la fille de Jacques Archambault, premier puisatier de Montréal, et de Jeanne Toureau, ancêtres de tous les Archambault d’Amérique. Le couple Lauzon-Archambault s’établit sur un lot de 30 arpents concédé au pionnier Lauzon par le sieur de Maisonneuve.
De cette union naîtront 13 enfants, surtout des filles (9 vs 4 garçons), tous nés à Montréal et tous baptisés dans la paroisse Notre-Dame. Les 4 fils Lauzon (Séraphin, Michel, Paul et Gilles) se marieront et permettront au nom de se transmettre jusqu’à nos jours, non seulement au Québec, mais aussi aux États-Unis, notamment dans la région de Détroit.
Le recensement de 1681 révèle que le pionnier Lauzon et sa femme possèdent alors 40 arpents de terre et 3 bêtes à cornes. Six de leurs enfants vivent toujours à leurs côtés.
Le pionnier Gilles Lauzon s’éteint à Montréal le 27 septembre 1687, à l’âge de 57 ans. Son épouse Marie Archambault le précède dans la mort en 1685. Elle n’avait que 47 ans.
http://afla.ca/index.php/fr/nos-ancetres/genealogie-2/gilles-lauzon:
Les contrats notariés de Gilles:
Date
Type
Description
Notaire
30/3/1655
Vente d'une maison
Et emplacement d'un demi arpent de front sur la rue Notre-Dame avec une profondeur d'un arpent par Urbain Tessier dit Lavigne à Gilles Lauzon pour la somme de 330 livres
Closse, Raphael-Lambert
30/3/1655
Marché de soins médicaux
Entre Gilles Lauzon et autres, tant pour eux que pour leur femme et enfants et Etienne Bouchard maître chirurgien de Villemarie
Closse, Raphael-Lambert
20/8/1655
Concession d'une terre
Située au-dessous du coteau St-Louis de 2 arpents de front par 15 arpents de profondeur et d'une terre située dans l'enclos de la ville de 1 arpent de front par 1 arpent de profondeur par la société de Notre-Dame de Montréal, seigneur de l'ile de Montréal à Gilles Lauzon maître chaudronnier
Sous seing privé
19/2/1658
Vente d'une terre
Située au-dessous du coteau St-Louis par Gilles Lauzon maître chaudronnier de Villemarie à Jean Chapperon de Villemarie
Basset/Deslauriers, Bénigne
6/3/1658
Rétrocession d'une maison
Nommée Vide Bouteille située à Villemarie par Fiacre Ducharme maître menuisier à Gilles Lauzon de Villemarie
Basset/Deslauriers, Bénigne
8/10/1658
Échange de terres
Situées à Villemarie entre Jean Auger dit Baron et Gilles Lauzon habitant de l'ile de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
26/2/1659
Vente d'une maison
Nommée Vide Bouteille située à Villemarie par Gilles Lauzon, maître chaudronnier et Marie Archambault son épouse de Villemarie à Fiacre Ducharme pour la somme de 400 livres
Basset/Deslauriers, Bénigne
21/8/1661
Bail d'une terre
Située à Villemarie au bas du coteau St-Louis par Gilles Lauzon, maître chaudronnier, à Pierre Bissonnet
Basset/Deslauriers, Bénigne
23/9/1662
Vente d'une terre
Située à Villemarie d'un demi arpent de largeur par 1 arpent de profondeur par Gilles Lauzon, maître chaudronnier et Marie Archambault son épouse à François Bailly dit Lafleur maître maçon
Basset/Deslauriers, Bénigne
14/1/1667
Bail à rente d'une terre
Située en l'ile de Montréal par Charles D'ailleboust-Desmuceaux seigneur de Montréal à Gilles Lauzon chaudronnier et Marie Archambault son épouse de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
26/4/1668
Partage de terres
Situées en l'ile de Montréal entre Jean Gervaise et Anne Archambault, son épouse de Montréal, Urbain Tessier dit Lavigne et Marie Archambault son épouse de Montréal et Gilles Lauzon et Marie Archambault son épouse de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
7/12/1669
Compte
Compte entre Gilles Lauzon et Michel Bouvier. note: intitulé mentionne la date du 7 décembre 1670
Basset/Deslauriers, Bénigne
13/8/1670
Déclaration
Par Gilles Lauzon de l'ile de Montréal contre Migeon procureur fiscal de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
23/6/1672
Délibération pour la vente d'un hangar
Par les marguilliers de Montréal, y compris Gilles Lauzon et autres habitants de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
12/3/1673
Accord
Entre Gabriel Souart, prêtre et ancien curé de la paroisse de Notre-Dame de Montréal et les propriétaires des terres de Montréal, y compris Gilles Lauzon
Basset/Deslauriers, Bénigne
21/6/1673
Déclaration
Gilles Lauzon, habitant de l'ile de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
20/8/1673
Accord
Entre Jacques Picot de Labrie et Marie Grandin son épouse et Gilles Lauzon et Marie Archambault de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
1/11/1673
Engagement d'apprenti chaudronnier
Laurent Tessier, par Urbain Tessier dit Lavigne, son père à Gilles Lauzon maître chaudronnier de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
21/10/1674
Vente d'une terre
Située depuis la rue Notre-Dame jusqu'à la rue appelée le Cul de Sac dans l'enclos de Montréal par Gilles Monin charpentier à Gilles Lauzon habitant de Montréal
Cabazié, Pierre
3/1/1678
Accord
Entre Gilles Lauzon, maître chaudronnier et Marie Archambault son épouse et Charles D'ailleboust-Desmuceaux écuyer
Basset/Deslauriers, Bénigne
25/6/1678
Donation d'une pension viagère
Par Jean Gervaise, Urbain Tessier, Gilles Lauzon et Laurent Archambault de Villemarie à Jacques Archambault leur père et beau-père.
Basset/Deslauriers, Bénigne
16/7/1678
Vente de droits successifs
Situé à Montréal par Gilles Lauzon maître chaudronnier et Marie Archambault, son épouse de Montréal à Jean Gervaise
Maugue, Claude
16/7/1679
Vente d'une terre
Situé au-dessous du coteau St-Louis, par Laurent Archambault et Catherine Marchand, son épouse à Gilles Lauzon, maître chaudronnier de Montréal
Maugue, Claude
7/3/1681
Vente d'une terre
Située au-dessous du coteau St-Louis proche de Villemarie par Gilles Lauzon maître chaudronnier et Marie Archambault son épouse de l'ile de Montréal à Jean Sicard et Marie Lauzon son épouse
Maugue, Claude
23/11/1682
Accord
Entre Gilles Lauzon, ancien marguillier de l'ile de Montréal et Gilles Carré maître ciergier de l'ile de Montréal
Maugue, Claude
29/3/1683
Quittance
Laurent Archambault de l'ile de Montréal à Gilles Lauzon ancien marguillier de l'ile de Montréal
Maugue, Claude
29/3/1683
Quittance
Gilles Lauzon ancien marguillier de Villemarie à Jean Gervaise
Maugue, Claude
3/11/1683
Concession d'une terre
Située au-dessous du coteau St-Louis par le séminaire de St-Sulpice à Gilles Lauzon ancien habitant de l'ile de Montréal
Maugue, Claude
3/4/1684
Accord et convention
Entre Etienne Guyot, curé de Montréal, tous intéressés en la succession des défunts Sieur et Dame de Labrie et Gilles Lauzon
Maugue, Claude
5/4/1684
Vente d'une terre
Située au lieu désigné pour la ville de Montréal par Gilles Lauzon ancien marguillier et Marie Archambault son épouse à Jean Gervaise
Cabazié, Pierre
10/4/1684
Vente d'une terre
Située en la ville de Montréal sur la rue Notre Dame par Jacques Viau dit Lespérance à Gilles Lauzon maître chaudronnier et habitant de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
2/5/1686
Quittance
Par Jean Caron à Gilles Lauzon maître chaudronnier et habitant de l'ile de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
13/5/1686
Obligation
De Gilles Lauzon chaudronnier de Villemarie à la succession de défunt Jean Aubuchon dit Lespérance
Bourgine, Hilaire
9/12/1687
Vente et accord, feu Gilles Lauzon
Entre Jean Sicard et Séraphin Lauzon tuteur et subrogé tuteur élus par justice aux personnes et biens des enfants mineurs de défunt Gilles Lauzon maître chaudronnier et Marie Archambault et Charles de Couagne marchand de Montréal
Basset/Deslauriers, Bénigne
24/2/1689
Bail à ferme, feu Gilles Lauzon
D'une terre située au-dessous du moulin du coteau par Jean Sicard et Catherine Lauzon son épouse tant en son nom que comme procureur de la succession de défunt Gilles Lauzon et Marie Archambault son épouse à Urbain Brossard de l'ile de Montréal
Maugue, Claude
31/3/1690
Compte arrêté, feu Gilles Lauzon
Entre Jean-Baptiste Sicard meunier et Catherine Lauzon, son épouse, de la Rivière des Prairies et comme tuteur des enfants de feu Gilles Lauzon et Antoine Forestier Chirurgien de la Villemarie
Adhémar/St-Martin, Antoine
18/1/1692
Procuration, feu Gilles Lauzon
Jean Sicard, de la Rivière des Prairies, tuteur des enfants de défunt Gilles Lauzon, à François L'ory, huissier au bailliage de l'ile de Montréal
Adhémar/St-Martin, Antoine
8/5/1692
Vente d'outils, feu Gilles Lauzon
Par Jean Sicard de la Rivière des Prairies au nom et comme tuteur des enfants du défunt Gilles Lauzon à Séraphin Lauzon chaudronnier de la ville de Villemarie
Adhémar/St-Martin, Antoine
4/10/1696
Obligation, feu Gilles Lauzon
De Jean Sicard meunier de la Pointe aux Trembles et comme tuteur des enfants mineurs de défunt Gilles Lauzon au séminaire de St-Sulpice
Pottier, Jean-Baptiste
6/4/1700
Procuration, feu Gilles Lauzon
Jean Sicard et Catherine Lauzon, son épouse de la Pointe aux Trembles, tuteur des enfants des défunts Gilles Lauzon et Marie Archambault, et Michel et Paul Lauzon frères à Pierre Rivest
Adhémar/St-Martin, Antoine
26/5/1700
Compte arrêté, feu Gilles Lauzon
Entre Jean Sicard meunier de la Pointe aux Trembles, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de défunt Gilles Lauzon, et Séraphin Lauzon, chaudronnier du faubourg de Notre-Dame de Bonsecours près de la ville de Villemarie
Adhémar/St-Martin, Antoine
Gilles a épousé 1ere arrivante Marie-Anne Archambault le 27 nov 1656 à Notre-Dame-de-Montréal. Marie-Anne (fille de 1er arrivant Jacques Archambault, 1647. Navire inconnu et 1ere arrivante Françoise Toureau) est née en vers 1644 à La Rochelle; est morte le 8 août 1685 à Notre-Dame-de-Montréal; a été enterrée le 8 août 1685 à Notre-Dame-de-Montréal. [Feuille familiale] [Tableau familial]
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